Born in the USA
Re: Obama n'est pas Roosevelt
Comme partout ailleurs, ceux qui dirigent sont les "agences de notation" et les gens qu'elles servent. Les gouvernements fantoches sont légions en Occident et ailleurs.
Obama s'est fait élire sur un programme de "gauche" et il va continuer avec le programme de Bush.
Mais tout va bien aux USA puisque le chômage "baisse" (cela a redonné un peu de confiance aux boursicoteurs):
Obama s'est fait élire sur un programme de "gauche" et il va continuer avec le programme de Bush.
Mais tout va bien aux USA puisque le chômage "baisse" (cela a redonné un peu de confiance aux boursicoteurs):
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011 ... s-unis.phpL'économie américaine a créé 117.000 emplois en juillet, selon le département du Travail. Le taux de chômage baisse un peu, à 9,1%.
C'est la bonne surprise qu'économistes et marchés n'osaient plus espérer. Les chiffres de l'emploi aux États-Unis ont largement dépassé les attentes en juillet et le taux de chômage a diminué. Alors que les analystes tablaient sur 85.000 créations d'emplois le mois dernier, l'économie américaine en a créé 117.000, selon le département du Travail.
«Les détails du rapport vont dans les sens d'une légère amélioration», note Jean-Baptiste Pethe, économiste chez Exane BNP Paribas. Le secteur privé, à lui seul, a créé 154.000 embauches nettes en juillet. Le secteur manufacturier a créé 24.000 emplois, alors que 11.000 étaient attendus. Surtout, ajoute Jean-Baptiste Pethe, «la progression des salaires horaires rebondit (+0,4% sur le mois, +2,3% sur un an), ce qui peut offrir un soutien aux dépenses de consommation dans les prochains mois».
L'emploi public a de son côté diminué pour le neuvième mois consécutif sous le coup de la rigueur, détruisant 37.000 postes, soit un peu moins qu'en juin, quand il en avait détruit 39.000. «La baisse de juillet a été presque entièrement due à la fermeture partielle des services publics du Minnesota», a précisé le ministère. L'État a dû placer ses fonctionnaires au chômage partiel parce qu'il n'avait pas de budget pour fonctionner au début du mois.
Autre bonne nouvelle, les très faibles chiffres du mois de mai et de juin ont été tous les deux revus à la hausse, passant respectivement de 25.000 à 53.000, et de 18.000 à 46.000. «Ce rapport reflète un net ralentissement par rapport au rebond du début d'année, mais n'indique pas de récession à ce stade», note l'économiste d'Exane BNP Paribas.
Sorties du marché du travail
Grâce à ce dynamisme des créations de postes, le chômage américain a baissé à 9,1% en juillet, contre 9,2% un mois auparavant. Les économistes tablaient sur une stagnation.
Reste que le taux de participation au marché du travail est tombé à 63,9%, le plus bas en seize ans, selon le site de commentaires boursiers ZeroHedge. En clair, de plus en plus d'Américains se retirent, découragés, du marché du travail. «La baisse du taux de chômage n'est donc pas une bonne nouvelle: elle traduit plus des sorties du marché du travail qu'une reprise des embauches», analyse Thomas Julien, économiste chez Natixis.
Re: Obama n'est pas Roosevelt
Ben yes! Ils retournent vivre dans l'bois, l'appel de la forêt ! Ce qu'ils/elles n'auraient jamais dû oublier !tristesir a écrit : Reste que le taux de participation au marché du travail est tombé à 63,9%, le plus bas en seize ans, selon le site de commentaires boursiers ZeroHedge. En clair, de plus en plus d'Américains se retirent, découragés, du marché du travail. «La baisse du taux de chômage n'est donc pas une bonne nouvelle: elle traduit plus des sorties du marché du travail qu'une reprise des embauches», analyse Thomas Julien, économiste chez Natixis.

Re: Obama n'est pas Roosevelt
Ils ont le même costume, c'est fourni avec la valise avec le bouton nucléaire et la cave à vins ? 

Re: Obama n'est pas Roosevelt
Calculé selon les méthodes en vigueur jusqu'en 1994 ( taux SGS, en bleu sur le graphique ), le chômage outre-atlantique serait en réalité autour de 22-23% :Reste que le taux de participation au marché du travail est tombé à 63,9%, le plus bas en seize ans, selon le site de commentaires boursiers ZeroHedge. En clair, de plus en plus d'Américains se retirent, découragés, du marché du travail.
http://www.shadowstats.com/alternate_da ... ent-charts
A titre de comparaison, le taux de chômage au pire de la grande dépression était de 25%.
