Emeutes en France = une connerie monstrueuse
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gaia
la ville ou je suis née
Je retiens 25 % de chomage dans ma ville des jeunes des personnes d'un certain age SONT TOUCHEES. Ouf je suis peut etre née dans cette ville mais ma famille n'en ai pas originaire. La seule issue c'est de vraiment se barrer de cette ville, de ce département le tarn qui est gravement touché par le chomage, les licenciements éco...Mais est ce vraiment meilleure ailleurs. ca serait bien de déterminer quelles sont les villes et non pas seulement les banlieues qui sont le plus touchées par le chomage en france à voir un taux de chomage multiplié par deux par rapport au taux national.
Effets de mimétisme par rapport aux actes de violences qui depuis 11 jours se produisent dans les banlieues ou véritable expression d'un malaise social au sein de la ville, Graulhet n'est pas épargné par les feux de poubelles et les caillassages des forces de l'ordre depuis la semaine dernière. Jusqu'à la nuit de dimanche à lundi où un cocktail molotov était lancé dans une voiture qui stationnait à proximité des cités du quartier d'En Gach.
Depuis quelques jours, la police joue au chat et à la souris avec une trentaine de jeunes dans ce secteur de Graulhet dès la nuit tombée. Des incidents ponctuels qui n'ont fort heureusement pas le même caractère de gravité que ce que connaissent les banlieues des grandes villes. Néanmoins, ces actes délictueux répétés plusieurs nuits de suite inquiètent tant la population que les autorités.
À plusieurs reprises, les policiers ont essuyé des jets de cailloux. Jeudi soir, il en était de même pour les pompiers qui intervenaient pour éteindre un feu de poubelle. La nuit suivante, un degré supplémentaire était franchi avec toujours des feux de poubelles mais également des jets de projectiles sur trois baies vitrées d'habitation.
ABSENCE DE MÉDIATION, CHÔMAGE IMPORTANT
La police dispersait aussitôt les groupes de jeunes qui s'étaient formés au moyen d'une grenade lacrymogène. Le maire de Graulhet et le sous-préfet se rendaient sur place dans la nuit, le calme revenu. Après une nuit d'accalmie, samedi, le quartier était à nouveau le théâtre d'un incendie de voiture. Son propriétaire ne pouvait que constater les dégâts. Il recevra le soutien de trois pères de famille de la cité voisine, eux aussi inquiets de la tournure des événements.
Interrogé sur ces événements, le maire de Graulhet se dit impuissant. À Graulhet et notamment dans ce quartier d'En Gach, la population est en proie au chômage (près de 25 %) et à la précarité. Il n'existe pas non plus de véritable dispositif de médiation sur la ville.
La préfecture, par la voix de la directrice de cabinet du préfet, Gaelle Ferron, indique que des contacts vont être tentés auprès des jeunes. Jeudi matin, une réunion en préfecture devrait rassembler tous les chefs de projet contrat de ville ainsi que les élus en charge de la politique de la ville.
D'ici là, il faut souhaiter que la situation s'apaise. Car si Graulhet était touché par ces violences urbaines, une voiture a également brûlé sur Albi où des tags sont venus recouvrir les murs de la cité Lapanouse.
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Un projet de réhabilitation
Les événements qui émaillent la vie d'En Gach depuis quelques jours donnent toute son importance au projet de réhabilitation lancé dans le cadre du dispositif ANRU sur le quartier.
Bizarrement, le maire de Graulhet n'en a pas fait état lorsqu'il a été interrogé sur la façon de mettre fin à ces actes de violences sporadiques sur la ville. Il est vrai que le chômage est au cœur des difficultés rencontrées dans ces quartiers. Ainsi à En Gach, le taux de chômage est plus de deux fois supérieur à la moyenne nationale. Mais l'habitat social y est aussi fortement concentré et la cité est repliée sur elle-même de par l'organisation urbaine de la ville. Initiée en 2002 dans le cadre du contrat de ville, la rénovation urbaine d'En gach va enfin voir le jour et concerne plus de 600 habitants. Elle est pilotée par Tarn habitat en étroite collaboration avec la municipalité. Démolitions, reconstructions, liaisons avec le centre ville, équipement public sont au programme de ce projet qui devrait être validé par l'État d'ici la fin de l'année. Il est une des clés de l'amélioration des conditions de vie et de la mixité sociale.
