L'Emploi et le Chômage en Débats

Bonjour,
Je suis journaliste et je prépare un sujet sur les chômeurs en fin de droits. Je recherche une personne qui se retrouve aujourd’hui dans cette situation. Le but serait de la suivre pendant 2 semaines environ dans son quotidien, dans toutes ses démarches pour sortir de cette situation, etc. Si c’est votre cas ou si vous pouvez m’aider à trouver ce type de témoignage, appelez-moi au plus vite au 01 41 04 52 95 ou envoyez-moi un mail sur celinechasse@tac-presse.fr
C'est très urgent! Merci à l'avance pour votre aide.
Cordialement,
Céline.

Attention, nous sommes méfiants : pour quelle publication/chaîne de télé votre article/sujet est-il destiné ?

Bonjour Superuser tu fais bien d'être méfiante !
Un beau reportage en prévision sur un sujet providentiel actuellement pour faire de l'audience.


L’agence de presse est dirigée par trois producteurs, reconnus dans la profession depuis une quinzaine d’année : Frédéric Texeraud, Nicolas Valode et Denis Boutelier.

FRÉDÉRIC TEXERAUD
40 ans, producteur et gérant de TAC Presse.
Frédéric Texeraud a notamment été directeur administratif et financier des Productions Tony Comiti de 1996 à 2003.
Pendant cette période, il a géré plus de 500 reportages et documentaires ainsi que des séries d‘émissions diffusées en prime time.

NICOLAS VALODE
36 ans, producteur délégué et associé de TAC Presse.
Nicolas Valode a été journaliste puis rédacteur en chef adjoint de Capital (M6).
Il a également été rédacteur en chef de plusieurs magazines d’information, notamment des Soirées spéciales de l’info (M6) et producteur exécutif de l’émission quotidienne Cult (France 5).
Co-lauréat 2006 de l’Emmy Awards du meilleur programme interactif.

DENIS BOUTELIER
49 ans, producteur délégué et associé de TAC Presse.
Denis Boutelier a notamment été journaliste pour l’émission Capital (M6) puis rédacteur en chef au sein de l’agence Capa de 2002 à 2005.
Il était en charge de l’émission Enquête de personnalité (Canal +) puis des reportages produits pour le magazine Lundi Investigation (Canal +).


...

allez on va faire pleurer dans les chaumières avec tout ça , mais si ça pouvait ouvrir les yeux aux gens de la m--de dans laquelle on est ! Il y a que cela qui marche de nos jours la comm et le matraquage médiatique.

sookie a écrit : il y a que cela qui marche de nos jours la comm et le matraquage médiatique.

Non il y a des sujets qui doivent être traité sérieusement au JT ou autre débat pour alerter ...
et non comme divertissement grand public sur M6 ou TF1 ( Capital ou CCC )

Pour en revenir a Céline Chassé, Journaliste
Un aperçu des sujets qui l'intéressent !


Bonjour,
Je suis journaliste et prépare un sujet sur les logiciels espions pour téléphones portables et autres dernières technologies espionnes. Je suis à la recherche de gens qui se serviraient de ce type de logiciels afin de recueillir leur avis (en tout anonymat). Vous semblez bien vous y connaitre. Avez-vous déjà eu recours à ces logiciels? Si oui, pourriez-vous me contacter a celinechasse@tac-presse.fr pour que nous en discutions.
Merci beaucoup.
Céline.


Bonjour,
Je suis journaliste et je travaille actuellement sur le contrôle technique. J'aimerais beaucoup discuter avec vous concernant votre affaire d'achat d'un véhicule d'occasion. Pourriez-vous me contacter? C'est assez urgent... Mon adresse mail: celinechasse@tac-presse.fr
Merci à l'avance pour votre aide.
Cordialement,
Céline.


