Ne serais t'il pas judicieux au vue de ladurée des évenements (8 jours) d'imposer un couvre-feu ?
J'ai le sentiment que le gvt souhaite que l"'incendie" s'éteigne de lui meme !
Au mépris, des gens (souvent modestes) qui voient bruler leur moyen de transport.
Avons-nous si tant peu de valeur aux yeux de ce gouvernement de m ... . ?
Pourquoi le gouvernement n'agit pas ?
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neko.miaou
Instaurer un couvre feu....
Désolé, je n'ai jamais vécu dans un pays en guerre, je demande donc une confirmation : un couvre feu, c'est bien l'interdiction de sortir après une certaine heure, sous peine d'arrestation et de mise en prison, c'est bien ça? Et c'est généralement fait par l'armée, quoi que ça puisse être fait sans doute par la police aussi?
Super idée, si on a envie de mettre encore plus d'huile sur le feu. Je vois mal les jeunes des banlieux, déjà haineux envers un état qui à leur yeux, ne leur donne rien mais leur interdit tout, bien réagir a une soudaine interdiction de ce déplacer et sortir de chez eux passer 20 heure ou 22 heure.
Et comme ni l'armée, ni la police n'auront la connaissance du terrain qu'on ces jeunes, et a moins de lancer une mega opération de surveillance des portables, des e-mail, des SMS et de tout autre moyen de communication, je ne vois vraiment pas comment on pourrait faire appliquer ce couvre feu et empecher les jeune encore plus en colère de sortir, ce réunir et casser encore plus.
Pour moi, l'idée du couvre feu, si vous voulez que la situation empire, s'étende dans toute les banlieus de France et devienne rellement une guerilla, avec son lot de destruction et de morts (je crois qu'il n'y en pas eu pour le moment), c'est ce qu'il faut faire. C'est la rage et l'amertume qui motive ces évenements, et c'est pas en donnant encore plus de motifs de rage qu'on amélioreras les choses...
Si par contre, on jouait la carte de l'apaisement,e t qu'on décidais de mettre en oeuvre une vrai politique sociale dans les quartiers, avec les moyen nécessaire, ça donnerais peut être quelques chose. Mais aaprement, ça en prend pas le chemin...
Peut être que le gouvernement n'attend pas l'apaisement sans effort mais bel et bien l'explosion, pour pouvoir ensuite rebondir de nouveau sur le danger des banlieu en 2007; peut être que les gogos pourraient marcher....
Désolé, je n'ai jamais vécu dans un pays en guerre, je demande donc une confirmation : un couvre feu, c'est bien l'interdiction de sortir après une certaine heure, sous peine d'arrestation et de mise en prison, c'est bien ça? Et c'est généralement fait par l'armée, quoi que ça puisse être fait sans doute par la police aussi?
Super idée, si on a envie de mettre encore plus d'huile sur le feu. Je vois mal les jeunes des banlieux, déjà haineux envers un état qui à leur yeux, ne leur donne rien mais leur interdit tout, bien réagir a une soudaine interdiction de ce déplacer et sortir de chez eux passer 20 heure ou 22 heure.
Et comme ni l'armée, ni la police n'auront la connaissance du terrain qu'on ces jeunes, et a moins de lancer une mega opération de surveillance des portables, des e-mail, des SMS et de tout autre moyen de communication, je ne vois vraiment pas comment on pourrait faire appliquer ce couvre feu et empecher les jeune encore plus en colère de sortir, ce réunir et casser encore plus.
Pour moi, l'idée du couvre feu, si vous voulez que la situation empire, s'étende dans toute les banlieus de France et devienne rellement une guerilla, avec son lot de destruction et de morts (je crois qu'il n'y en pas eu pour le moment), c'est ce qu'il faut faire. C'est la rage et l'amertume qui motive ces évenements, et c'est pas en donnant encore plus de motifs de rage qu'on amélioreras les choses...
Si par contre, on jouait la carte de l'apaisement,e t qu'on décidais de mettre en oeuvre une vrai politique sociale dans les quartiers, avec les moyen nécessaire, ça donnerais peut être quelques chose. Mais aaprement, ça en prend pas le chemin...
Peut être que le gouvernement n'attend pas l'apaisement sans effort mais bel et bien l'explosion, pour pouvoir ensuite rebondir de nouveau sur le danger des banlieu en 2007; peut être que les gogos pourraient marcher....