Effets de mimétisme par rapport aux actes de violences qui depuis 11 jours se produisent dans les banlieues ou véritable expression d'un malaise social au sein de la ville, Graulhet n'est pas épargné par les feux de poubelles et les caillassages des forces de l'ordre depuis la semaine dernière. Jusqu'à la nuit de dimanche à lundi où un cocktail molotov était lancé dans une voiture qui stationnait à proximité des cités du quartier d'En Gach.
Depuis quelques jours, la police joue au chat et à la souris avec une trentaine de jeunes dans ce secteur de Graulhet dès la nuit tombée. Des incidents ponctuels qui n'ont fort heureusement pas le même caractère de gravité que ce que connaissent les banlieues des grandes villes. Néanmoins, ces actes délictueux répétés plusieurs nuits de suite inquiètent tant la population que les autorités.
À plusieurs reprises, les policiers ont essuyé des jets de cailloux. Jeudi soir, il en était de même pour les pompiers qui intervenaient pour éteindre un feu de poubelle. La nuit suivante, un degré supplémentaire était franchi avec toujours des feux de poubelles mais également des jets de projectiles sur trois baies vitrées d'habitation.
ABSENCE DE MÉDIATION, CHÔMAGE IMPORTANT
La police dispersait aussitôt les groupes de jeunes qui s'étaient formés au moyen d'une grenade lacrymogène. Le maire de Graulhet et le sous-préfet se rendaient sur place dans la nuit, le calme revenu. Après une nuit d'accalmie, samedi, le quartier était à nouveau le théâtre d'un incendie de voiture. Son propriétaire ne pouvait que constater les dégâts. Il recevra le soutien de trois pères de famille de la cité voisine, eux aussi inquiets de la tournure des événements.
Interrogé sur ces événements, le maire de Graulhet se dit impuissant. À Graulhet et notamment dans ce quartier d'En Gach, la population est en proie au chômage (près de 25 %) et à la précarité. Il n'existe pas non plus de véritable dispositif de médiation sur la ville.
La préfecture, par la voix de la directrice de cabinet du préfet, Gaelle Ferron, indique que des contacts vont être tentés auprès des jeunes. Jeudi matin, une réunion en préfecture devrait rassembler tous les chefs de projet contrat de ville ainsi que les élus en charge de la politique de la ville.
D'ici là, il faut souhaiter que la situation s'apaise. Car si Graulhet était touché par ces violences urbaines, une voiture a également brûlé sur Albi où des tags sont venus recouvrir les murs de la cité Lapanouse.
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Un projet de réhabilitation
Les événements qui émaillent la vie d'En Gach depuis quelques jours donnent toute son importance au projet de réhabilitation lancé dans le cadre du dispositif ANRU sur le quartier.
Bizarrement, le maire de Graulhet n'en a pas fait état lorsqu'il a été interrogé sur la façon de mettre fin à ces actes de violences sporadiques sur la ville. Il est vrai que le chômage est au cœur des difficultés rencontrées dans ces quartiers. Ainsi à En Gach, le taux de chômage est plus de deux fois supérieur à la moyenne nationale. Mais l'habitat social y est aussi fortement concentré et la cité est repliée sur elle-même de par l'organisation urbaine de la ville. Initiée en 2002 dans le cadre du contrat de ville, la rénovation urbaine d'En gach va enfin voir le jour et concerne plus de 600 habitants. Elle est pilotée par Tarn habitat en étroite collaboration avec la municipalité. Démolitions, reconstructions, liaisons avec le centre ville, équipement public sont au programme de ce projet qui devrait être validé par l'État d'ici la fin de l'année. Il est une des clés de l'amélioration des conditions de vie et de la mixité sociale.
