Violences urbaines : lettre ouverte aux angéliques et ...
Publié : 07 nov. 2005
Violences urbaines : lettre ouverte aux angéliques et aux donneurs de leçons
Notre pays est aujourd’hui confronté à de violentes émeutes urbaines. Des bandes de criminels ont tiré sur la police avec des armes de gros calibre. Il y a quelques jours, un père de famille de 56 ans est mort sous les coups de poings et de pieds de ses agresseurs et très récemment, une femme handicapée a été aspergée d’essence avant d’être enflammée dans le bus où elle se trouvait.
Pendant que la paix civile et la vie de certains de nos compatriotes sont menacées, certains osent polémiquer, en pratiquant le mensonge et la désinformation. Quel manque de dignité !
Messieurs les diffamateurs, faut-il vous rappeler le long cortège de vos échecs ? Ces émeutes sont la conséquence directe de votre politique laxiste et angélique. Mais les Français, eux, n’ont pas oublié votre triste et calamiteux record : plus de 4,1 millions de crimes et de délits constatés en France en 2002 ! Savez-vous qu’en moins de deux ans, en nous montrant résolument pragmatiques, nous avons ramené ce chiffre à 3,8 millions, soit presque 8% de moins ? Et cette diminution se poursuit cette année encore.
Manifestement, vous n’avez pas tiré les leçons du 21 avril et vous persistez dans l’erreur. Non, ne faites pas semblant d’ignorer que la police de proximité seule ne suffit pas. Elle ne peut être mise en œuvre au détriment de la police d’investigation et d’interpellation. Ce sont deux modes d’action complémentaires.
Alors que vous avez placé des jeunes îlotiers sans expérience et sans compétences judiciaires dans les banlieues en leur demandant de jouer les assistantes sociales, nous avons, quant à nous, envoyé 17 compagnies républicaines de sécurité et 7 escadrons de gendarmerie mobile, dans le but de renforcer les services de sécurité publique des sites les plus sensibles.
Pourquoi ? Parce que nous ne voulons plus tolérer l’existence de zones de non droit sur le sol de la République. Parce que nous ne voulons plus de territoires interdits où prospèrent le crime organisé et les trafics mafieux. C’est l’objet de la création de ces Groupements d’intervention régionaux (GIR) dont le succès n’est plus à démontrer. Les Français, où qu’ils vivent, ont le droit de vivre en sécurité.
Le combat que nous menons, aux côtés du gouvernement, est une cause juste. C’est le combat pour le retour de la loi républicaine, pour le droit à la sécurité des populations qui n'ont souvent d'autre choix que d’habiter dans ces quartiers en déshérence. La répression n’est pas un mot tabou quand elle est nécessaire et proportionnée.
Ferme et juste. Voilà les deux objectifs qui sont les nôtres. Fermeté avec ceux qui pratiquent la violence et vivent du crime ; justice pour ceux qui respectent les règles de la République et qui veulent s’en sortir.
Nous avons confiance dans le bon sens de nos compatriotes qui ont compris depuis 2002 que les victimes valent mieux que leurs bourreaux et que les faibles doivent être protégés contre l’abus des forts.
La culture de l’excuse systématique a développé chez les délinquants un sentiment d’impunité absolue. Nous sommes aujourd’hui plus encore qu’hier totalement déterminés à y mettre un terme.
N’ayons pas peur de demander pour les voyous une tolérance zéro !
La police de proximité version Jospin-Vaillant a mené au 21 avril, à amener Jean-Marie LE PEN au deuxième tour.
Les socialistes voulaient rassurer, persuadés qu’ils étaient que les Français étaient confrontés à un « sentiment d’insécurité ». C’était le rôle de la police de proximité, à qui on demandait de serrer la main de la boulangère et de jouer au foot dans les quartiers.
La réalité est toute autre, l’insécurité est réelle. Nicolas SARKOZY s’y est attaqué avec courage dès 2002 en changeant les méthodes de la police, en lui demandant d’assumer sa mission : rétablir l’ordre et interpeller.
La délinquance a baissé dans notre pays. En s’attaquant au crime organisé dans les quartiers, le Ministre de l’Intérieur montre une fois de plus sa détermination. Nous devons être rassemblés autour de lui et autour des forces de l’ordre qui défendent l’Etat Républicain.