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Invité
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gaia
Après la réunion, le Premier ministre a reçu le recteur de la mosquée de Paris Dalil Boubakeur qui a réclamé des "paroles de paix" au gouvernement.
897 véhicules ont été brûlés et 253 personnes interpellées lors de la 9e nuit d'incidents en Ile-de-France et en province. A Aulnay-sous-Bois, 500 personnes se sont réunies pour dénoncer la violence.
Outre les 897 véhicules brûlés (656 en région parisienne), le procureur général de Paris Yves Bot a fait état de plusieurs bâtiments et entrepôts brûlés, samedi matin sur Europe 1. Il a ajouté que les incidents de la dernière nuit s'apparentaient à des "violences organisées".
Aucun affrontement n'a été relevé, ce qui confirme la stratégie d'évitement de la confrontation avec les forces de l'ordre adoptée depuis la nuit de jeudi à vendredi par les fauteurs de troubles. Toutefois, les forces de l'ordre ont réalisé beaucoup plus d'interpellations de fauteurs de troubles présumés que la veille (253 contre 7
. Il s'agissait d'une priorité d'action fixée aux policiers.
En Ile-de-France comme en province, les voitures brûlées l'ont été à chaque fois en petit nombre et souvent par propagation. Pour la première fois, vendredi, des véhicules ont été incendiés en journée en Seine-Saint-Denis et dans l'Essonne.
Le nombre de véhicules incendiés en région parisienne (voitures, bus, camions, deux-roues...) s'est établi à 656 contre 519 la veille.
Rassemblement à Aulnay-sous-Bois
Plus de 500 personnes se sont rassemblées samedi en fin de matinée devant la caserne des pompiers d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) à l'appel du maire qui voulait marquer ainsi que sa ville "ne cédait pas à la violence".
En Seine-Saint-Denis
- A Aubervilliers, deux entrepôts de textiles ont été la cible d'incendies.
- A Pierrefitte-sur-Seine, un engin incendiaire a été lancé "sur le mur d'une synagogue". Par ailleurs, plus d'une centaine de personnes ont été évacuées pendant la nuit après le déclenchement d'un incendie dans un parking souterrain sous leurs deux immeubles.
- A Epinay, une cinquantaine de jeunes cagoulés ont saccagé une dizaine de voitures.
Dans les Yvelines
- A Achères, une école maternelle a brûlé.
- Aux Mureaux, comme jeudi soir, une centaine de jeunes se sont regroupés, provoquant les policiers. En divers endroits, les forces de l'ordre ont constaté la présence de petits groupes très mobiles, qui ne recherchaient pas la confrontation directe mais semblaient envisager de commettre des dégradations disséminées.
En Seine-et-Marne
- A Meaux, un véhicule des sapeurs-pompiers a été détruit.
- A Torcy, le collège Jean-Monet est à moitié détruit.
Dans le Val-de-Marne
- A Champigny, un bus a été vidé de ses occupants et incendié.
- A Ormesson-sur-Marne, un important incendie s'est produit dans un magasin de meubles.
En Essonne
- A Corbeil-Essonne, une concession Opel et un dépôt de pneus ont brûlé dans le quartier des Coquibus, proche de la cité sensible des Tarterêts. Un policier y a été blessé par deux pavés.
- La mairie de Saint-Michel-sur-Orge a été ravagée en partie par un incendie.
- A Brétigny-sur-Orge, une école maternelle et primaire a été détruite en partie.
Dans les Hauts-de-Seine
- A Suresnes, un incendie s'est propagé de véhicule en véhicule dans un parking souterrain, entraînant la destruction de 36 voitures.
- A Clamart, selon une source policière, un enfant de dix ans a été interpellé avec une bouteille d'essence dans les mains tandis qu'à Boulogne, la police a arrêté un fauteur de trouble qui aurait aspergé quinze véhicules légers.
Dans le Val-d'Oise
- A Villiers-le-Bel, des tirs de grenaille en direction des policiers ont été signalés.
En Province
- A Cléon, près de Rouen, des inconnus ont lancé des bouteilles incendiaires dans un bus vendredi soir avant de s'enfuir. La conductrice et les passagers ont pu descendre juste avant que le véhicule ne fût détruit par les flammes. Résultat, samedi matin, les chauffeurs ont décidé d'exercer leur "droit de retrait" et n'ont pas pris leur service.
