Ambre a écrit : ↑25 sept. 2024
On se demande où se trouvent les pères d'ailleurs. Ce sont encore les mères qui tirent la sonnette d'alarme.
Les pères sont souvent déboutés de leurs droits (dans le cadre d'une séparation et d'un divorce), comme je le fus moi-même, sans cause réelle et sérieuse.
En situations litigieuses ou conflictuelles entre les parents (malheureusement fréquentes), les JAF (juges aux affaires familiales) accordent à 90% la garde des enfants aux mamans, même quand celles-ci ne présentent pas toutes les garanties de stabilité (psychologique, éducative et financière).
Il faut dire que les femmes sont sur-représentées dans la magistrature ET DANS L'ÉDUCATION NATIONALE, notamment en primaire.
Ce que j'écris ne va pas plaire à tout le monde !
La plupart (grande majorité en réalité) des "séances" d'éducation sexuelle prodiguées à de jeunes enfants ou de rencontres organisées avec des Trans (sous forme de spectacles parfois)
sont ENCADRÉES PAR DES MAÎTRESSES ET PAR DES MÈRES. Très rarement, voire JAMAIS, par des pères.
J'ai vu plusieurs dizaines de vidéos et témoignages sur ce thème.
Si les "mères tirent la sonnette d'alarme" (c'est vrai !),
les complices de ces dérives sont très largement des femmes.
Cela pose la question de la féminisation (à outrance) de certains métiers, chez les instituteurs et les magistrats comme je l'ai évoqué plus haut. Les femmes étant plus "ouvertes" aux revendications sociétales et souvent opposées au patriarcat, à l'autorité masculine qui prédominait naguère en occident.
On remarquera enfin que l'effondrement civilisationnel que nous connaissons (concernant les mœurs principalement) est concomitant à la ringardisation de "l'homme blanc hétéro de + de 40 ans" qui a bien des défauts, c'est vrai !, mais qui a structuré la société française pendant des siècles.
Certes, il était nécessaire de rééquilibrer les rapports (et les droits) entre hommes et femmes, mais le rejet de l'autorité masculine et la contestation systématique de son statut de "chef de famille" ont ouvert la boîte de pandore. Aujourd'hui, les hommes fuient leurs responsabilités avec toutes les conséquences que l'on observe.
Je suis bien placé pour le savoir puisque j'ai été débouté de mes droits de visite et d'hébergement en 2009
et que je n'ai jamais revu ma fille depuis. J'ai été débouté pour "manque d'empathie"

face à la femme qui partageait ma vie à l'époque, qui était défendue par une avocate, devant une juge, une psychologue et une greffière.
J'avais 5 femmes en face de moi ! Je n'étais défendu par personne car j'estimais que le dossier était tellement vide que j'obtiendrais sans peine évidemment mon droit de visite et d'hébergement. Ça ne s'est pas passé comme ça.
Non seulement j'ai été débouté de mes droits de père mais mes parents (les grands-parents de ma fille donc) l'ont été aussi, tout comme mon frère qui était son parrain, lui-même père de 4 enfants.
Un sujet que je connais bien pour avoir, par la suite, sollicité des associations spécialisées dans la défense des droits des pères (comme SOS Papa).
Toutes constatent et dénoncent une forte inégalité de traitement.
Selon le ministère de la Justice lui-même (sur la base de 6.000 dossiers étudiés), quand les pères demandent la résidence alternée et que les mères s'y opposent,
elle est refusée (aux pères) dans près de 80% des cas sans motivation juridique sérieuse.
Source :
https://www.dailymotion.com/video/x82v4fo