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Re: L'envers du décor du "miracle économique" allemand...

Publié : 05 mars 2013
par superuser
Ce genre de "bourde" arrive souvent en Allemagne. Ce n'est pas la première fois qu'on en entend parler.

Re: L'envers du décor du "miracle économique" allemand...

Publié : 05 avr. 2013
par superuser
Compétitivité allemande : ne pas payer les heures supplémentaires, ça aide !

Selon une étude de l'institut économique IWH de Halle, 1,4 milliard d'heures supplémentaires n'ont pas été payées outre-Rhin en 2010, ce qui représente 2,9% de l'ensemble du volume d'heures travaillées en Allemagne. Chaque salarié allemand travaillerait ainsi 38,1 heures par an gratuitement.

L'institut entend par heures supplémentaires non payées un temps de travail qui dépasse l'horaire prévu dans le contrat de travail ou l'accord de branche et qui n'est pas compensé par une rémunération ou un congé. Le volume des heures supplémentaires non payé est, selon l'IWH, supérieur à celui des heures supplémentaires payées, estimé à 1,3 milliard d'heures.

http://www.latribune.fr/actualites/econ ... -aide.html

Re: L'envers du décor du "miracle économique" allemand...

Publié : 12 avr. 2013
par superuser
Dans le style "Moi je tourne ma veste toujours du bon côté"...

Allemagne : les sociaux-démocrates du SPD virent à gauche :lol: :lol: :lol:

http://www.humanite.fr/monde/allemagne- ... gau-520175

Ces imposteurs ont compris le mal que leur a fait (à eux, mais pas au peuple) Gerhard Schrœder avec son "plan Hartz", tant encensé par les ultralibéraux, et tentent de se racheter une conduite pour les élections.
Sans remettre en cause les réformes du chancelier social-démocrate Gerhard Schröder entérinées il y a dix ans, qui ont permis de flexibiliser le marché du travail allemand et de rendre l'économie du pays plus compétitive, le SPD promet de corriger certaines inégalités apparues depuis. Et il y a du travail.

Un Allemand sur six sous le seuil de pauvreté. 
La situation est plus grave qu’en France. 
De plus en plus de retraités allemands recourent à un travail d’appoint, les jeunes enchaînent les jobs précaires, et la recherche de bouteilles consignées 
dans les poubelles fait partie des scènes de rue. 
L’office fédéral allemand des statistiques Destatis confirme : 15,8 % de la population vivait sous le seuil 
de pauvreté en 2010. C’est plus qu’en France (14 %), mais moins que la moyenne européenne (16,9 %). L’Allemagne appartient aux pays les plus riches de l’UE, 
et pourtant elle compte plus de pauvreté et des écarts 
de revenus plus importants que d’autres pays à l’économie moins en vue, comme la République tchèque (9,8 % de la population sous le seuil de pauvreté). 10 % des ménages 
disposent de 50 % de la fortune nette du pays, et 4  millions de personnes travaillaient en 2010 pour un salaire horaire brut de moins de 7  euros.

Re: L'envers du décor du "miracle économique" allemand...

Publié : 12 avr. 2013
par nanard
les sociaux-démocrates du SPD virent à gauche
Avec des pédalos ? :roll:

L'Allemagne importe des chômeurs européens

Publié : 16 avr. 2013
par superuser
Le déficit démographique plus fort que la crise ? L'Allemagne a besoin de main d'œuvre étrangère pour faire tourner son économie. Une aubaine pour les travailleurs qualifiés des pays voisins alors que le chômage touche plus de 26 millions de personnes au sein de l'Union Européenne.

http://fr.myeurop.info/2013/04/15/l-all ... peens-7725

Re: L'envers du décor du "miracle économique" allemand...

Publié : 16 avr. 2013
par maguy
MMouais, dans un pays où n'existe pas de salaire minimum on peut se poser des questions...

De plus, ils ont un tas de chômeurs et sans doute pour beaucoup très qualifiés dans les états anciennement de l'est. Et ils n'auraient pas de problèmes linguistiques.

