mon premier entretien au cap emploi
Publié : 12 sept. 2009
J'avais rdv avec un salarié d'un cap emploi ; c'était l'une des recommandations de la mdph. L'autre recommandation était l'inscription à l'anpe, mais je ne suis pas cette recommandation car je supporte très difficilement la pression et je n'aurai droit à aucune allocation.
L'entretien a duré plus d'une heure. La personne qui me reçoit apparaît polie. Elle épluche mon cv (c'est la première chose qu'elle me demande, mon cv). Ce qui ne m'a pas plu, parce qu'elle n'est pas compétente pour comprendre, c'est le détail de mon handicap (pas compétente car il s'agit d'un trouble psychique et elle n'est ni psychologue, ni psychiatre), hors le fait que je supporte mal la pression.
Elle me demande aussi le détail de mes ressources. Pourtant elle n'est pas assistante sociale.
Je lui dit alors d'emblée que je suis autonome dans mes recherches d'emploi et que je souhaite seulement leur aide pour une demande de prise en charge d'une formation supérieure me permettant d'accéder aux concours de la fonction publique et enfin m'ouvrir le champ du "fameux cdi", bref, la conquête du graal.
L'entretien se déroule à peu près normalement, sauf les cinq dernières minutes : elle veut que je rencontre son collègue pour "un entretien approfondi. Et là je lui fait part de ma surprise et lui demande ce que je pourrai dire d'autre que ce que j'aurai déjà dit. Je refuse donc le prochain entretien qui ne me servirait à rien de plus que ce qui a déjà été échangé : son collègue n'étant pas son supérieur et ayant les mêmes compétences qu'elle, je lui suggère de faire une mise au point avec lui. Le plus efficace aurait été qu'il assiste lui aussi à l'entretien pour ne pas me faire répéter. Sans le vouloir, forte de ma conviction (l'idée de mon sens du service et de l'efficacité), je l'ai semble-t-il désarçonnée. Mais je ne comprends pas cette procédure...
Je me pose vraiment la question de la pertinence de l'accompagnement pour mon cas. Mais bon, peut-être que cette démarche me sera utile...
N'hésitez pas à parler de votre rencontre avec ce réseau de structure ; autant que les témoignages concernant cap emploi.
Je vous tiendrai au courant.
L'entretien a duré plus d'une heure. La personne qui me reçoit apparaît polie. Elle épluche mon cv (c'est la première chose qu'elle me demande, mon cv). Ce qui ne m'a pas plu, parce qu'elle n'est pas compétente pour comprendre, c'est le détail de mon handicap (pas compétente car il s'agit d'un trouble psychique et elle n'est ni psychologue, ni psychiatre), hors le fait que je supporte mal la pression.
Elle me demande aussi le détail de mes ressources. Pourtant elle n'est pas assistante sociale.
Je lui dit alors d'emblée que je suis autonome dans mes recherches d'emploi et que je souhaite seulement leur aide pour une demande de prise en charge d'une formation supérieure me permettant d'accéder aux concours de la fonction publique et enfin m'ouvrir le champ du "fameux cdi", bref, la conquête du graal.
L'entretien se déroule à peu près normalement, sauf les cinq dernières minutes : elle veut que je rencontre son collègue pour "un entretien approfondi. Et là je lui fait part de ma surprise et lui demande ce que je pourrai dire d'autre que ce que j'aurai déjà dit. Je refuse donc le prochain entretien qui ne me servirait à rien de plus que ce qui a déjà été échangé : son collègue n'étant pas son supérieur et ayant les mêmes compétences qu'elle, je lui suggère de faire une mise au point avec lui. Le plus efficace aurait été qu'il assiste lui aussi à l'entretien pour ne pas me faire répéter. Sans le vouloir, forte de ma conviction (l'idée de mon sens du service et de l'efficacité), je l'ai semble-t-il désarçonnée. Mais je ne comprends pas cette procédure...
Je me pose vraiment la question de la pertinence de l'accompagnement pour mon cas. Mais bon, peut-être que cette démarche me sera utile...
N'hésitez pas à parler de votre rencontre avec ce réseau de structure ; autant que les témoignages concernant cap emploi.
Je vous tiendrai au courant.