- A Strasbourg, 17 véhicules ont été incendiés dans la nuit de vendredi à samedi dans plusieurs quartiers.
- A Pau, 11 véhicules de tourisme ont été incendiés dans la nuit de vendredi à samedi dans le quartier sensible de l'Ousse-des-bois.
- A Toulouse, neuf véhicules ont été incendiés dans la nuit de vendredi à samedi dans différents quartiers, particulièrement dans celui du Mirail en bordure du périphérique.
- Dans l'agglomération de Bordeaux, dix véhicules et une salle pour les jeunes ont été incendiés.
- A Soissons, deux bus ont été incendiés sans faire de victime. Plus de 60 véhicules ont été incendiées dans le Nord et en Picardie.
- A Nice, une quinzaine de véhicules ont brûlé dans deux quartiers de Nice et deux communes de la périphérie.
- A Dijon, une dizaine de voitures ont été incendiées dans un parking souterrain.
A Epinay-sur-Seine, un hommage a été rendu samedi à l'homme tué le 27 octobre alors qu'il prenait des photos dans le quartier d'Orgemont.
200 habitants et élus de la commune de Seine-Saint-Denis ont observé une minute de silence, une cérémonie qui a été perturbée par un mouvement d'extrême droite.
Jean-Claude Irvoas, employé dans une entreprise d'éclairage public, prenait pour son travail des photos dans le quartier d'Orgement quand il avait été battu à mort par trois hommes.
Un incendie aux conséquences dramatiques
Mercredi soir, une femme handicapée de 56 ans a été gravement brûlée lors de l'attaque d'un autobus à Sevran (Seine-Saint-Denis). Des jeunes ont lancé une bouteille d'essence enflammée dans le bus. La victime n'a pu sortir et un jeune l'aurait aspergée d'essence, puis d'autres auraient lancé un chiffon enflammé dans le véhicule.
897 véhicules ont été brûlés et 253 personnes interpellées lors de la 9e nuit d'incidents en Ile-de-France et en province. A Aulnay-sous-Bois, 500 personnes se sont réunies pour dénoncer la violence.
Outre les 897 véhicules brûlés (656 en région parisienne), le procureur général de Paris Yves Bot a fait état de plusieurs bâtiments et entrepôts brûlés, samedi matin sur Europe 1. Il a ajouté que les incidents de la dernière nuit s'apparentaient à des "violences organisées".
Aucun affrontement n'a été relevé, ce qui confirme la stratégie d'évitement de la confrontation avec les forces de l'ordre adoptée depuis la nuit de jeudi à vendredi par les fauteurs de troubles. Toutefois, les forces de l'ordre ont réalisé beaucoup plus d'interpellations de fauteurs de troubles présumés que la veille (253 contre 7
. Il s'agissait d'une priorité d'action fixée aux policiers.En Ile-de-France comme en province, les voitures brûlées l'ont été à chaque fois en petit nombre et souvent par propagation. Pour la première fois, vendredi, des véhicules ont été incendiés en journée en Seine-Saint-Denis et dans l'Essonne.
Le nombre de véhicules incendiés en région parisienne (voitures, bus, camions, deux-roues...) s'est établi à 656 contre 519 la veille.
Rassemblement à Aulnay-sous-Bois
Plus de 500 personnes se sont rassemblées samedi en fin de matinée devant la caserne des pompiers d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) à l'appel du maire qui voulait marquer ainsi que sa ville "ne cédait pas à la violence".
En Seine-Saint-Denis
- A Aubervilliers, deux entrepôts de textiles ont été la cible d'incendies.
- A Pierrefitte-sur-Seine, un engin incendiaire a été lancé "sur le mur d'une synagogue". Par ailleurs, plus d'une centaine de personnes ont été évacuées pendant la nuit après le déclenchement d'un incendie dans un parking souterrain sous leurs deux immeubles.
- A Epinay, une cinquantaine de jeunes cagoulés ont saccagé une dizaine de voitures.
Dans les Yvelines
- A Achères, une école maternelle a brûlé.