Re: L'envers du décor du "miracle économique" allemand...

Publié : 16 avr. 2013
par diety
Cette "ouverture" ne fait que confirmer l'image que j'ai de l'Allemagne.

Ancrée dans la loi fondamentale (article 16a) qui, sur le papier, garantie à tout individu poursuivi pour des raisons raciales, politiques, religieuses ou d'expressions d'opinion, de demander asile politique en Allemagne.

Or, par la "Drittstaatenregelung" (en allemand et intraduisible, désolé - une loi qui permet à l'Allemagne de renvoyer tout demandeur d'asile dans le pays européen où le réfugié a mis son pied sur le sol européen en premier), entrée en vigueur en 1993, l'Allemagne a su faire chuter le "flot d'immigration" de 322.599 demandeurs d'asile en 1993 à 21.029 en 2006 (une division par 15 !!).
Source : Chargé du gouvernement allemand de migration, de réfugiés et d'intégration, ISBN 3-937619-24-0, publié en 2007 il me semble.
Pour les chiffres plus actuels je dois chercher un peu.

Dix ans plus tard, la "Drittstaatenregelung" est devenu le règlement Dublin II. Donc pendant 20 ans, l'Allemagne a su se protéger de l'immigration par les états européens qui l'entourent et ça a marché à merveille.

Ensuite il faut savoir quil n'y a qu'un tout petit pourcentage de demandeurs d'asile à qui l'Allemagne accorde l'asile et le séjour durable, c'est un pourcentage à un chiffre (deux, trois ou cinq pour cent), donc on parle de quelques centaines d'individus.

Je sais avec quel mépris et quelle dureté l'Allemage a découragé pendant les 20 dernières années les demandeurs d'asile à venir, hanté par un phantasme que "les étrangers" bouffent sur la prospérité allemande. Des reconduites à la frontières de gens qui ont vécu en Allemagne depuis 5, 10, 13, 20 ans ans, qui y ont eu des enfants et qui se trouvent, après une vie de galère, dans un pays qu'ils n'ont jamais connu (les enfants).

Des demandeurs d'asile dans les foyers en attente d'une décision pendant des années, des "Geduldete" (des étrangers tolérés - l'intitulé est fort je trouve; ce sont des étrangers que l'Allemange voudrait expulser sans pouvoir le faire car il y a des obstacles formels et/ou administratifs). Ces étrangers vivent dans des foyers à l'extérieur des villes, sans aucun contact avec la population allemande, avec une restriction de circuler et l'interdiction de travailler, tout en leur reprochant qu'ils ne travaillent pas et coûtent du fric à l'Allemagne - plus hypocrite tu meures). Il y a des histoires délirantes...

Les étrangers en séjour durable et en règle qui ont fait des études dans leur pays d'origine, la plupart du temps n'arrivent pas à faire reconnaître leur diplôme en Allemagne. Ce sont ces choses-là qui me dérangent. L'Allemagne se lamante de leurs problèmes démographiques (manque de natalité, la pyramide des âges) et du manque de travailleurs qualifiés et d'ingénieurs, mais pendant longtemps les gouvernements se sont mis eux-mêmes des bâtons dans les roues. Maintenant ils se réveillent un peu et paniquent. D'un côté c'est peut-être bien, mais la volonté de l'Allemagne d'être plus accueillante pour les gens venant d'autres pays n'est pas motivée par l'altruisme. Elle veut bien des étrangers quand ça l'arrange et quand c'est à son profit.

Comme déjà dit, l'Allemagne est presque le dernier pays européen qui refuse avec verve l'instauration d'un salaire minimum national et a fait de la concurrence déloyale par la modération salariale. La course de l'Allemagne à la compétitivité a réussi et creusé l'écart entre les pays du sud comme le Portugal, l'Italie, la Grèce etc. Maintenant, quand certains "partenaires" européens sont sur les rotules et l'Allemagne n'est pas capable ou n'a pas eu la volonté de faire une politique familiale intelligente, elle se permet de prendre la crème des gens bien formés des pays voisins, sans avoir dépensé un sou pour leur formation. C'est toujours ça de gagné. De plus, ces expatriés plus tard vont manquer à leurs pays respectifs quand ça ira mieux économiquement. L'Allemagne s'en tire toujours bien et aux dépens de ses partenaires européens, c'est cela qui me dérange.