Bonjour,
je suis journaliste et à la recherche de personnes qui viendraient d'acheter une maison pour la retaper entre amis ou en famille. Si c'est votre cas, pourriez-vous me contacter par mail: celinechasse@tac-presse.fr ?
Merci beaucoup pour votre aide.
Cordialement,
Céline.


Bonjour,
Je suis journaliste pour l’émission Combien Ça Coûte. Nous réalisons cette semaine un sujet sur les bagages dans les aéroports. Si quelqu’un vient de perdre ses bagages, nous aimerions pouvoir le ou la suivre dans ses démarches pour récupérer son bagage ou se faire indemniser. Si vous êtes d’accord pour participer, appelez moi au plus vite au 06 60 45 60 33. Mon mail aussi: celinechasse@tac-presse.fr
Merci à l’avance pour votre aide.
Cordialement,
Céline Chassé.


Bonjour,
Je suis journaliste et je prépare actuellement un reportage sur le travail non-déclaré. J'aimerais beaucoup discuter avec vous, ça m'aiderait vraiment je pense. Comment puis-je vous joindre? Je vous laisse mes coordonnées personnelles: celinechasse@tac-presse.fr; 06 60 45 60 33. C'est assez urgent. Merci à l'avance pour votre aide. A très bientôt.
Céline.


Cette boite de production s'intéresse a se sujet non pas pour en montrer l'ampleur et les dégâts,
mais juste pour faire de l'audience car c'est un sujet tendance et montrer des monstres de foires !
C'est bon pour l'audience ...


Et ca se dit journaliste !


L'ÉTHIQUE

Les journalistes et les réalisateurs de l‘agence TAC Presse sont animés par une même volonté, qui peut se résumer en trois mots : rapporter, décrypter et révéler.

RAPPORTER les événements qui secouent l’actualité internationale.
TAC Presse envoie des reporters dans le monde entier et s’appuie sur son réseau de correspondants locaux pour vous faire vivre au plus près les faits marquants de la planète.

DÉCRYPTER les évolutions de la société.
TAC Presse a pour vocation d’explorer à travers ses reportages des thématiques très variées. L’agence ne s’interdit aucun sujet dès l’instant qu‘il permet de mieux comprendre le monde qui nous entoure.

RÉVÉLER les zones d‘ombres de notre époque.
TAC Presse, par le biais d‘enquêtes d’investigation au long cours, a la volonté de faire découvrir les faces cachées de notre société.
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a la volonté de faire découvrir les faces cachées de notre société.

C'est très bien, ça. Mais...mon frigo n'étant pas vide en ce moment, je ne serais pas un bon sujet à suivre au quotidien. Pas de bubons à montrer...

Mais il y a d'autres sujets qui sont aussi la face cachée de notre société, et que l'on ne traite jamais :
La vie dans les grosses usines agro-alimentaires de Bretagne, par exemple : les cadences, le froid, les horaires, la santé bousillée à 40 ans, les engueulades quotidiennes, le tout au SMIC .
La manière réelle dont on élève les vaches aujourd'hui, pour que la population arrête enfin de croire que les vaches ne mangent que de l'herbe et du foin. La majorité du lait que l'on trouve dans les supermarchés est produit par des vaches qui mangent du maïs fermenté et de l'herbe fermentée (l'ensilage), neuf mois, voire onze mois par an. + les granulés, les minéraux évidemment. Et la panoplie des produits pharmaceutiques.

Ceci fait partie du même système que le chômage de masse.

Bonjour Serabeth

Je tiens a mettre en avant un reportage que j'ai trouvé très intéressant
Et rebondir sur tes propos sur le lait et notre alimentation en général !


Le 5 janvier 2010 à 22h25, ARTE a diffusé un documentaire
Le monde selon Monsanto

Monsanto, avertit Marie-Monique Robin,
est l’une des entreprises "les plus controversées de l’ère industrielle".