Ce que nos concitoyens attendent, c’est une sécurité de proximité.
Notre pays est aujourd’hui confronté à de violentes émeutes urbaines. Des bandes de criminels ont tiré sur la police avec des armes de gros calibre. Il y a quelques jours, un père de famille de 56 ans est mort sous les coups de poings et de pieds de ses agresseurs et très récemment, une femme handicapée a été aspergée d’essence avant d’être enflammée dans le bus où elle se trouvait.
Pendant que la paix civile et la vie de certains de nos compatriotes sont menacées, certains osent polémiquer, en pratiquant le mensonge et la désinformation. Quel manque de dignité !
Messieurs les diffamateurs, faut-il vous rappeler le long cortège de vos échecs ? Ces émeutes sont la conséquence directe de votre politique laxiste et angélique. Mais les Français, eux, n’ont pas oublié votre triste et calamiteux record : plus de 4,1 millions de crimes et de délits constatés en France en 2002 ! Savez-vous qu’en moins de deux ans, en nous montrant résolument pragmatiques, nous avons ramené ce chiffre à 3,8 millions, soit presque 8% de moins ? Et cette diminution se poursuit cette année encore.
Manifestement, vous n’avez pas tiré les leçons du 21 avril et vous persistez dans l’erreur. Non, ne faites pas semblant d’ignorer que la police de proximité seule ne suffit pas. Elle ne peut être mise en œuvre au détriment de la police d’investigation et d’interpellation. Ce sont deux modes d’action complémentaires.
Alors que vous avez placé des jeunes îlotiers sans expérience et sans compétences judiciaires dans les banlieues en leur demandant de jouer les assistantes sociales, nous avons, quant à nous, envoyé 17 compagnies républicaines de sécurité et 7 escadrons de gendarmerie mobile, dans le but de renforcer les services de sécurité publique des sites les plus sensibles.
Pourquoi ? Parce que nous ne voulons plus tolérer l’existence de zones de non droit sur le sol de la République. Parce que nous ne voulons plus de territoires interdits où prospèrent le crime organisé et les trafics mafieux. C’est l’objet de la création de ces Groupements d’intervention régionaux (GIR) dont le succès n’est plus à démontrer. Les Français, où qu’ils vivent, ont le droit de vivre en sécurité.
Le combat que nous menons, aux côtés du gouvernement, est une cause juste. C’est le combat pour le retour de la loi républicaine, pour le droit à la sécurité des populations qui n'ont souvent d'autre choix que d’habiter dans ces quartiers en déshérence. La répression n’est pas un mot tabou quand elle est nécessaire et proportionnée.
Ferme et juste. Voilà les deux objectifs qui sont les nôtres. Fermeté avec ceux qui pratiquent la violence et vivent du crime ; justice pour ceux qui respectent les règles de la République et qui veulent s’en sortir.
Nous avons confiance dans le bon sens de nos compatriotes qui ont compris depuis 2002 que les victimes valent mieux que leurs bourreaux et que les faibles doivent être protégés contre l’abus des forts.
La culture de l’excuse systématique a développé chez les délinquants un sentiment d’impunité absolue. Nous sommes aujourd’hui plus encore qu’hier totalement déterminés à y mettre un terme.
N’ayons pas peur de demander pour les voyous une tolérance zéro !
La police de proximité version Jospin-Vaillant a mené au 21 avril, à amener Jean-Marie LE PEN au deuxième tour.
Les socialistes voulaient rassurer, persuadés qu’ils étaient que les Français étaient confrontés à un « sentiment d’insécurité ». C’était le rôle de la police de proximité, à qui on demandait de serrer la main de la boulangère et de jouer au foot dans les quartiers.
La réalité est toute autre, l’insécurité est réelle. Nicolas SARKOZY s’y est attaqué avec courage dès 2002 en changeant les méthodes de la police, en lui demandant d’assumer sa mission : rétablir l’ordre et interpeller.
La délinquance a baissé dans notre pays. En s’attaquant au crime organisé dans les quartiers, le Ministre de l’Intérieur montre une fois de plus sa détermination. Nous devons être rassemblés autour de lui et autour des forces de l’ordre qui défendent l’Etat Républicain.
Ce que nos concitoyens attendent, c’est une sécurité de proximité.