Mort de Philippe Seguin: champagne à l'Elysée...
Publié : 07 janv. 2010
Avec la mort de Seguin, Foutriquet perd un de ses principal opposant... Chez Bachelot et dans les labo pharmaceutiques aussi ça doit être la fête... 

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Crois-tu ? Il doit bien laisser au moins une veuveNous n'aurons pas - au moins - à payer sa retraite !
Le jauni est né en 43, il va avoir 67 ans, donc kif-kifIl était un peu plus âgé.
article complet et sourceCertes, on peut regretter que M. Séguin ait voué son existence à une lutte d’arrière-garde contre la décomplexion de la classe politique, que 53% des Français appellent de leurs vœux selon un sondage Ipsos/Elections présidentielles. Certes, M. Séguin qui a présidé la Cour des Comptes, institution crypto-marxiste qui fait obstacle à la libre circulation des capitaux publics, siègera bientôt à la droite de Georges Marchais. Mais la décence nous oblige néanmoins à adresser un dernier salut amical à celui qui s’en va. La rédaction s’associe à la douleur de ses proches et à celle du Parti Socialiste qui perd là un de ses plus augustes représentants.
Oui un peut quand même YvesYves a écrit :Ils en font bcp (les médias)… sur la mort de Philippe Seguin (paix à son âme… si âme il y a).
Seguin a passé sa vie à "dénoncer" plus qu'à agir.
C'était un apparatchik du système, bien nourri, bien payé, bien récompensé de titres et fonctions honorifiques.
Certes, il lui arrivait de pousser des coups de gueule, mais il a rarement claqué la porte.
À la tête de la Cour des Comptes, il était dans son rôle, rien de plus, en dénonçant les excès et autres dérapages financiers.
La fonction était avant tout "honorifique" et les "émoluments" très confortables. D'autres auraient pu remplir cette mission avec talent…
C'est aussi "l'inventeur" de la "fracture sociale", cette supercherie qui a permis à Chirac de s'installer durablement à l'Élysée avec le résultat qu'on connaît sur le non comblement, justement, de cette "fracture sociale".
Seguin était un politicien habile. Il a bien vécu, bien profité, bien bu et bien mangé aux frais de la République.
Trop mangé et trop bu ? Et trop fumé aussi, je crois.
Il est mort d'une crise cardiaque à 67 ans. Nous n'aurons pas - au moins - à payer sa retraite !
Je suis méchant… Pardon !
(SuperUser)Si c'est pas Johnny ou la grippe A, c'est Philippe Séguin
article complet et sourceLes politiques français avaient du mal à enclencher en ce début d'année. Le moteur toussotait. Le froid. La neige. Paralysant. La mort de Philippe Séguin et le gros concert de pitié gélatineuse, des deux côtés de la rive (gauche et droite), ont apporté un semblant d'éclaircie. A part ça, pas grand-chose à se mettre sous la molaire. Accrochés aux lampadaires du misérabilisme quelques baveux pleurent une disparition dont ils n'ont, au fond, rien à carrer.