- Aux Mureaux, comme jeudi soir, une centaine de jeunes se sont regroupés, provoquant les policiers. En divers endroits, les forces de l'ordre ont constaté la présence de petits groupes très mobiles, qui ne recherchaient pas la confrontation directe mais semblaient envisager de commettre des dégradations disséminées.
En Seine-et-Marne
- A Meaux, un véhicule des sapeurs-pompiers a été détruit.
- A Torcy, le collège Jean-Monet est à moitié détruit.
Dans le Val-de-Marne
- A Champigny, un bus a été vidé de ses occupants et incendié.
- A Ormesson-sur-Marne, un important incendie s'est produit dans un magasin de meubles.
En Essonne
- A Corbeil-Essonne, une concession Opel et un dépôt de pneus ont brûlé dans le quartier des Coquibus, proche de la cité sensible des Tarterêts. Un policier y a été blessé par deux pavés.
- La mairie de Saint-Michel-sur-Orge a été ravagée en partie par un incendie.
- A Brétigny-sur-Orge, une école maternelle et primaire a été détruite en partie.
Dans les Hauts-de-Seine
- A Suresnes, un incendie s'est propagé de véhicule en véhicule dans un parking souterrain, entraînant la destruction de 36 voitures.
- A Clamart, selon une source policière, un enfant de dix ans a été interpellé avec une bouteille d'essence dans les mains tandis qu'à Boulogne, la police a arrêté un fauteur de trouble qui aurait aspergé quinze véhicules légers.
Dans le Val-d'Oise
- A Villiers-le-Bel, des tirs de grenaille en direction des policiers ont été signalés.
En Province
- A Cléon, près de Rouen, des inconnus ont lancé des bouteilles incendiaires dans un bus vendredi soir avant de s'enfuir. La conductrice et les passagers ont pu descendre juste avant que le véhicule ne fût détruit par les flammes. Résultat, samedi matin, les chauffeurs ont décidé d'exercer leur "droit de retrait" et n'ont pas pris leur service.
- A Strasbourg, 17 véhicules ont été incendiés dans la nuit de vendredi à samedi dans plusieurs quartiers.
- A Pau, 11 véhicules de tourisme ont été incendiés dans la nuit de vendredi à samedi dans le quartier sensible de l'Ousse-des-bois.
- A Toulouse, neuf véhicules ont été incendiés dans la nuit de vendredi à samedi dans différents quartiers, particulièrement dans celui du Mirail en bordure du périphérique.
- Dans l'agglomération de Bordeaux, dix véhicules et une salle pour les jeunes ont été incendiés.
- A Soissons, deux bus ont été incendiés sans faire de victime. Plus de 60 véhicules ont été incendiées dans le Nord et en Picardie.
- A Nice, une quinzaine de véhicules ont brûlé dans deux quartiers de Nice et deux communes de la périphérie.
- A Dijon, une dizaine de voitures ont été incendiées dans un parking souterrain.
A Epinay-sur-Seine, un hommage a été rendu samedi à l'homme tué le 27 octobre alors qu'il prenait des photos dans le quartier d'Orgemont.
200 habitants et élus de la commune de Seine-Saint-Denis ont observé une minute de silence, une cérémonie qui a été perturbée par un mouvement d'extrême droite.
Jean-Claude Irvoas, employé dans une entreprise d'éclairage public, prenait pour son travail des photos dans le quartier d'Orgement quand il avait été battu à mort par trois hommes.
Un incendie aux conséquences dramatiques
Mercredi soir, une femme handicapée de 56 ans a été gravement brûlée lors de l'attaque d'un autobus à Sevran (Seine-Saint-Denis). Des jeunes ont lancé une bouteille d'essence enflammée dans le bus. La victime n'a pu sortir et un jeune l'aurait aspergée d'essence, puis d'autres auraient lancé un chiffon enflammé dans le véhicule.
Dernière modification par gaia le 05 nov. 2005, modifié 1 fois.
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gaia
Moi ce que je vois surtout c'est qu'on ne s'en prend pas qu'aux biens mais aussi ils menacent la vie des personnes vivants au sein de la cité. On a beaucoup de chance qu'il n'y ai eu que des dégâts matériels mais que se passe t'il? Faut-il les laisser faire jusqu'à qu'il y ait des morts? Quand tu lances un cocktail molotof dans un bus avec une personne à l'intérieur quand tu mets le feu à des voitures dans un parking souterrain tu cherches quoi? ou alors ceux qui font ça ont une cervelle de moineau pour ne pas se rendre compte qu'ils peuvent tuer quelqu'un. Ils vont tellement exaspérés les gens qu'ils vont obtenir l'inverse de ce qu'ils veulent.
