Questions sur mon licenciement
Publié : 27 août 2017
Bonjour,
Je remercie les créateurs de ce forum qui est bien utile.
J'ai plusieurs questions sur mon licenciement. En fait, j'ai travaillé pour une association où j'ai commencé en tant que stagiaire. J'ai ensuite demandé si c'était possible de rester, et on m'a dit ok. Mais dans cette boîte, ils ne favorisent que les contrats précaires : j'ai travaillé un mois gratos, ensuite, ils ont voulu faire un service civique mais j'avais déjà plus de 25 ans, après ils m'ont demandé à ce que je fasse des notes d'auteur pour être payée (pendant quatre mois) et enfin, j'ai eu mon contrat aidé le 1er avril (bref, j'ai attendu 7 mois pour avoir ce contrat). Puis, paf, mi-juillet, le patron vient me voir et me dit "Bon, écoute, pour moi, t'es plus salariée, ne viens plus dans les locaux, la greffe n'a pas prise (bref, que du vent), blablabla". (Bon et si je vous disais qui est mon patron qui jouit d'une certaine notoriété, vous hallucineriez).
Du coup, je me retrouve dans une situation très bizarre : j'ai encore mon contrat mais on m'a dit de ne plus venir et l'idée serait de faire une rupture conventionnelle. Ce qui ne m'arrange pas du tout vu que le contrat devait durer jusqu'au 31 mars, initialement... Mais en même temps, je sais que si je reste, je vais être placardisée, donc travailler dans ces conditions, ça va être l'enfer. Donc dans tous les cas, la situation est nulle, et la déprime me guette.
J'ai vu une avocate qui m'a dit de faire une lettre AR pour demander un justificatif écrit comme quoi on m'a dit de rester chez moi. L'avocate était scandalisée car tout ça, c'est du grand n'importe quoi. Et en plus, ils ne m'ont pas fait faire la visite médicale.
"Normalement", le 28 août (donc demain), je suis sensée revoir la (pseudo) DRH pour lui dire quelle est ma décision (enfin, on me donne pas trop le choix, à priori). Mais la connaissant, elle va oublier, zapper. (Et moi, le lendemain, je pars en vacances). Surtout que je n'ai pas eu de nouvelles depuis environ le 20 juillet.
Le truc, c'est que je sens qu'elle va m'envoyer un mail ou m'appeler pour me dire, en gros : "est-ce qu'on peut se voir ?". Je vais venir et en gros, on va décider de la rupture, comme ça, alors que normalement, il faut un préavis, non ? Une lettre de convocation ? (Surtout que j'aimerai bien être un peu prévenue à l'avance vu que je dois prévenir un pote cégétiste qui doit venir avec moi pour les convocations). Tout se fait de manière informelle et à l'oral dans cette boîte de m.
Désolée pour ces questions mais c'est ma première année de travail...
Je vous remercie infiniment.
Je remercie les créateurs de ce forum qui est bien utile.
J'ai plusieurs questions sur mon licenciement. En fait, j'ai travaillé pour une association où j'ai commencé en tant que stagiaire. J'ai ensuite demandé si c'était possible de rester, et on m'a dit ok. Mais dans cette boîte, ils ne favorisent que les contrats précaires : j'ai travaillé un mois gratos, ensuite, ils ont voulu faire un service civique mais j'avais déjà plus de 25 ans, après ils m'ont demandé à ce que je fasse des notes d'auteur pour être payée (pendant quatre mois) et enfin, j'ai eu mon contrat aidé le 1er avril (bref, j'ai attendu 7 mois pour avoir ce contrat). Puis, paf, mi-juillet, le patron vient me voir et me dit "Bon, écoute, pour moi, t'es plus salariée, ne viens plus dans les locaux, la greffe n'a pas prise (bref, que du vent), blablabla". (Bon et si je vous disais qui est mon patron qui jouit d'une certaine notoriété, vous hallucineriez).
Du coup, je me retrouve dans une situation très bizarre : j'ai encore mon contrat mais on m'a dit de ne plus venir et l'idée serait de faire une rupture conventionnelle. Ce qui ne m'arrange pas du tout vu que le contrat devait durer jusqu'au 31 mars, initialement... Mais en même temps, je sais que si je reste, je vais être placardisée, donc travailler dans ces conditions, ça va être l'enfer. Donc dans tous les cas, la situation est nulle, et la déprime me guette.
J'ai vu une avocate qui m'a dit de faire une lettre AR pour demander un justificatif écrit comme quoi on m'a dit de rester chez moi. L'avocate était scandalisée car tout ça, c'est du grand n'importe quoi. Et en plus, ils ne m'ont pas fait faire la visite médicale.
"Normalement", le 28 août (donc demain), je suis sensée revoir la (pseudo) DRH pour lui dire quelle est ma décision (enfin, on me donne pas trop le choix, à priori). Mais la connaissant, elle va oublier, zapper. (Et moi, le lendemain, je pars en vacances). Surtout que je n'ai pas eu de nouvelles depuis environ le 20 juillet.
Le truc, c'est que je sens qu'elle va m'envoyer un mail ou m'appeler pour me dire, en gros : "est-ce qu'on peut se voir ?". Je vais venir et en gros, on va décider de la rupture, comme ça, alors que normalement, il faut un préavis, non ? Une lettre de convocation ? (Surtout que j'aimerai bien être un peu prévenue à l'avance vu que je dois prévenir un pote cégétiste qui doit venir avec moi pour les convocations). Tout se fait de manière informelle et à l'oral dans cette boîte de m.
Désolée pour ces questions mais c'est ma première année de travail...
Je vous remercie infiniment.