Parce que ceux qui touchent l’allocation chômage ont laissé et continuent de se laisser faire au point même d’accepter de se faire dépouiller de 40 % de leur allocation
; idem pour les RSAstes menacés de se faire supprimer leur minimum vital et qui en réalité n’ont aucune obligation de s’inscrire à PÔLE EMPLOI, justement parce que non indemnisés !
Ainsi, grâce à la passivité des chômeurs, aux syndicats et autres défenseurs des droits collabos, le JRE (Journal de la recherche d’emploi), véritable outil de flicage et de contrôle social en violation totale des droits fondamentaux, va tranquillement pouvoir s’étendre et s’installer définitivement en 2023. Sauf à le stopper net bien sûr.
Les conseillers de PÔLE EMPLOI osent se plaindre de leur hiérarchie qui les force à mettre la pression sur les chômeurs alors qu’eux-mêmes savent obéir à des ordres illégitimes et illégaux !
Sinon, quelqu’un a déjà eu l’idée ou a l’intention de toute urgence :
de saisir la défenseure des droits ?
de forcer PÔLE EMPLOI à montrer le(s) texte(s) de loi qui oblige le chômeur à présenter ce journal de bord et à justifier de ses démarches de recherche d’emploi en général, et à quel moment on lui a donné notre consentement ?
et si ce texte anticonstitutionnel devait exister, de faire poser une QPC (Question Prioritaire de Constitutionnalité) au Conseil Constitutionnel en ce sens ?
de forcer PÔLE EMPLOI et les conseils départementaux à montrer le(s) texte(s) de loi qui oblige(nt) le chômeur à travailler ?
d’exiger des syndicats (qui entubent même les conseillers PÔLE EMPLOI), des associations de défense des chômeurs et des droits de l’homme des comptes sur leur complicité ?
et, à défaut, le risque qu’ils encourent de se faire inculper au même titre que leurs acolytes suscités ?
de contrer cette mesure purement esclavagiste, que ce soit le travail forcé ou l’obligation de suivre une formation, d’intégrer des ateliers ou des entreprises, que ce petit-fils de collabos – devenu à son tour celui de ROTHSCHILD – et ses sbires s’apprêtent à imposer au nom de leur idéologie fasciste (
« les devoirs avant les droits »).
…
Le comble étant que le poudré n’a jamais été réélu autrement que par ceux qui l’ont réinstallé (comme en 2017), il n’a donc aucune légitimité à imposer quoi que ce soit, et certainement pas SANS NOTRE CONSENTEMENT.
ALORS, ENFIN QUELQU’UN POUR SE RÉVEILLER ET SE BOUGER ?