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milene
Moi, non plus je ne comprends pas pourquoi le gouvernement ne prends pas les choses en main et n'impose pas le couvre feu. Toute la presse mondiale parle des emeutes en France, il y en a même qui parlent déjà de la guerre civile et en France cool, la vie continue.
La presse bien pensante s'acharne sur Sarkozy et pendant ce temps-là la racaille détruit les écoles et brûle les bus.
La presse bien pensante s'acharne sur Sarkozy et pendant ce temps-là la racaille détruit les écoles et brûle les bus.
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gaia
Le problème c'est qu'à part la violence et les commentaires sur le terrain on ne donne même pas la parole aux gens des cités de manière intelligente ( à part pour dire oh merde ma voiture est partie en fumée) du coup où sont leurs revendications certains ne sont dans la rue que pour brûler des voitures ils s'en foutent grave du reste. On s'éparpillent dans les remises en cause: entre ceux qui disent : à cause des propos de sarkozy, je veux un emploi, parce que des entreprises profitent des aides de l'état grace à leur implantation dans les zone sensible,la bombe lacrymogène dans la mosquée, la cause de la mort de deux enfants, la mort d'un père de famille ... pour certaines choses on ne peut pas revenir en arrière ses violences ne rameneront pas les morts, pour l'emploi ou les propos de certains politiques oui on peut intervenir pour que ça se calme. Mais ce qui se passe dans les banlieues c'est une dénonciation de l'oubli de certains parce qu'ils sont d'origine étrangère ou pauvres...
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Invité
Jusqu'en 93, brûler sciemment une voiture relevait
de l'incendie volontaire et était passible de la Cour d'assises.
Ca a été ramené en correctionnelle sous Balladur si je ne m'abuse. Simple rappel de ma part.
Elle se retrouve avec un problème existentiel : comment va-t-elle faire pour aller au taf ?
Quant à ceux qui se fichent de la politique et qui incendient des voitures juste comme ça, pour le "fun", si déjà ils en sont à incendier des véhicules, c'est qu'il ne doit pas y avoir beaucoup de masse cérébrale restante pour réfléchir à la société.
Je ne vois pas l'intérêt de perdre son temps à ratiociner sur l'origine de leurs actes, à part diluer le problème dans une nébuleuse mélodramatique et écoeurante.
Comprenons-nous bien : à la base, il y a deux gamins qui ont trouvé très malin de s'enfermer dans un transfo EDF et qui en sont morts. C'est consternant de bêtise - la mort idiote par excellence de deux jeunes qui auraient pu vivre plus longtemps et éventuellement faire quelque chose d'intelligent de leur vie - mais le développement de l'affaire est encore pire puisque la démagogie plus que la réflexion occupe le terrain, et pas seulement chez les politiques, mais aussi dans la presse ou le milieu associatif qui fait beaucoup mais ne fait pas tout bien non plus.
Et faire passer Sarkozy pour l'incendiaire, il ne faudrait pas verser dans la diffamation bête et méchante non plus, même si sur ce coup-là, il a vraiment joué au crétin et qu'il n'assume manifestement absolument rien de tout ce qu'il a braillé jusqu'à présent !
Ca a été ramené en correctionnelle sous Balladur si je ne m'abuse. Simple rappel de ma part.
Pour la personne dont la voiture est partie en fumée et qui ne se verra rembourser par l'assurance qu'une aumône, je peux comprendre qu'elle n'ait pas spécialement envie de discuter politique sociale...Le problème c'est qu'à part la violence et les commentaires sur le terrain on ne donne même pas la parole aux gens des cités de manière intelligente ( à part pour dire oh merde ma voiture est partie en fumée) du coup où sont leurs revendications certains ne sont dans la rue que pour brûler des voitures ils s'en foutent grave du reste.
Elle se retrouve avec un problème existentiel : comment va-t-elle faire pour aller au taf ?Quant à ceux qui se fichent de la politique et qui incendient des voitures juste comme ça, pour le "fun", si déjà ils en sont à incendier des véhicules, c'est qu'il ne doit pas y avoir beaucoup de masse cérébrale restante pour réfléchir à la société.
