Objecti emploi et besoin de conseils
Publié : 14 nov. 2005
Salut à tous, voici ma très longue histoire qui débouchera sur un besoin de conseils,
Je suis au chômage depuis début mai (pousser à demissioner). Fin juin, après mon 1er RDV avec l'ANPE, j'étais tellement en colère contre le système et son manque de formation quand on a dépassé 26 ans (j'en ai 27) que j'ai écrit au président pour me défouler. Je ralais contre le système et non contre le conseiller qui m'avait reçu. Il avait été plutôt sympa.
En août, j'ai été agréablement surprise de recevoir une réponse pleine de blabla, mais une réponse quand même.
J'ai retravailler un mois en août et effectuer un bilan de compétence imposé par l'anpe. Cela m'a cependant remis les idées en place et m'a permis d'établir un projet de formation solide. De plus, faute de pouvoir m'embaucher cet employeur, c'est engagé à me fournir un terrain de stage pour ma formation.
Début octobre, j'ai passé mes tests à l'afpa et fin novembre, je suis convoqué pour l'entretien. Ma formation n'étant pas très prisé, je suis certaine d'avoir une place en décembre ou en mars.
De plus, j'ai enfin eu le droit au allocation chômage début octobre puisque je n'ai pas arrêté en parallèle de chercher un travail ou une formation. Bref, les choses semblaient s'arranger.
Mais voilà que le 15 octobre, je reçois une lettre du préfet m'annonçant que suite à une demande présidentielle, je serais prochainement reçu par le directeur de l'anpe pour un entretien. Je me suis dit : "ouille, ça sent le rouçi !"
En six mois, mes seuls contacts avec eux, c'était résumé au 1er entretien puis 2 fois ou j'ai piqué une crise pour qu'ils prennent rdv avec l'afpa. Je devais suivre la procédure et attendre ma convocation pour parler de la fin du bilan de compétence. Je m'y suis plié et un mois après la fin du bilan, j'y suis retournée. Même barratin ! Finalement, un conseiller très sympathique est intervenu et à fait les démarches.
Le courrier de convocation est arrivé le lendemain et j'ai craint le pire. Je me suis dit que le directeur n'allait pas être heureux de se faire taper sur les doigts par le prefet. Et c 'est ce qui est arrivé, la sous-directrice m'a vraiment traité comme une petite idiote qui ne savait pas ce qu'elle faisait et ce qu'elle voulait. Le préfet lui avait joint mon courrier. Mon dossier était mal remplie et c'était ma faute. Si le conseiller avait inscrit que j'avais le permis, c'est que forement je lui avais dit !!! Elle m'a fait subir un intterogatoire sur mes recherches d'emploi et voyant que je m'y prenais bien et utilisais toutes les méthodes possible, elle s'est encore plus enervée. Et moi, j'essayais vraiment de rester calme pour ne pas avoir d'ennuis. Elle a pris mes projet de formation de haut en me disant que la formation n'existait pas. J'ai cru qu'elle allait exploser quand j'ai sorti les papiers en faisant réference. Finalament, elle a décrété de m'envoyer à la prestation "objectif emploi". Elle m'a dit que c'était pour m'expliquer comment chercher un emploi. mais, elle venait de me prouver que je m'y prenais et le gars du bilan de compétence m'avait déjà fait travailler dessu. Alors, je lui est dit avec diplomatie que je n'avais pas besoin de quelqu'un pour surveiller mes faits et gestes et que d'autres personnes avaient probablement bien plus besoin de cette prestation que moi. Elle m'a répondu argneusement:"Fallait bien vous douter , mademoiselle, qu'après une lettre comme ça, on ne pas nous ne rien faire ! Alors, c'est ça ou la radiation !"
Et voilà pour se justifier eux, je me retrouvais avec un tuteur. J'ai ravalé ma colère et me suis resignée encore une fois à suivre le système. Seulement, j'ai confondu ma date de rdv avec celle de l'afpa (un le 27 et l'autre le 28) et me suis le lendemain persuadé d'être le bon jour. Seulement la personne n'était pas là et personne ne pouvait me renseigner. J'ai laissé un message à l'attention de la personne (un homme) et me suis présenté aussitôt à l'anpe. Un conseiller s'est démené pour trouver un numéro où joindre ce monsieur pendant une demi-heure. Finalement, son supérieur a refusé d'annuler le contrat et on m'a donné le numéro d'une association où il devait se trouver un jour de la semaine suivante. J'ai pris le numéro et j'ai envoyé un recommandé à l'anpe en résumant la situation afin de couvrir mes arrières. seulement, le jour dit, il n'y était pas. Ce même jour, une femme d'objectif formation me laisse un message m'indiquant que je viens de rater notre rdv. Quelle rdv ? J'essaie de l'a rappeller, mais pareille, elle n'était que de passage et personne ne sait quand elle revient. Je lui envoie donc un courrier à cette adresse en me disant qu'elle finira bien par l'avoir. Elle finit par me rappeler et m'agresse ne comprenant rien à mon histoire de rdv manquer. Elle finit par conclure en colère que je dois retourner à l'anpe et que lorque je saurais avec qui j'ai rdv de la rappeller. Biensûr sans me laisser de numéro ! Ca fait une semaine... Je n'ai aucune nouvelle de personne.
Alors après mon roman, voiçci ma question : dois-je laisser couler et me faire oublier ou dois-je courir après un rdv à l'anpe pour une prestation que je ne voulais ? Je ne veux pas me faire rayer des listes, mais j'ai vraiment l'impression de n'être qu'un numéro. Si je ne fais rien, je risque quoi ?
