Sans emplois et précaires, les vrais oubliés de la crise
Publié : 02 févr. 2021
Bonjour à toutes et tous,
Je ne sais quel est votre sentiment à ce sujet, mais le mien est fait depuis bien longtemps ? Lorsque l'on se retournera et que l'on regardera en arrière sur tout ce qui a été fait pour soutenir les individus et les entreprises face à la crise, je crois que l'on s'apercevra [nous autres sans emploi et précaires] que celles et ceux qui ont été les plus oubliés et ignorés (alors qu'ils/elles sont celles et ceux qui en avaient le plus besoin) auront été les sans emplois et les précaires. Des dizaines de milliards pleuvent de partout et particulièrement sur les entreprises et les patrons (avec un coût mensuel de 4 milliards d'euros d'aides diverses, soit depuis janvier 2020 la bagatelle de 52 milliards d'euros) en report de cotisations, fonds de solidarité, prêts garantis par l'État dont une partie ne seront jamais remboursés...). Ces mêmes entreprises/patrons qui avant cette crise étaient massivement contre les aides sociales et qui aujourd'hui en bénéficient grassement pour demain une fois le spectre de la crise éloignée continuer à cracher dans la soupe.
Je ne sais quel est votre sentiment à ce sujet, mais le mien est fait depuis bien longtemps ? Lorsque l'on se retournera et que l'on regardera en arrière sur tout ce qui a été fait pour soutenir les individus et les entreprises face à la crise, je crois que l'on s'apercevra [nous autres sans emploi et précaires] que celles et ceux qui ont été les plus oubliés et ignorés (alors qu'ils/elles sont celles et ceux qui en avaient le plus besoin) auront été les sans emplois et les précaires. Des dizaines de milliards pleuvent de partout et particulièrement sur les entreprises et les patrons (avec un coût mensuel de 4 milliards d'euros d'aides diverses, soit depuis janvier 2020 la bagatelle de 52 milliards d'euros) en report de cotisations, fonds de solidarité, prêts garantis par l'État dont une partie ne seront jamais remboursés...). Ces mêmes entreprises/patrons qui avant cette crise étaient massivement contre les aides sociales et qui aujourd'hui en bénéficient grassement pour demain une fois le spectre de la crise éloignée continuer à cracher dans la soupe.