Je ne vois pas l'intérêt de perdre son temps à ratiociner sur l'origine de leurs actes, à part diluer le problème dans une nébuleuse mélodramatique et écoeurante.Comprenons-nous bien : à la base, il y a deux gamins qui ont trouvé très malin de s'enfermer dans un transfo EDF et qui en sont morts. C'est consternant de bêtise - la mort idiote par excellence de deux jeunes qui auraient pu vivre plus longtemps et éventuellement faire quelque chose d'intelligent de leur vie - mais le développement de l'affaire est encore pire puisque la démagogie plus que la réflexion occupe le terrain, et pas seulement chez les politiques, mais aussi dans la presse ou le milieu associatif qui fait beaucoup mais ne fait pas tout bien non plus.
Et faire passer Sarkozy pour l'incendiaire, il ne faudrait pas verser dans la diffamation bête et méchante non plus, même si sur ce coup-là, il a vraiment joué au crétin et qu'il n'assume manifestement absolument rien de tout ce qu'il a braillé jusqu'à présent !
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St Dumortier
Bonjour,
Je propose .........:
Premier manquement: Radiation pour 15 jours et Réduction
de 20% pour 2 à 6 mois.
Manquements répétés: Radiation pour 1 à 6 mois et Réduction
de 50% pour 2 à 6 mois ou Suppression définitive.
..............Sur preuves objectives, évidement.
Vous avez raison, soyons humains!Et faire passer Sarkozy pour l'incendiaire, il ne faudrait pas verser dans la diffamation bête et méchante non plus, même si sur ce coup-là, il a vraiment joué au crétin et qu'il n'assume manifestement absolument rien de tout ce qu'il a braillé jusqu'à présent !
Je propose .........:
Premier manquement: Radiation pour 15 jours et Réduction
de 20% pour 2 à 6 mois.
Manquements répétés: Radiation pour 1 à 6 mois et Réduction
de 50% pour 2 à 6 mois ou Suppression définitive.
..............Sur preuves objectives, évidement.
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bande.passante
bilans des émeutes allégés
des voitures ont déjà été incendiées dans Paris (minimum dans le 12ème) et depuis jeudi soir ça brule tous les soirs à Montreuil (93) chez les bobos qui ne savent plus où planquer leurs voitures et trouvent des CRS sur le toit de leur Monoprix
les médias essaient de cantonner la guerilla aux jeunes de banlieues pauvres musulmans noirs basanés etc... mais c'est la pauvreté et le no futur qui s'enflamment
si des bandes n'avaient pas pourri le mouvement lycéen du printemps dernier les étudiants seraient peut-etre déjà avec eux
j'espère de tout coeur que le mouvement va s'étendre car la vraie violence est dans les ministères et dans les sièges des banques & co
les médias essaient de cantonner la guerilla aux jeunes de banlieues pauvres musulmans noirs basanés etc... mais c'est la pauvreté et le no futur qui s'enflamment
si des bandes n'avaient pas pourri le mouvement lycéen du printemps dernier les étudiants seraient peut-etre déjà avec eux
j'espère de tout coeur que le mouvement va s'étendre car la vraie violence est dans les ministères et dans les sièges des banques & co
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poussin006
ce que je déplore perso c'est que le peu de gens qui ont un travail se posnt la question de comment y aller maintenant que leur bagnole a cramé.
et où vont ils aller bosser vue que l'entreprise a brûlé aussi.
ca va faire quelques chomeurs de plus, c'est comme ça qu'on fait bouger les choses....
ok pour mettre un peu plus de social, mais bon si c'est pour piller le bureau de l'assistante sociale parce que le dossier rmi il passe "pas assez vite" au goût du demandeur...
faudrait aussi un peu de bonne volonté là dedans.
et où vont ils aller bosser vue que l'entreprise a brûlé aussi.
ca va faire quelques chomeurs de plus, c'est comme ça qu'on fait bouger les choses....
ok pour mettre un peu plus de social, mais bon si c'est pour piller le bureau de l'assistante sociale parce que le dossier rmi il passe "pas assez vite" au goût du demandeur...
faudrait aussi un peu de bonne volonté là dedans.
