On peut s'interroger sur leur façon de compter le nombre de gens infectés et l'effet que produit sur les gens cette comptabilité
On ne s'interroge pas longtemps. Il suffit de voir l'hystérie de la mère Bachelot l'autre jour à la Chambre des députés (je crois) en train de dire quasiment que ceux qui ne se vaccinent pas vont mourir.
Il faut qu'elle écoule ses doses, c'est vital pour son portefeuille d'actions, il faut que les gens courent se faire vacciner, c'est vital pour montrer sa bonne gestion de la crise. Et le gouvernement n'en est pas à un tripatouillage-de-chiffres près.
Les conséquences de cette vaccination de masse, s'il y en a, ne se feront connaître que dans quelques années. En attendant les sous vont rentrer chez les actionnaires des labos, c'est l'essentiel.
Et comme ces nouvelles grippes, nées dans les élevages avicoles et porcins, seront de plus en plus fréquentes et transmissibles à l'Homme, les vaccineurs de masse ont de beaux jours devant eux.
Et puis comme ça, on en arrive à penser, "oui, la crise, le chômage, bien sûr, mais enfin, l'essentiel c'est la santé, et notre pays nous vaccine gratuitement."