Bon, je vais jouer : je choisis le choléra. Pas aussi mortel que la peste pneumonique transmise par l'air.
On peut se prémunir du choléra en nettoyant bien après avoir tiré la chasse d'eau de ce torrent de boue pestilentielle qu'est devenu cette "campagne".
@Raoul, je n'ai pas trouvé l'origine de l'expression. Je la traduis entre "pire du pire" et "pire".
Je suis allée faire un tour sur certaines communes, entre autres, celle où ma mère a une maison dans l'Yonne. Nombre de votants : environ 100 (avec hameaux avoisinants) Arrivée : 1) le pen 2) sarko
Même chose pour la petite ville avoisinante de 380 votants
Chez ma nièce dans la Sarthe : idem. Env. 290 votants.
Je reste baba : comment peut-on en zone rurale, avec la raréfaction des médecins, le déremboursement des médicaments, les franchises, les écoles ou classes fermées, les infrastructures démolies (postes, administration..), comment peut-on encore vouloir de ce triste clown ?
Comment peut-on voter contre son propre intérêt pour croire faire partie une seconde dans l'isoloir de l'élite ?
D'autant plus cocasse que la plupart ne voient jamais d'"étrangers" sauf en transit, ne vivent pas avec eux. La PEUR instillée au goutte à goutte à chaque "jt" me met en rage. Le vrai danger ne vient pas des faits divers qui ouvrent leurs tribunes, mais bel et bien de leurs fantasmes "via TV". Que ce capitalisme tue sans émoi des millions de gens, que nous en fassions partie ne leur traverse pas l'idée.
Non, ils pensent faire partie des "vertueux", ceux qui ont tant donné au "boulot", une deuxième famille. Tu parles !!!
Leur ressentiment part plus du principe du voisin qui "vit comme un prince alors qu'il travaille à mi-temps" que de se poser les vraies questions. D'ailleurs, qu'en savent-ils ? (je me réfère à un article du Monde Diplo)
Il y a comme une dimension biblique qui me dépasse