JE VAIS VOUS RACONTER MON HISTOIRE DE "GOSSE"
Je suis née il y a 52 ans en 1953 à Paris de parents maghrébins et illétrés. Eh oui mon père est arrivé en France pour travailler en 1940 et ma mère l'a rejoint en 1952. Je suis la cadette de 8 enfants. Eh bien quand j'étais en primaire des voisins nous aidaient spontanément à faire nos devoirs, ils nous emmenaient avec leurs enfants au "salon de l'enfance à Versailles" (pour ceux qui ne connaissent pas parcequ'ils sont trop jeunes, c'était un salon annuel et payant dédié aux enfants avec des jeux) puis lorsque j'étais au collège ils nous emmenaient (toujours avec leurs enfants) à la piscine, en pique nique, à la foire du trône, ou alors on faisait des gâteaux chez eux etc etc.. j'en oublie plein d'autres. Et tout cela sans me faire payer un franc (eh oui nous étions pauvres) et toujours avec gentillesse. Et pourtant à l'époque il y avait les évènements de la "guerre d'algérie" mais jamais jamais on ne m'a fait ressentir mes origines, jamais ils ne nous ont rejetés mes frères mes soeurs et moi même. Bien au contraire à tel point que nous n'avons aucun souvenirs des évènements. Je pense souvent à tous ces adultes tolérants, généreux et courageux. TOUT CELA POUR VOUS DIRE QUE LE REJET GENERE LE REJET et que c'est exactement ce qui se passe dans notre Société actuellement et tout ça à cause de cette P..... de vie de plus en plus difficile. Total les "étrangers" et donc les jeunes des cités sont rendus responsables des malheurs des autres. Et pourtant ils n'ont pas choisit de vivre dans ces "ghettos"
Voilà une tranche de ma vie. Tous ces jeunes me font mal au coeur et malheureusement je ne peux pas grand chose pour eux
Voilà une tranche de ma vie. Tous ces jeunes me font mal au coeur et malheureusement je ne peux pas grand chose pour eux
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poussin006
bin malhereusement : oui... mais de la à jetter des déblais sur les flics et bruler les voitures...
fais ton chemin petit, à travers champs s'il le faut mais suis ta route.
là ils prennent unfaux semblant de route.
Ce qui m'amuse dans tout ca, c'est : on n'a rien, on peut pas s'en sortir, mais n brule le peu qu'il y a : écoles, gymnases, bus (gratuits pour les minimas sociaux au passage), enteprises où les quelques uns de la cité qui bossent ... bin bossaient justement, sont maintenant chômeurs comme les copains.
tout ca est désolant et les discours sont pathétiques.... d'où qu'ils viennent
fais ton chemin petit, à travers champs s'il le faut mais suis ta route.
là ils prennent unfaux semblant de route.
Ce qui m'amuse dans tout ca, c'est : on n'a rien, on peut pas s'en sortir, mais n brule le peu qu'il y a : écoles, gymnases, bus (gratuits pour les minimas sociaux au passage), enteprises où les quelques uns de la cité qui bossent ... bin bossaient justement, sont maintenant chômeurs comme les copains.
tout ca est désolant et les discours sont pathétiques.... d'où qu'ils viennent
RIEN A EN TIRER
Plus borner que la N20 Poussin006 
.
Décidément il n'y a rien à faire, vous êtes vraiment axé sur la répression. Vous n'avez pas une once de logique. Je ne peux rien faire pour vous. Irrécupérable, lamentable, peut être le même gêne que Shakleton
Je vous laisse à votre haine. Poussin007
. Décidément il n'y a rien à faire, vous êtes vraiment axé sur la répression. Vous n'avez pas une once de logique. Je ne peux rien faire pour vous. Irrécupérable, lamentable, peut être le même gêne que Shakleton
Je vous laisse à votre haine. Poussin007