
Le SÉNAT ?! Cette « enquête » n’a été déclenchée que grâce à la mobilisation des réseaux sociaux et encore, on peut d’ores-et-déjà parier qu’elle n’est juste qu’un énième os à ronger jeté à la populace à la veille des élections, tout comme celle lancée par le PNF sur McKinsey ne visera jamais le RothschildGate et blanchira le poudré d'emblée puisque sa réélection est déjà actée à en croire les sondages.

Le SÉNAT ?! Celui qui le 03 juin 2021 a pondu
"Crises sanitaires et outils numériques : répondre avec efficacité pour retrouver nos libertés".
Les 3 sénateurs Véronique Guillotin (RDSE), Christine Lavarde (LR) et René-Paul Savary (LR) auteurs de cet abominable rapport

, préconisent la création d’une plateforme numérique nommée Crisis Data Hub et prévoient ce qui ressemble à bien des égards au certificat numérique ukrainien DIIA :
- la collecte des données personnelles pour prévenir les crises sanitaires (

)
- l’exploitation de ces données de manière très intrusive et dérogatoire
- des objets connectés obligatoires qui contrôleront l’état de santé
- le contrôle de la quarantaine par le port d’un bracelet électronique
- la désactivation du titre de transport ou des comptes bancaires d’une personne qui violerait la quarantaine
- le contrôle des transactions
Véronique Guillotin, sénatrice :
« L’idée, pour les citoyens, est que cet abandon temporaire de leurs données personnelles doit leur permettre de recouvrir, au plus vite, une liberté individuelle. »
Et in fine, ce rapport ose s’offusquer de la
« sensibilité française à toute collecte et croisement de données personnelles […] »

Le SÉNAT ?! Celui qui a adopté le 21 juillet 2021 en catimini cet amendement scélérat, criminel et surtout anticonstitutionnel, et ce à l’initiative de la sénatrice du Groupe Union Centriste Françoise GATEL

: appauvrir davantage les allocataires en autorisant les départements à supprimer le RSA à ceux qui auraient eu le malheur de disposer d’un plafond d’économies de 23.000 € si un vote prévu en septembre 2021 avait été confirmé par les députés, ce qui aurait été purement et simplement une spoliation en ce qu’il aurait porté atteinte aux droit de propriété malgré les récentes jurisprudences, donc une grave violation des droits fondamentaux.