Bien évidemment je ne suis pas contre l'expatriation en générale, moi-même étant expatrié et content de l'être, mais il y a plusieurs types d'expatriations. Celle qui s'annonce va être une expatriation forcée car beaucoup de gens n'ont plus de perspectives dans leur pays.

L'Allemagne a effectivement besoin de soignants, de travailleurs qualifiés et d'ingénieurs, ça a même l'air d'être urgent. En temps de crise, les nouvaux expatriés sont certainement d'accord pour faire quelques efforts sur leur prétention salariale. La crise pour les uns, c'est la joie pour d'autres.

Le texte est peut-être trop long. Est-ce que vous partagez mes réflexions ? Qu'en pensez-vous ?

Re: L'envers du décor du "miracle économique" allemand...

Publié : 21 avr. 2013
par reveurs
Je pense que l'analyse de diety est un peu trop globale. L'Allemagne est un pays complexe - tout comme la France d'ailleurs. Les conditions d'emploi sont très différentes d'un endroit à l'autre, mais la mobilité des gens pas toujours aussi grande qu'on pourrait espérer (?), souhaiter (?). Au souci de perdre ses relations sociales s'ajoute une barrière de langue. Oui, vous avez bien lu! Quelqu'un de Hambourg, par exemple, aura beaucoup de difficultés à comprendre un habitant d'un village bavarois, et sera traité de "sale prussien" par certains. (Les joies d'un régionalisme fort.)
Il ne faut pas non plus oublié que les informations qui arrivent chez nous en France sont toujours choisies pour prouver un discours, et peuvent être contradictoires.
Un exemple concret: Il y a quelques semaines, j'ai lu qu'il y a un accord européen concernant la demande de retraite pour les personnes qui ont cotisé dans plusieurs pays européens. Comme j'ai cotisé en Allemagne il y a 25 ans, j'ai contacté la caisse de retraite allemande par courriel. Réponse en 24 h! Une réponse claire avec indication qu'il y a une brochure en pdf ou, si l'on préfère en version papier. J'ai demandé la version papier, reçu en quatre jours. Brochure en allemand et en français et - ce que je n'avais pas demandé - une brochure en allemand sur le système des retraites en France. J’ai donc lu les deux brochures, premier constat: c’est très complexe. Deuxième constat: côté allemand il n’y a qu’une caisse, la décote en cas de départ avant l’âge de retraite est exprimé en pourcentage par mois et du pourcentage maximale, qui est en dessous de 20%. L’âge légale de départ à la retraite est 65 ans avec augmentation lente pour arriver à un âge légal de départ à 67 ans pour ceux nés en 1965.
Côté français: La brochure ne parle que du régime général, puis il y a une liste des caisses qu’il faut contacter suivant son cas personnel. Si j’ai bien compris l’âge légal en France est également 65 ans, sauf si on a assez de trimestres pour partir à 60 puis 62 ans, décote en cas de départ anticipé jusqu’à 50%. Et le comble, aucune information disponible pour ceux né après 1954. En plus il y a le salaire minimal nécessaire pour valider un trimestre, soit 1800 €. Divisez cette somme par trois, il faut gagner au minimum 600 € par mois pour valider un trimestre de retraite. Si vous gagnez moins, on encaisse vos cotisations obligatoires et ne vous donnera rien en retour :cry: . Est-ce vraiment mieux que l’arnaque allemand des petits boulots à 400 €?
Les emplois à 400 € en Allemagne existent depuis des décennies, en principe l’idée est bonne, s’il s’agit vraiment d’un petit boulot, mais il y a des entreprises qui ont découpé des emplois à temps plein en plusieurs petits boulots. J’ai connu quelqu’un qui travaillait dans une entreprise comme cela.