Re: Obama n'est pas Roosevelt
Et le protocole de Toronto dans lequel " ILS"' sont tous impliqués.tristesir a écrit :Ils ont le même costume, c'est fourni avec la valise avec le bouton nucléaire et la cave à vins ?
NTERNATIONAL FREE PRESS AGENCY " INTELLIGENCE REPORT"
MARS 1995
L E P R O T O C O L E D E T O R O N T O
""Cette réunion, secrète, hautement "Confidentielle", est organisée par les "6. 6. 6.", -c'est ainsi qu'ils se nomment eux-mêmes-, c'est-à-dire ceux qui dirigent les 6 plus grandes banques mondiales, les 6 plus grands consortiums énergétiques de la planète -dont le pétrole fait partie-, et les 6 grands consortiums de l'agro-alimentaire -dont fait partie le contrôle des principales routes alimentaires du monde-.
Ces 6. 6. 6. étant les plus hauts responsable de la finance internationale vont définir, à l'intérieur de leur réunion, une "Stratégie commune" en vue de la main mise absolue sur le "Commerce Mondial"; sur la possession de l'Arme énergétique- porte ouverte sur le XXIe siècle-; et sur le contrôle international de l'Agro-alimentaire, -lequel comprend aussi, pour eux, les consortiums pharmaceutiques comprenant, à leur tour, le marché mondial des "Vitamines" et des "Vaccins".
Leur "Plan" se résume à trois orientations majeures : " L'Économique, le Politique et le Social pour les années '70 et '80. S'il réussit, il doit irrémédiablement déboucher sur la prise du "Pouvoir Mondial" par la mise en place du "Nouvel Ordre Mondial"; le même dont le Président américain George Bush fera tant la promotion au début des années '90.""
extrait"
"Ces manipulations internationales des gouvernements et des populations des États-Nations nous fourniront le prétexte d'utiliser notre F.M.I. pour pousser les gouvernements occidentaux à mettre en place des "Budgets d'Austérité" sous le couvercle de la réduction illusoire de leur "Dette Nationale", de la conservation hypothétique de leur "Cote de Crédit Internationale", de la préservation impossible de la "Paix Sociale".
15- Par ces "Mesures Budgétaires d'Urgence", nous briserons ainsi le financement des États-Nations pour tous leurs "Méga-Projets" qui représentent une menace directe à notre contrôle mondial de l'économie.
16- D'ailleurs, toutes ces mesures d'austérité nous permettront de briser les volontés nationales de structures modernes dans les domaines de l'Énergie, de l'Agriculture, du Transport et des Technologies nouvelles.
17- Ces mêmes mesures nous offriront l'occasion rêvée d'instaurer notre "Idéologie de la Compétition Économique". Celle-ci se traduira, à l'intérieur des États-Nations, par la réduction volontaire des salaires, les départs volontaires - avec remise de médailles pour services rendus -, ce qui nous ouvrira les portes à l'instauration partout de notre "Technologie de contrôle".
(Les réunions ont eu lieu en JUIN 1967! Et les dossiers de Serge Monast n'ont eté révélés qu'une dizaine années après!
En tout cas, Tout cela se passe maintenant! Curieux tout de mème!)
Pourquoi la jeunesse aux Etats-Unis ne se révolte pas ?
http://blog.emceebeulogue.fr/post/2011/ ... eill%C3%A9Les gouvernements successifs, aux ordres du Capital, y ont veillé
Et, cela depuis le Vietnam.
Ce texte, "8 Reasons Young Americans Don't Fight Back: How the US Crushed Youth Resistance", de Bruce E. Levin, psychologue clinicien, parle de lui-même. Tout y est.
Nous-mêmes n'en sommes pas loin. Si nous avons pris du retard, c'est à cause de ces fichus services publics et des dispositions mises en place, entre autres, par le CNR et qu'il a fallu démanteler une à une. Mais l'équipe au pouvoir s'y attèle avec un zèle remarquable. Bientôt, ces mesures surannées ne seront plus qu'un vieux souvenir, qui ne hantera que les pires cauchemars du médèfe.
Manifestation contre la guerre du Vietnam
Les huit raisons pour lesquelles les jeunes aux Etats-Unis ne se révoltent pas: comment les Etats-Unis ont annihilé tout esprit de résistance
Ce sont les jeunes qui ont toujours dynamisé les mouvements démocratiques. et donc, c’est un sacré exploit qu'ont réalisé les classes dirigeantes en créant des structures sociétales qui ont assujetti les jeunes en Amérique et brisé leur esprit de résistance à la domination.