A votre avis ?
Merci à tous
Je suis au chômage depuis début mai (pousser à demissioner). Fin juin, après mon 1er RDV avec l'ANPE, j'étais tellement en colère contre le système et son manque de formation quand on a dépassé 26 ans (j'en ai 27) que j'ai écrit au président pour me défouler. Je ralais contre le système et non contre le conseiller qui m'avait reçu. Il avait été plutôt sympa.
En août, j'ai été agréablement surprise de recevoir une réponse pleine de blabla, mais une réponse quand même.
J'ai retravailler un mois en août et effectuer un bilan de compétence imposé par l'anpe. Cela m'a cependant remis les idées en place et m'a permis d'établir un projet de formation solide. De plus, faute de pouvoir m'embaucher cet employeur, c'est engagé à me fournir un terrain de stage pour ma formation.
Début octobre, j'ai passé mes tests à l'afpa et fin novembre, je suis convoqué pour l'entretien. Ma formation n'étant pas très prisé, je suis certaine d'avoir une place en décembre ou en mars.
De plus, j'ai enfin eu le droit au allocation chômage début octobre puisque je n'ai pas arrêté en parallèle de chercher un travail ou une formation. Bref, les choses semblaient s'arranger.
Mais voilà que le 15 octobre, je reçois une lettre du préfet m'annonçant que suite à une demande présidentielle, je serais prochainement reçu par le directeur de l'anpe pour un entretien. Je me suis dit : "ouille, ça sent le rouçi !"
En six mois, mes seuls contacts avec eux, c'était résumé au 1er entretien puis 2 fois ou j'ai piqué une crise pour qu'ils prennent rdv avec l'afpa. Je devais suivre la procédure et attendre ma convocation pour parler de la fin du bilan de compétence. Je m'y suis plié et un mois après la fin du bilan, j'y suis retournée. Même barratin ! Finalement, un conseiller très sympathique est intervenu et à fait les démarches.
Le courrier de convocation est arrivé le lendemain et j'ai craint le pire. Je me suis dit que le directeur n'allait pas être heureux de se faire taper sur les doigts par le prefet. Et c 'est ce qui est arrivé, la sous-directrice m'a vraiment traité comme une petite idiote qui ne savait pas ce qu'elle faisait et ce qu'elle voulait. Le préfet lui avait joint mon courrier. Mon dossier était mal remplie et c'était ma faute. Si le conseiller avait inscrit que j'avais le permis, c'est que forement je lui avais dit !!! Elle m'a fait subir un intterogatoire sur mes recherches d'emploi et voyant que je m'y prenais bien et utilisais toutes les méthodes possible, elle s'est encore plus enervée. Et moi, j'essayais vraiment de rester calme pour ne pas avoir d'ennuis. Elle a pris mes projet de formation de haut en me disant que la formation n'existait pas. J'ai cru qu'elle allait exploser quand j'ai sorti les papiers en faisant réference. Finalament, elle a décrété de m'envoyer à la prestation "objectif emploi". Elle m'a dit que c'était pour m'expliquer comment chercher un emploi. mais, elle venait de me prouver que je m'y prenais et le gars du bilan de compétence m'avait déjà fait travailler dessu. Alors, je lui est dit avec diplomatie que je n'avais pas besoin de quelqu'un pour surveiller mes faits et gestes et que d'autres personnes avaient probablement bien plus besoin de cette prestation que moi. Elle m'a répondu argneusement:"Fallait bien vous douter , mademoiselle, qu'après une lettre comme ça, on ne pas nous ne rien faire ! Alors, c'est ça ou la radiation !"
Et voilà pour se justifier eux, je me retrouvais avec un tuteur. J'ai ravalé ma colère et me suis resignée encore une fois à suivre le système. Seulement, j'ai confondu ma date de rdv avec celle de l'afpa (un le 27 et l'autre le 28) et me suis le lendemain persuadé d'être le bon jour. Seulement la personne n'était pas là et personne ne pouvait me renseigner. J'ai laissé un message à l'attention de la personne (un homme) et me suis présenté aussitôt à l'anpe. Un conseiller s'est démené pour trouver un numéro où joindre ce monsieur pendant une demi-heure. Finalement, son supérieur a refusé d'annuler le contrat et on m'a donné le numéro d'une association où il devait se trouver un jour de la semaine suivante. J'ai pris le numéro et j'ai envoyé un recommandé à l'anpe en résumant la situation afin de couvrir mes arrières. seulement, le jour dit, il n'y était pas. Ce même jour, une femme d'objectif formation me laisse un message m'indiquant que je viens de rater notre rdv. Quelle rdv ? J'essaie de l'a rappeller, mais pareille, elle n'était que de passage et personne ne sait quand elle revient. Je lui envoie donc un courrier à cette adresse en me disant qu'elle finira bien par l'avoir. Elle finit par me rappeler et m'agresse ne comprenant rien à mon histoire de rdv manquer. Elle finit par conclure en colère que je dois retourner à l'anpe et que lorque je saurais avec qui j'ai rdv de la rappeller. Biensûr sans me laisser de numéro ! Ca fait une semaine... Je n'ai aucune nouvelle de personne.
Alors après mon roman, voiçci ma question : dois-je laisser couler et me faire oublier ou dois-je courir après un rdv à l'anpe pour une prestation que je ne voulais ? Je ne veux pas me faire rayer des listes, mais j'ai vraiment l'impression de n'être qu'un numéro. Si je ne fais rien, je risque quoi ?
A votre avis ?
Merci à tous