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Publié : 11 janv. 2007
par Monolecte
Publié : 11 janv. 2007
par edwin29
j'ai connu des bilans negatifs ailleurs, je sais le dire aussi.
Publié : 12 janv. 2007
par St-Dumortier
Bonjour,
Votre système d'échanges/autoproduction est, de fait, "désolidarisé" du reste de la population.
Cependant il ne peut s'en passer totalement.
Certes, il "consomme" peu,
mais ne le fait qu'à son strict bénéfice.
Il "contribue" peu également.
En un mot, vous restez "exclu aidé par la collectivité",
même si vous dévellopez des solutions personnelles.
Les systèmesd'échanges locaux ne sont q'une forme de travail au black, ce dernier étant caractérisé par l'absence de contribution sociale.
Vous améliorez votre quotidien, mais en excluant le fait que si cette amélioration était le fait d'un contrat classique légal, vous ne pourriez plus bénéficier de votre aide sociale ....
Ce qui revient à couvrir une "exclusion" d'un manteau de citoyenneté.
C'est donc un choix que je ne fais pas.
Reste le problème de l'emploi, pour lequel vous proposez, -je résume- :
"chercheur" ou "glandeur".
Personnellement, je pratique une troisième voie ....
Celle du bilan global.
Quand je fais le bilan de mes
"actions bénévoles personnelles à destination sociale",
converties en
"équivalent salaire professionnel qu'il aurait fallu mobiliser",
et que je compare avec ce que me verse cette société,
J'ai un rendement positif ... à faire palir une start-up.
(merci de ne pas juger à ma seule présence sur actu).
Donc, je maintiens:
je ne suis ni sans "emploi", ni prêt à en accepter n'importe lequel pour obtenir un contrat quelconque.
Entre ma méthode et la votre il n'y a donc qu'une différence de questionnement préalable:
En quoi ce que je fait est collectivement bénéfique ?