Les jeunes aux Etats-Unis –plus encore que les autres générations - semblent avoir intégré l’idée que la "corporatocratie" peut les arnaquer complètement et qu'ils sont impuissants à réagir face à cela. Un sondage Gallup réalisé en 2010 demandait: "pensez-vous que le système de Sécurité Sociale pourra vous verser une pension quand vous partirez à la retraite? Parmi les 18-34 ans, 76 % ont répondu non. Pourtant, bien qu'ils pensent qu'ils n'auront pas accès à la Sécurité Sociale, peu d'entre eux ont manifesté pour que cette institution soit renflouée en imposant les riches plus équitablement; la plupart semblent résignés à se voir prélever davantage de cotisations sociales, même s'ils pensent qu'ils n'en bénéficieront pas.
Comment donc la société a-t-elle réduit la jeunesse américaine au silence?
Re: Pourquoi la jeunesse aux Etats-Unis ne se révolte pas ?
Ouais... L'endettement... Parmi ces jeunes endettés, il doit y en avoir qui comprennent qu'ils sont les victimes d'un jeu de dupes... Et il y a aussi des jeunes qui n'ont pas fait d'études, qui de ce fait ne sont pas endettés, et qui ne sont pas pour autant des imbéciles... ça laisse un peu de marge de manoeuvre pour certains. Sans doute pas assez nombreux pour avoir l'impression de représenter un courant de pensée ?
« Matt Damon for President »
Et si le prochain président des Etats-Unis s'appelait Matt Damon ? Vous avez bien lu, Matt Damon, le soldat Ryan du film de Spielberg ou l'acteur préféré de Gus van Sant. L'idée d'en faire un candidat à la présidentielle vient de nul autre que Michael Moore, le cinéaste et activiste, qui fait partie des nombreux déçus d'Obama.
http://www.rue89.com/2011/08/10/matt-da ... ama-217474

http://www.rue89.com/2011/08/10/matt-da ... ama-217474

Re: Obama n'est pas Roosevelt
Il joue mieux que Reagan...
Et avec un "parrain" tel que Moore ma foi... mais les républicains et autres tea-party ont sérieusement repris du poil de la bête en attendant et dictent leur loi.
Et avec un "parrain" tel que Moore ma foi... mais les républicains et autres tea-party ont sérieusement repris du poil de la bête en attendant et dictent leur loi.
Re: Obama n'est pas Roosevelt
Et mieux que Schwarzenegger ! 

Re: Obama n'est pas Roosevelt
Leur douillet à eux avec son balai comme la dernière sorcière de SalemEt mieux que Schwarzenegger !


Il n'aurait jamais pu se présenter puisque d'après leur constitution, il faut être né aux US. Ils ont au moins échappé à "ça"
Comment le modèle Walmart a épuisé les Etats-Unis
Wal-Mart va mal. Le Monde qui se trompe rarement le dit : «Wal-Mart lutte pour maintenir ses profits». Ce n’est pas bon du tout pour l’économie américaine.
Le leader mondial de la distribution avait pourtant très bien résisté à la première phase de la crise. En 2008, le cours de son action avait même gagné quelques points quand tous les autres dévissaient.
L’enseigne est faite pour prospérer par temps de crise. Un concept génial ! «Everyday low price» , l’idée de Sam Walton. Dans ses magasins, les prix sont bas toute l’année. Finies les promotions, ces attrapes gogos. En une génération, le distributeur est devenu le leader mondial de son marché.
En 2008, grâce à ce concept, chaque foyer américain a économisé 2 300 dollars par an. Pas mal, au moment où ils ont du mal à finir leur fin de mois. Du bel ouvrage. Un vrai avantage pour le consommateur.
Tout pour réussir. Sauf qu'avec son idée, notre distributeur a tué la demande aux Etats-Unis.
Pour tenir ses objectifs, les salariés Wal-Mart n’ont le droit qu'au minimum vital. Rien que le salaire de subsistance de Marx. Aucun syndicat c'est l'objectif donné aux managers. Au Québec, des salariés avaient réussi à ouvrir une section syndicale : sur-le-champ le distributeur avait fermé le magasin. C’est le coût social du «every day, low price». Une très sérieuse étude publiée en 2009 constate que dès qu’un magasin Wal-Mart s’installe quelque part, les salaires baissent dans le district de 5,4% ! Ce n’est pas tout, la plupart de ses salariés ne bénéficient d’aucune couverture sociale… Et pourtant ceux-là n’ont pas à se plaindre : ils ont du travail.
