Quand on est con… on est con.
On n'est pas obligé de mêler sa voix au concert de louanges au brave gendarme qui s'est sacrifié (ou qui n'a fait que son devoir avec grand courage), mais de là à se réjouir de sa mort, il faut vraiment avoir un grain.
Après, perso, je trouve qu'on en fait beaucoup et qu'il a fallu attendre bien longtemps avant que les autorités consentent à admettre les causes du décès… qui restent floues.
On a dit au départ qu'il avait été tué à coups de feu, puis à coups de couteau, puis poignardé au cou… avant d'évoquer un égorgement. La question reste aujourd'hui entière : A-t-il été poignardé au cou ou égorgé ?
Débat passionnant qui s'ouvre en cette France 2018.
Et quand ce n'est pas celui-ci, c'en est un autre : Le meurtre de l'octogénaire du XIe arrondissement de Paris était-il motivé par l'antisémitisme ?
La France multi-ethnique et multi-cultuelle nous promet de belles réjouissances. Car les choses vont forcément s'améliorer avec le temps… forcément.