Ce documentaire a traité plusieurs sujets tous ayant liens avec la firme Monsanto :
- Roundup (Monsanto a menti sur la biodégradabilité et l’innocuité du Roundup )
- Hormone laitière ( Prosilac )
- OGM ( Maïs, coton ... )


Cela nous montre a quel point nous ne sommes que des souris de laboratoire ...

.

Oui tant qu'on se ravitaille au superfl-U.
Il faut changer notre manière d'acheter. Mais c'est devenu très difficile, vu que nous n'avons plus guère le choix : il y a surtout des super-hyper-géantissimes-marchés, ou des supérettes qui vendent la même chose en plus cher.
En gros, quand nous achetons le moins cher possible, le max de produits possible, dans les supermarchés, nous scions la branche sur laquelle nous sommes assis.

Oui j'ai vu le monde selon Monsanto. ça donne des envies de meurtre...
Pour ce qui est du Round-up, ce n'est pas trop un problème pour eux : ils vendent la même substance sous un autre nom.

Oui tant qu'on se ravitaille au superfl-U.

... ou au tamiflu.

Aujourd'hui j'ai reçu une lettre de Roselyne de la République Française pour me convaincre de me faire vacciner contre la grippe H1N1.

Même après "l'annullation de la commande" des vaccins superflus il y a encore du stock à écouler dans le vènes des citoyens. Je peux me faire vacciner, de préférence dans les 10 jours, dans un gymnase dans ma ville. Après la première perte de fric au profit de certains labos, le gouvernement va-t-il envoyer 20 millions de lettres de pub pour le vaccin ? D'ailleurs, le gouvernement paie-t-il l'affranchissement des lettres ?

Hier un élève m'a raconté que son médecin lui a donné du tamiflu à haute dose pour soigner sa gastro-enterite Bientôt le tamiflu contre le rhume, le sida et l'hypertension artérielle, ou pour agrémenter le musli ??

serabeth a écrit :En gros, quand nous achetons le moins cher possible, le max de produits possible, dans les supermarchés, nous scions la branche sur laquelle nous sommes assis.

La branche a été scié par les deux principaux acteurs économiques !
Producteurs et consommateurs ...

Me situant dans une région agricole céréalière ( Champagne ardenne ),
nous avons des maraichers locaux qui vendent leur production sur les marchés.


Sauf que malheureusement leur produits sont désormais destinés a ceux qui en ont encore les moyens.
Sous prétexte de BIO leur prix se sont envolés.

Une salade en 1990 prix de vente 0.45 € ou 3 francs
La même salade en 2009 prix de vente 2 €

Cette comparaison est valable pour tous les légumes ( Tomates, courgette, aubergine, carotte, etc )



Produire plus, pour gagner plus ( Slogan a la mode dans le secteur céréalier depuis 1990 )

Il n'y a pas que 2 modes de production : le gros super intensif d'une part et le petit bio d'autre part.
Il y en a bien d'autres.
Notamment au marché, où il y a encore des petits maraîchers qui ne sont pas labellisés bio (les contrôles coûtent cher au producteur, il ne faut pas l'oublier) et qui produisent de bons légumes. Si nous leur achetons, ils vivent, et des jeunes peuvent s'installer. Cette dynamique ne peut venir que de notre manière d'acheter.
J'entends souvent des gens qui ont de faibles revenus dire que les légumes et fruits sont chers. Je ne suis pas d'accord : personnellement j'arrive à me nourrir sans dépasser 160€ par mois (pour 1 personne) ; or, je mange légumes et fruits tous les jours, légumes secs aussi, pain complet, mais rarement de la viande, pas de plats tout préparés, pas de boissons, pas d'eau en bouteille...etc...Et je fais des bons petits plats
Je suis persuadée que derrière cette affirmation "les légumes sont trop chers", la réalité c'est que les gens aujourd'hui n'ont plus envie ou n'ont jamais pris l'habitude de laver, éplucher, cuisiner des légumes : ça les embête, ce serait aussi simple de le dire!
Je vois des parents au supermarché, nantis d'enfants obèses, dont le caddie est bourré de cochonneries, sans un légume, sans un fruit. Ceux-là aussi trouvent qu'ils sont trop chers.
Enfin, concernant le prix des produits bio : avez-vous une idée de ce que coûtent les problèmes de santé, d'environnement (dépollution de l'eau par exemple), les subventions publiques etc...que la société paie, et non pas les producteurs intensifs. Quand on parle du prix des légumes "intensifs" on devrait y inclure le prix des dégâts.

