La covid est surtout le grain de sable qui à grippé une machine logistique et commerciale qui avait déjà des sacrés ratés en temps normal. Rajouter à ça tout un tas de spéculateur et profiteur et ça crée un beau désordre.
Les chauffeurs des camionnettes de livraison étaient déjà sur-exploité en temps normal mais maintenant, il faut rajouter tout un tas de colis supplémentaire car les gens vont moins en magasin et sans doute des gens qui sont parti ou ne veulent pas faire ce travail de peur d'être contaminé.
Comment faire revenir les gens au magasin ? Il faut plus de personnes aux caisses pour limiter les temps d'attente et faire ne sortent que le client ne passe plus 2h à acheter 3 pauvres objets. Seulement voila, c'est difficile de recruter avec des postes sous-payé avec un risque supplémentaire d'être malade.
Et même si la logistique suivait, les problèmes ne disparaîtraient pas pour autant car il faut le temps de stabiliser toute la chaîne logistique. En attendant, c'est "effet coup de fouet" et "stock de précaution" qui mènent le bal avec des effets délétère.
Au début de la crise, chaque acteur de la chaîne à réduit ses stocks et sa production de manière à anticiper la baisse du flux de consommation. Maintenant que ça repart, il faut à la fois fournir le flux mais aussi refaire le stock à tout les niveaux ce qui peut représenter un volume de production absolument monstrueux.
Le moindre défaut de prévision en amont va provoquer des retards en cascade en aval. Ces retards vont pousser les intermédiaire à faire des stocks de précaution ce qui aggrave le problème.
Les clients ne pouvant être livré par un fournisseur vont faire appel aux concurrents ce qui va encore aggraver le problème car chacun va constituer des stocks sur des flux virtuellement gonflé.
, voici la pénurie de bois.