Re: L'envers du décor du "miracle économique" allemand...

Publié : 21 avr. 2013
par willemijns

Re: L'envers du décor du "miracle économique" allemand...

Publié : 21 avr. 2013
par maguy
Les emplois à 400 € en Allemagne existent depuis des décennies, en principe l’idée est bonne, s’il s’agit vraiment d’un petit boulot
Ne pas confondre petit boulot, donc un salaire d'appoint avec un salaire que l'on souhaite complet. Ils ont trouvé le moyen de payer un presque plein temps en demi-solde.
la mobilité des gens pas toujours aussi grande qu'on pourrait espérer (?), souhaiter (?)
Ben voyons, les gens achètent une maison, construisent leur vie par rapport aux écoles et devraient jouer le salarié au sifflet, juste pour faire plaisir aux dominants ?
Quelqu'un de Hambourg, par exemple, aura beaucoup de difficultés à comprendre un habitant d'un village bavarois, et sera traité de "sale prussien" par certains.
Faut pas charrier non plus, tous les enfants apprennent la même langue même si les dialectes survivent et encore de moins en moins, ne serait-ce que parce que les grandes villes drainent beaucoup de gens de différentes régions.

A propos, Diety est allemand et ne saurait être soupçonné d'avoir une vision trop globale.

Re: L'envers du décor du "miracle économique" allemand...

Publié : 22 avr. 2013
par diety
Je pense que l'analyse de diety est un peu trop globale. L'Allemagne est un pays complexe
Justement, je suis d'accord sur la compléxité. C'est pourquoi j'ai voulu apporter quelques éléments de plus à l'acticle qui parle de l'Allemagne, de la crise et des problèmes démographiques de l'Allemagne.

Dans ce sens je ne comprends pas ce que signifie "grop global" - vouliez-vous dire "trop réducteur" ?
Il ne faut pas non plus oublié que les informations qui arrivent chez nous en France sont toujours choisies pour prouver un discours, et peuvent être contradictoires.
J'ai eu l'occasion de m'en apercevoir. :| En France, beaucoup de médias et de politiques racontent l'Allemagne comme ça les arrangent pour leur discours politique. Un regard diversifié et critique sur l'Allemagne ne serait pas malvenu.
Comme j'ai cotisé en Allemagne il y a 25 ans, j'ai contacté la caisse de retraite allemande par courriel. Réponse en 24 h!
Je confirme votre expérience. Très efficace. Moi-même, pour une première tentative de naturalisation, la préfecture m'a demandé de justifier par des documents officiels tous mes lieux d'habitation de ma naissance jusqu'à mon expatriation en France en 1990, donc 33 ans de déménagements, de changements d'adresse, une tâche déprimante quand on a souvent déménagé. Le premier changement d'adresse a eu lieu quand j'avais un an - en 1958. J'ai contacté certaines mairies de villes allemandes par mail et eu quelques jours plus tard une attestation d'habitation dans ma boîte aux lettres. Très efficace.

Dans le cas inverse, ma soeur à travaillé en France pendant 2 ans, elle a 65 ans et essaie de lancer sa retraite. Elle devait envoyer une dizaine de lettres à différentes administrations françaises car soi-disant on ne la trouvait pas dans le registre de la sécurité sociale (bizarre car le n° de sécu est unique et à vie), puis quand on l'avait enfin trouvé il fallait envoyer des fiches de paie, attestations de travail et encore et encore et dans chaque courrier qu'elle a envoyé il y avait un truc qui n'allait pas. Ma soeur a failli jeter l'éponge. Aujourd'hui ça a l'air de s'arranger, mais il faut vraiment s'accrocher. Donc deux histoires isolées qui vont dans le sens des clichés "Allemagne bien organisée - France bordelique". Or, dans les clichés et les préjugés il y a des éléments justes et fausses.

