Re: Europe : rigueur et claque sociale
Publié : 19 déc. 2010
Et aucun journalisse ne montre ça au 20 heures, forcément...
Et en les faisant adopter par des filières illégales ont peut surement en tirer plus de 10 000 euros par moufletAlors en s'y prenant bien les espagnols pouvaient même gagner 5000 euros par an : deux grossesses par an avec accouchement provoqué à 6 mois.
Et les jumeaux ça rapportait combien ?
Suite : http://www.lepoint.fr/economie/baroin-p ... 072_28.phpLe ministre du Budget a annoncé que le coup de rabot aux niches fiscales serait plus important que prévu.
Alors que l'année vient de commencer sous le signe de l'austérité, le gouvernement a d'ores et déjà annoncé un coup de rabot plus fort que prévu aux niches fiscales en 2012, pour préparer les esprits à une rigueur accrue à la veille de la présidentielle. Le ministre du Budget, François Baroin, a rappelé mardi que, pour tenir ses engagements, la France devait réduire son déficit public de 40 milliards d'euros cette année, puis de 30 milliards supplémentaires en 2012. Cela doit permettre de le ramener du niveau record de 7,7 % du produit intérieur brut (PIB) fin 2010 à 6 % cette année, puis à 4,6 % en 2012. En ligne de mire, le respect en 2013 du plafond de 3 % autorisé par les traités européens. Pour y parvenir, "nous irons au-delà des trois milliards de réductions des niches fiscales" en 2012, a annoncé François Baroin.
Le gouvernement a lancé une chasse aux niches fiscales et sociales, ces exonérations d'impôts ou de cotisations qui ont représenté en 2010 un manque à gagner de 115 milliards d'euros pour les finances publiques. Les mesures déjà adoptées doivent rapporter près de 10 milliards d'euros de recettes nouvelles cette année, puis environ 2 milliards de plus en 2012, certains dispositifs montant progressivement en puissance. Et le gouvernement a déjà programmé un coup de rabot supplémentaire sur les niches d'un milliard en 2012, portant les recettes nouvelles à trois milliards. Le ministre du Budget a donc expliqué que ce montant serait dépassé, une annonce qui n'a surpris ni les économistes ni les parlementaires.
Suite : http://www.leap2020.eu/GEAB-N-55-est-di ... a6506.htmlDepuis près d'un an, LEAP/E2020 a identifié le second semestre 2011 comme un nouveau moment décisif dans l'évolution de la crise systémique globale. A l'image de notre anticipation de Février 2008 qui avait anticipé pour Septembre 2008 un choc majeur affectant l'économie américaine, notre équipe confirme dans ce GEAB N°55 que toutes les conditions sont désormais réunies pour que le second semestre 2011 soit le théâtre de la fusion explosive des deux tendances fondamentales qui sous-tendent la crise systémique mondiale, à savoir la dislocation géopolitique globale, d'une part, et la crise économique et financière globale, d'autre part.
Depuis plusieurs mois en effet, le monde connaît une succession quasiment ininterrompue de chocs géopolitiques, économiques et financiers qui constituent selon LEAP/E2020 les signes avant-coureurs d'un événement traumatique majeur que nous analysons dans ce numéro du GEAB.
Parallèlement le système international a désormais dépassé le stade de l'affaiblissement structurel pour entrer dans une phase de délabrement complet où les anciennes alliances se délitent tandis que de nouvelles communautés d'intérêt émergent très rapidement.
Enfin, tout espoir de reprise économique mondiale significative et durable s'est dorénavant évanoui (1) tandis que l'endettement du pilier occidental, en particulier des Etats-Unis, atteint un seuil critique sans équivalent dans l'Histoire moderne (2).
Suite : http://www.lemonde.fr/europe/article/20 ... _3214.htmlLa Commission européenne a annoncé, lundi 20 juin, une sévère réduction l'an prochain de l'allocation au programme d'aide alimentaire destiné aux plus démunis des Européens. L'enveloppe devrait être ramenée à 113 millions d'euros, soit 400 millions de moins que cette année. Selon plusieurs associations caritatives, cette baisse drastique de l'aide aux plus démunis pourrait priver au moins 2 millions de personnes de l'assistance dont elles ont besoin.
Ces dernières années, le Programme européen d'aide aux plus démunis (PEAD) était alimenté à hauteur d'environ 500 millions d'euros par an. Selon les estimations, 43 millions de personnes dans l'UE sont concernées par la pauvreté alimentaire.
"Cette réduction [des fonds] est le fait d'un arrêt rendu [par la justice européenne] en avril dernier dans lequel la juridiction européenne établit que la réglementation actuelle impose que les denrées couvertes par ce régime proviennent des stocks publics de l'UE" et non de fonds issus du budget de la Politique agricole commune (PAC), a expliqué la Commission dans un communiqué. Du fait de cette décision de justice, les années où l'UE ne dégage pas de stocks, le Programme européen d'aide aux plus démunis (PEAD) voit ainsi ses moyens drastiquement réduits.
La distribution gratuite de nourriture en Europe a été lancée pour la première fois, dans l'urgence, lors de l'hiver exceptionnellement froid de 1986. A cette époque, l'Europe disposait de stocks excédentaires de produits agricoles. Ils avaient été donnés à des associations caritatives qui se chargeaient de leur distribution aux plus démunis. Mais ces stocks européens avaient été supprimés lors de la réforme de la PAC, en 1990.
L'Europe avait élors remplacé les stocks par une enveloppe financière représentant 1 % du budget de la politique agricole de l'Union Européenne, soit 500 millions d'euros attribués aux Etats de l'UE, qui les répartissent entre les associations distributrices. Cet apport financier européen représente pour certaines d'entre elles jusqu'à 50 % de leurs ressources, voire 90 % en Pologne.
Mais, l'Allemagne, soutenue par la Suède, a déposé une plainte devant la Cour européenne de justice au motif que les 500 millions d'euros émanant du budget de la PAC constituaient, selon elle, une aide financière purement sociale qui "aurait perdu tout lien avec la politique agricole commune" et enfreignant les principes de l'OMC (Organisation mondiale du commerce). La Cour a donné raison à Berlin dans un arrêt rendu en avril dernier. La Commission n'avait pas fait appel.
Vidéo et suite : http://intox2007.info/?p=2076Une petite vidéo m’a interpellé. C’est au niveau de ce fameux AAA, la note de la France auprès des bons à rien des agences de notation…
Ecoutez bien les explications du journaliste de BFM-TV . Vous entendez bien que le note restera AAA (soit le meilleur) jusqu’en 2012, mais qu’ensuite les agences pourront se lâcher et demander au peuple Français de se serrer encore plus la ceinture pendant que le top 1% , l’oligarchie et ses complices pourront continuer à ne rien changer ou à profiter encore plus ! Et bien sûr ces lâches la ne disent rien sur le fait que la politique UMP crée volontairement du déficit. Chose que la cour des comptes observe.. en silence.