Mais faut aimer la campagne. Il n'y a pas beaucoup de citadins qui supportent...

En Grande-Bretagne, la vie à la campagne est chère aussi, l'immobilier est hors de prix.
Tu viens exactement de décrire une des raisons qui m'ont fait quitter la ville pour... le néant!serabeth a écrit :En ville il y a plus d'emplois qualifiés, mais plus de concurrence, et les emplois peu qualifiés sont aussi mal payés qu'à la campagne. Du coup, avec le même salaire on a un meilleur niveau de vie à la campagne qu'en ville.
Mais faut aimer la campagne. Il n'y a pas beaucoup de citadins qui supportent...
La seule distraction le dimanche faire la causette à une bouteille de vin ou aux vaches dans le champ d'en face?Mais faut aimer la campagne. Il n'y a pas beaucoup de citadins qui supportent
Pas faux, quitte à avoir le smic, autant payer moins son loyer qu'en ville.En ville il y a plus d'emplois qualifiés, mais plus de concurrence, et les emplois peu qualifiés sont aussi mal payés qu'à la campagne
Revers de la médaille: obligée d'avoir une voiture en état de rouler, avec de l'essence dedans...maguy a écrit :Pas faux, quitte à avoir le smic, autant payer moins son loyer qu'en ville.
C'est justement ça, le problème...!à condition d'être du pays bien sûr
Hé ho, j'ai une vie sociale quand même !La seule distraction le dimanche faire la causette à une bouteille de vin ou aux vaches dans le champ d'en face?![]()
Les vaches savent parler dans ton coin?Hé ho, j'ai une vie sociale quand même !
Si, je supporte la campagne...deux semainesJe gage, Tristesir que tu fais partie des citadins qui ne supportent pas la campagne.
Non, et pourtant je trouve généralement leur conversation plus intéressante que celle de mes voisins.Les vaches savent parler dans ton coin?
Quelle méconnaissance de notre monde rural ! Je ne passe pas mes Dimanches comme tu le dis, en campagne on se connait les uns les autres, on se rend volontiers visite, on se donne de menus ou moins menus coups de main, c'est bien plus agréable que la solitude urbaine où tu ne connais pas tes voisins. Les ruraux ne sont pas tous comme vous les caricaturez parfois, quand on s'installe quelque part il y a bien sûr une période d'observation, mais on finit par se faire accepter, sauf grosse erreur de communication. D'autre part, ce n'est pas parce que vous vous installez à la campagne que vous venez forcément de la ville... Ce soir, je suis devant mon ordi, et j'ai laissé mon nettoyeur haute pression dehors pour la nuit, sans aucune appréhension, je ne me barricade pas chaque soir et ma voiture a souvent les clés qui restent sur le contact pour m'éviter de les chercher.tristesir a écrit :La seule distraction le dimanche faire la causette à une bouteille de vin ou aux vaches dans le champ d'en face?Mais faut aimer la campagne. Il n'y a pas beaucoup de citadins qui supportent![]()
En outre, tu es sous haute surveillance quand tu vis dans une petite ville. Il suffit d'avoir seulement l'air différent et tu es la cible de tous les commérages et tu deviens le sujet principal des lettres anonymes envoyées à la gendarmerie du coin
Certains de mes voisins je les supporte depuis plus de 30 ans. Je les connais trop d'une certaine manière, si je ne déménage pas (je trouve les ponts trop humides à mon goût) ou si je ne crève pas avant eux (ils sont plus vieux que moi) je pense que je verrais leur successeurs dans ce HLM, je passerais peut-être devant leur tombe quand j'irais me recueillir deux fois par an sur la tombe de ma mère. Tout cela pour te dire que, sans être désagréable avec les gens de mon immeuble (bonjour, merci, comme il fait beau aujourd'hui...) je ne tiens pas particulièrement à les connaître.c'est bien plus agréable que la solitude urbaine où tu ne connais pas tes voisins
Tu as bien raison car même si les vaches savaient parler je ne pense pas que leur conversation serait très attrayanteJe ne passe pas mes Dimanches comme tu le dis
Chacun ses racines... la seule idée d'avoir à passer une journée en ville me file le cafard...Je suis un citadin qui vit à côté d'une des plus grandes villes de France, Paris. Je me sens attaché à cette ville et je ne m'imagine pas vivre loin de cette ville très longtemps
C'est juste que le demi est devenu très cher pour nos revenus, que si tu restes plus de 3H assis dans un bar, le serveur vient te relancer, et que la convivialité des années 70/80 est partie en fumée avec le régime finissant des baba cool languissants.bebert a écrit :Chacun ses racines... la seule idée d'avoir à passer une journée en ville me file le cafard...Je suis un citadin qui vit à côté d'une des plus grandes villes de France, Paris. Je me sens attaché à cette ville et je ne m'imagine pas vivre loin de cette ville très longtempsQuand j'étais plus jeune, j'aimais visiter les villes, voir les monuments, m'asseoir à une terrasse avec un demi et regarder passer les gens pressés, puis avec le temps tout ça s'en est allé... Les villes ont probablement un peu changé, et moi probablement beaucoup...
Combien peut coûter un demi de bière à Paris aujourd'hui ? Ceci dit, il y a bien longtemps que, même ici, je ne me suis pas installé à une terrasse... Je crois que par ici un demi doit être dans les 2,20 € à 2,40 €. C'est sûr qu'aujourd'hui il faut de bons revenus pour se permettre d'aller au bistrot (et de fumer...)C'est juste que le demi est devenu très cher pour nos revenus, que si tu restes plus de 3H assis dans un bar, le serveur vient te relancer, et que la convivialité des années 70/80 est partie en fumée avec le régime finissant des baba cool languissants.
Paris ce n'est pas qu'une ville où il n'y a que des bars même s'il y en a au coin de chaque rue ou presque.C'est juste que le demi est devenu très cher pour nos revenus