Oui, sur certains plans les Allemands sont efficaces et l'efficacité peut être un avantage OU un inconvéniant, cela dépend. Si elle est appliquée dans le sens de l'injustice sociale, elle peut-être redoutable. Le traitement des chômeurs, je dirais plutôt l'accompagnement persécuteur des chômeurs sous le gouvernement Schröder (parti socio-démocrate viré néo-libéral), très "efficace", d'où un marché de bas salaire très étendu et une quasi-certitude de pauvreté de futures retraités. Bien sûr, tous ne seront pas concernés, mais en nombre absolu ce sera important si on ne change rien. L'efficacité peut, comme n'importe quel couteau, être utilisé à bon ou a mauvais escient. Une prudence et un regard critique sont conseillées quand médias et politiques en France encensent "le succès allemand".

C'est la raison pour laquelle mes contributions souvent ne sont pas "équilibrées" car j'ai envie d'apporter des informations que l'on trouve moins facilement en France. Pour l'admiration et le côté positif il y en a suffisamment qui s'en chargent.

En tout cas merci pour les réactions.

Re: L'envers du décor du "miracle économique" allemand...

Publié : 22 avr. 2013
par reveurs
Oui en disant "global" il faut comprendre réducteur. Mais à part d'écrire un livre s'est inévitable.
Petite précision: je suis d'origine allemande. J'habite depuis très longtemps à la campagne en France. Parfois, j'apprécie le manque de rigueur de l'administration française et adore prendre les chemins de traverse. Mais si tout le monde trouve cela normal si c'est un français de souche qui le fait, l'administration n'aime pas si les autres gens font pareil. Un jour à l'anpe, a fait un changement quelconque et j'ai fait comme toujours avant ce changement du coup, le guichetier m'a dit "ici c'est pas l'Allemagne!" au lieu de dire "la règlementation a changé il y a quelques mois."
En ce qui concerne les dialectes en Allemagne, on peut plus les comparer aux dialectes anglais qu'au différences entre régions françaises ou peut-être il faudrait comparer avec le français canadien?
Au fait, l'idée qu'on se fait de la France en Allemagne et tout aussi faussée que l'idée que les Français se font de l'Allemagne.

Re: L'envers du décor du "miracle économique" allemand...

Publié : 22 avr. 2013
par maguy
Au fait, l'idée qu'on se fait de la France en Allemagne et tout aussi faussée que l'idée que les Français se font de l'Allemagne
Tout à fait d'accord, tout est faussé. J'ai habité dans la Ruhr pendant un an et très longtemps chez les Souabes. Rien à voir.

Comme les gens de Strasbourg ou Lille ou Marseille ou du Massif Central sont différents.
"ici c'est pas l'Allemagne!"
Je connais la version inverse, mais j'avais un avantage : je suis de Paris (pas ma faute mais c'est ainsi) et cela figure sur tous mes papiers, donc je pouvais snober quand ça m'arrangeait :lol:

Dix ans de réforme Hartz : un modèle du genre…

Publié : 03 mai 2013
par superuser
Alors que le chômage ne cesse d’augmenter en France, bon nombre d’"experts" et de politiques attribuent les bonnes performances de l’emploi en Allemagne aux réformes Hartz. Un décryptage d’Arnaud Lechevalier pour Alternatives Economiques :

http://alternatives-economiques.fr/blog ... %E2%80%A6/

Re: L'envers du décor du "miracle économique" allemand...

Publié : 03 mai 2013
par maguy
Quand ils se remuent ça déménage. Et IG-Metall n'a pas l'habitude de céder. A suivre
"Près de 50 000 salariés issus de plus de 100 entreprises ont pris part aux premières actions et grèves d'avertissement", a déclaré le puissant syndicat IG Metall, dans un communiqué. C’est l'Etat régional du Bade-Wurtemberg (sud-ouest) qui a été le plus mobilisé, il représente à lui seul plus de la moitié des grévistes (26 500), parmi eux figurait quelques 9 000 employés du constructeur automobile Daimler.
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