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Monolecte
Le gouvernement prépare les élections présidentielles.
Comme on a pu le voir le 29 mai dernier, la propagande à sens unique et le conditionnement médiatique ne suffisent plus à faire voter le troupeau dans le sens voulu. Alors, on a besoin d'insécurité, le thème porteur. On a besoin de gens qui ont peur. On a besoin de gens qui pensent plus aux "sauvageons" qu'à l'échec patent de toutes les politiques de "lutte" contre le chômage. On a besoin de bons coupables bien méchant.
Et c'est pour cela que Sarko arpente les banlieues populaires depuis plusieurs mois en insultant les gens qui y vivent, en les humiliant. Ce que je ne comprend pas, c'est comment tout ça a tenu si longtemps.
Tous les psycho-sociologues vous le diront : Sarko a fait de la provoc délibérée depuis plusieurs mois. La dégradation économique permanentes des classes populaires génère exclusion, frustration, colère et désespérance, le mauvais cocktail. Sarko aussi le sait. Le gouvernement aussi le sait.
Je m'amuse des dernières nouvelles qui parlent de brigades mobiles incendiaires organisées sur scooter... le fameux scooter, confisqué pour un tarpet, le symbôle d'une jeunesse qui inquiète les vieux bourgeois, la représentation fantasmatique d'une liberté que l'on prend, de la transgression des frontières économiques terrestres.
Personne ne se demande ce que font les ofrces de l'ordre là-bas? Pourquoi les violences continuent?
Parce que leur mission est de circonscrire l'incendie dans les quartiers populaire, pour que les spectacle fasse trembler les classes moyennes sans les atteindre et attisent la haine dans les quartiers entre pauvres.
Pour ceux qui trouvent que je délire, rouvrez vos livres d'histoires, relisez le passage sur la nuit de cristal, voyez comment Hitler, pendant des années a préparé son élection démocratique. Et pendant que vous êtes hypnotisés par les flammes qui dansent, les affaires vont continuer, dans l'ombre : négociations de l'Unédic, privatisations diverses, étouffement du secteur associatif par manque d'argent... et demandez-vous qui est arrivé le premier, l'Oeuf ou la Poule...
Comme on a pu le voir le 29 mai dernier, la propagande à sens unique et le conditionnement médiatique ne suffisent plus à faire voter le troupeau dans le sens voulu. Alors, on a besoin d'insécurité, le thème porteur. On a besoin de gens qui ont peur. On a besoin de gens qui pensent plus aux "sauvageons" qu'à l'échec patent de toutes les politiques de "lutte" contre le chômage. On a besoin de bons coupables bien méchant.
Et c'est pour cela que Sarko arpente les banlieues populaires depuis plusieurs mois en insultant les gens qui y vivent, en les humiliant. Ce que je ne comprend pas, c'est comment tout ça a tenu si longtemps.
Tous les psycho-sociologues vous le diront : Sarko a fait de la provoc délibérée depuis plusieurs mois. La dégradation économique permanentes des classes populaires génère exclusion, frustration, colère et désespérance, le mauvais cocktail. Sarko aussi le sait. Le gouvernement aussi le sait.
Je m'amuse des dernières nouvelles qui parlent de brigades mobiles incendiaires organisées sur scooter... le fameux scooter, confisqué pour un tarpet, le symbôle d'une jeunesse qui inquiète les vieux bourgeois, la représentation fantasmatique d'une liberté que l'on prend, de la transgression des frontières économiques terrestres.
Personne ne se demande ce que font les ofrces de l'ordre là-bas? Pourquoi les violences continuent?
Parce que leur mission est de circonscrire l'incendie dans les quartiers populaire, pour que les spectacle fasse trembler les classes moyennes sans les atteindre et attisent la haine dans les quartiers entre pauvres.
Pour ceux qui trouvent que je délire, rouvrez vos livres d'histoires, relisez le passage sur la nuit de cristal, voyez comment Hitler, pendant des années a préparé son élection démocratique. Et pendant que vous êtes hypnotisés par les flammes qui dansent, les affaires vont continuer, dans l'ombre : négociations de l'Unédic, privatisations diverses, étouffement du secteur associatif par manque d'argent... et demandez-vous qui est arrivé le premier, l'Oeuf ou la Poule...
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poussin006