serabeth a écrit :J'entends souvent des gens qui ont de faibles revenus dire que les légumes et fruits sont chers. Je ne suis pas d'accord

Je ne vais pas polémiquer sur le prix des légumes car nous dépendons tous du contenu de notre porte monnaie.
Mais le kilo de pomme a 2 € alors que dans mon beau département il y a des vergers plein de pommes qui
pourrissent par terre sa me laisse perplexe. ( La PAC est passé par la )

serabeth a écrit :a réalité c'est que les gens aujourd'hui n'ont plus envie ou n'ont jamais pris l'habitude de laver, éplucher, cuisiner des légumes : ça les embête, ce serait aussi simple de le dire!

Non non, la preuve beaucoup de gens modeste reviennent au petit potager.
Mode ou véritable prise de conscience !

serabeth a écrit :Je vois des parents au supermarché, nantis d'enfants obèses, dont le caddie est bourré de cochonneries, sans un légume, sans un fruit. Ceux-là aussi trouvent qu'ils sont trop chers.

Le marketing les médias ont fait du bon bouleau les enfants sont une aubaine pour les hyper et autre temple de
la consommation ...

serabeth a écrit :Enfin, concernant le prix des produits bio : avez-vous une idée de ce que coûtent les problèmes de santé, d'environnement (dépollution de l'eau par exemple), les subventions publiques etc...que la société paie, et non pas les producteurs intensifs. Quand on parle du prix des légumes "intensifs" on devrait y inclure le prix des dégâts.

Voila ou nous a conduit la politique agricole commune PAC :

Dénonciation du « coût environnemental et social »

Certains détracteurs accusent la PAC d'avoir un coût environnemental et social important en privilégiant la quantité sur la qualité, en favorisant la productivité agricole sur l'emploi agricole, et ainsi poussant à la concentration des exploitations et la diminution du nombre d'agriculteurs.
Cette dénonciation est toutefois en baisse depuis le découplage des aides de 2003 (appliqué en 2006 en France).

Le volet environnemental, en particulier, fait l'objet de vives critiques, d'ailleurs considérées comme justifiées par les autorités car les réformes successives ont jusqu'à présent modifié la PAC pour qu'elle inclue de plus en plus d'aspects environnementaux (souvent à la discrétion des États membres). Ces modifications sont encore loin de donner satisfaction aux organisations environnementales, et suscitent aussi la critique des organisations agricoles.

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Mais le kilo de pomme à 2 € alors que dans mon beau département il y a des vergers plein de pommes qui
pourrissent par terre ça me laisse perplexe.

Moi pas : les pommes sont des pommes à couteau, ramassées, rangées, expédiées...Il y a beaucoup plus de perte, que dans le cas des pommes à jus.

Or, rien que le ramassage de pommes en vrac pour faire du jus de pommes coûte au moins 12 centimes le kg, rien que pour payer le ramasseur (en effet : un ramasseur de pommes doit en ramasser une tonne par jour, (sinon, il ne fait pas l'affaire) et il est payé au SMIC, + les cotisations sociales).

Cela dit, dans mon coin aussi il y a pas mal de pommiers, dont le propriétaire ne ramasse plus ou pas toutes les pommes : je demande au propriétaire et je ramasse ce qu'il me faut pour l'hiver.
Idem pour les prunes.

et dans tous ça ou en est notre journaliste