Car du côté des fournisseurs, c’est encore moins la fête du slip. D’après deux journalistes français spécialistes de l’enseigne, c’est grâce à notre Mammouth que plus aucun Lewis ne sont fabriqués aux States. Un exemple parmi d’autres, beaucoup d’autres, Wal-Mart est responsable d’un très grand nombre de délocalisations. En exigeant de ses fournisseurs 10% de baisse de prix chaque année, la centrale d’achat a mis beaucoup d’Américains au chômage. Merci qui ? Aujourd’hui, 80% des produits vendus par les magasins de l’enseigne sont fabriqués en Chine. Quand on sait que le chiffre d’affaires de Wal-Mart est supérieur au PNB de la Suède, ça fait beaucoup.
Il arrive ce qui devait arriver. Le temps des allocations chômage, les gens consommaient encore un peu. Puis ils n'ont même plus les moyens d’acheter les produits chinois de chez Wal-Mart. Ou, comme le dit le PDG de Wal-Mart, «il est évident que les clients sont encore en difficulté. Ils achètent moins pour s'ajuster à leur budget». Quel doux euphémisme, ils n’ont même plus un cent dans leurs portes-monnaie ! Wal-Mart les a tous fait licencier. Ils n’ont plus de travail, donc plus d’argent.
Ce n’est pourtant pas compliqué l’économie. La société de consommation n’existe pas sans revenu, et donc sans travail.
Un livre de référence sur le sujet : Travailler plus pour gagner moins. La menace Wall-Mart par G Blassette et LJ Baudu, Buchet Chastel 2008.
Lundi 22 Août 2011
Bertrand Rothé
http://www.marianne2.fr/BertrandRothe/C ... s_a15.html
Le leader mondial de la distribution avait pourtant très bien résisté à la première phase de la crise. En 2008, le cours de son action avait même gagné quelques points quand tous les autres dévissaient.
L’enseigne est faite pour prospérer par temps de crise. Un concept génial ! «Everyday low price» , l’idée de Sam Walton. Dans ses magasins, les prix sont bas toute l’année. Finies les promotions, ces attrapes gogos. En une génération, le distributeur est devenu le leader mondial de son marché.
En 2008, grâce à ce concept, chaque foyer américain a économisé 2 300 dollars par an. Pas mal, au moment où ils ont du mal à finir leur fin de mois. Du bel ouvrage. Un vrai avantage pour le consommateur.
Tout pour réussir. Sauf qu'avec son idée, notre distributeur a tué la demande aux Etats-Unis.
Pour tenir ses objectifs, les salariés Wal-Mart n’ont le droit qu'au minimum vital. Rien que le salaire de subsistance de Marx. Aucun syndicat c'est l'objectif donné aux managers. Au Québec, des salariés avaient réussi à ouvrir une section syndicale : sur-le-champ le distributeur avait fermé le magasin. C’est le coût social du «every day, low price». Une très sérieuse étude publiée en 2009 constate que dès qu’un magasin Wal-Mart s’installe quelque part, les salaires baissent dans le district de 5,4% ! Ce n’est pas tout, la plupart de ses salariés ne bénéficient d’aucune couverture sociale… Et pourtant ceux-là n’ont pas à se plaindre : ils ont du travail.
Car du côté des fournisseurs, c’est encore moins la fête du slip. D’après deux journalistes français spécialistes de l’enseigne, c’est grâce à notre Mammouth que plus aucun Lewis ne sont fabriqués aux States. Un exemple parmi d’autres, beaucoup d’autres, Wal-Mart est responsable d’un très grand nombre de délocalisations. En exigeant de ses fournisseurs 10% de baisse de prix chaque année, la centrale d’achat a mis beaucoup d’Américains au chômage. Merci qui ? Aujourd’hui, 80% des produits vendus par les magasins de l’enseigne sont fabriqués en Chine. Quand on sait que le chiffre d’affaires de Wal-Mart est supérieur au PNB de la Suède, ça fait beaucoup.
Il arrive ce qui devait arriver. Le temps des allocations chômage, les gens consommaient encore un peu. Puis ils n'ont même plus les moyens d’acheter les produits chinois de chez Wal-Mart. Ou, comme le dit le PDG de Wal-Mart, «il est évident que les clients sont encore en difficulté. Ils achètent moins pour s'ajuster à leur budget». Quel doux euphémisme, ils n’ont même plus un cent dans leurs portes-monnaie ! Wal-Mart les a tous fait licencier. Ils n’ont plus de travail, donc plus d’argent.
Ce n’est pourtant pas compliqué l’économie. La société de consommation n’existe pas sans revenu, et donc sans travail.
Un livre de référence sur le sujet : Travailler plus pour gagner moins. La menace Wall-Mart par G Blassette et LJ Baudu, Buchet Chastel 2008.
Lundi 22 Août 2011
Bertrand Rothé
http://www.marianne2.fr/BertrandRothe/C ... s_a15.html