RSA longue durée et réinsertion.
Re: RSA longue durée et réinsertion.
Et bien il en tient une bonne couche le panthéon!!! Il va peut-être y rentrer dans le panthéon des casses bonbons !!!( j’ai changé c’est plus noble…)
Re: RSA longue durée et réinsertion.
Finalement ce qui ressort de tout ca, c'est que mon profil est "inclassable" , que ma façon de parler énerve les gens " il nous prends de haut avec ses mots compliqués " , et que devant l'incompréhension de mon profil atypique, il faut absoluement fabriquer des réponses, étudiant en thèse, journaliste, militant, infiltré ou que sais-je, car il serait impossible que quelqu'un de " petit malin" comme ca, soit vraiment qu'un RSA qui fou rien, bah oui dites donc, moi a sa place j'aurais pas galérer avec ces capacités !
Du coup ca ouvre les vannes et ca finit par du vous finirez SDF puisque vous vous pensez si malin, vous êtes un gamin, vous êtes un profiteur, c'est le risque en racontant sa vie, les gens jugent avec leurs parcours a eux , ca commence par vous êtes atypique, c'est intéressant, ca finis en vous m'irritez parce que vôtre coté différent en fait il fou la merde et on dirait que vous vous pensez meilleur que tout le monde ( non ).
Je ne suis meilleur que personne, je n'ai pas une haute estime de moi même, et je ne manque pas spécialement de courage, sauf si le courage ne se juge qu'a la valeur travail ( mentalité de droite tout ca tout ca on va pas faire en faire un débat . ) il faut de toutes façon un certain courage pour raconter son parcours et ensuite ramasser les avis des uns et des autres sur la place publique, même si ca n'est pas du tout un exploit héroïque, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dis .
Si des gens au gré de leurs pérégrinations sur internet tombent sur mon récit, ce sujet et ces échanges, que vous me trouviez détestable, la lie de la société et de tout ses maux, ou bien un marginal inclassable et qui tente de s'adapter et de faire avec ses particularités, sachez qu'il y a toujours espoir, qu'il faut se battre pour mener la vie que l'on veut mener et être heureux, tant bien même on vous trouvera médiocre, profiteur, lâche ou agent secret, gardez courage et ne vous laissez jamais faire !
bonne route les amis .
Du coup ca ouvre les vannes et ca finit par du vous finirez SDF puisque vous vous pensez si malin, vous êtes un gamin, vous êtes un profiteur, c'est le risque en racontant sa vie, les gens jugent avec leurs parcours a eux , ca commence par vous êtes atypique, c'est intéressant, ca finis en vous m'irritez parce que vôtre coté différent en fait il fou la merde et on dirait que vous vous pensez meilleur que tout le monde ( non ).
Je ne suis meilleur que personne, je n'ai pas une haute estime de moi même, et je ne manque pas spécialement de courage, sauf si le courage ne se juge qu'a la valeur travail ( mentalité de droite tout ca tout ca on va pas faire en faire un débat . ) il faut de toutes façon un certain courage pour raconter son parcours et ensuite ramasser les avis des uns et des autres sur la place publique, même si ca n'est pas du tout un exploit héroïque, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dis .
Si des gens au gré de leurs pérégrinations sur internet tombent sur mon récit, ce sujet et ces échanges, que vous me trouviez détestable, la lie de la société et de tout ses maux, ou bien un marginal inclassable et qui tente de s'adapter et de faire avec ses particularités, sachez qu'il y a toujours espoir, qu'il faut se battre pour mener la vie que l'on veut mener et être heureux, tant bien même on vous trouvera médiocre, profiteur, lâche ou agent secret, gardez courage et ne vous laissez jamais faire !
bonne route les amis .
Re: RSA longue durée et réinsertion.
On ne vous demande pas votre avis si vous êtes d'accord ou pas avec l'obligation de suivi. Vous n'y échapperez pas.
Mais surtout, ATTENDEZ d'être confronté aux "procédés assommants de la réinsertion" (je vous cite) pour les commenter et les dénigrer.
Pour l'heure, vous n'êtes vraiment pas en situation de porter un jugement. Vous êtes sans diplôme bien que votre intellect semble fonctionner normalement, au point de revenir sur vos contributions pour corriger vos fautes d'orthographe (ce qui en dit long sur votre sérieux et votre "perfectionnisme"), d'argumenter avec une vraie cohérence (un peu défaillante parfois) et de rester "courtois" malgré l'adversité (alors que sur les forums les gens ont plutôt tendance à se lâcher).
De plus, vous n'avez jamais (ou quasiment) travaillé et vous avez déjà 31 ans.
DONC OUI, VOUS AVEZ INCONTESTABLEMENT BESOIN D'UN SUIVI. Renforcé même !
Parce qu'il n'est pas normal qu'un gars bien élevé, intelligent, souvent lucide sur sa situation et ses manquements, soit dans votre situation. Le système ne peut pas le comprendre et on comprend le système.
Mon dernier conseil : Ne perdez pas votre temps à répondre aux uns et aux autres. Ça ne sert à rien. Sur les forums, prenez ce qui peut vous aider. Vous avez besoin de "positivité".
Là, dès votre première intervention, vous aviez pressenti que certaines et certains vous "secoueraient" - À COMMENCER PAR MOI - ne vous étonnez pas qu'ils le fassent parfois en termes un peu "virulents".
Cette file de discussions part maintenant dans tous les sens par votre maladresse. Tout simplement parce que vous contestez un système auquel vous devez vous adapter, pas vous attaquer frontalement. VOUS PERDREZ !
Nous, ici, nous sommes tous un peu "rebelles", y compris notre chère Amie Paulactu qui a passé des années de sa vie à accompagner, soutenir, conseiller des utilisateurs du site EN DEHORS DE SES HEURES DE BOULOT (à l'ANPE et chez Pôle Emploi à l'époque), BÉNÉVOLEMENT, alors qu'elle est mère et grand-mère, et qu'elle a certainement d'autres choses à faire de ses temps libres.
Bref, vous êtes ici avec des gens qui, MAJORITAIREMENT, sont plutôt solidaires avec vous. À COMMENCER PAR MOI.
Il n'est pas normal que ces échanges tournent à la bataille… d'oreillers (faut pas pousser non plus. Il n'y a pas de blessé et moins encore de mort).
Écoutez et appliquez les bons conseils (enfin, ceux que vous jugez utiles). Acceptez d'être suivi PARCE QUE VOUS EN AVEZ BESOIN et revenez de temps à autre ici pour raconter votre expérience.
Là vous aurez la légitimité de porter un regard critique sur telle ou telle action…
C'est le prix à payer… pour toucher le RSA. Dites-vous que vous avez eu de la chance jusqu'à maintenant de passer entre les mailles du filet. Mais c'est fini !

Re: RSA longue durée et réinsertion.
@panthéon
Bonjour ,
J'ai lu avec attention ton post initial, très sincère ainsi que tous les échanges, surtout tes réponses, parfois avec l'humour sous-jacent, ce qui ne gate rien. Je me suis donc inscrit sur le site pour te répondre.
Je me sens concerné et plein d'une expérience qui se compte en dizaine d'années de rmi puis de rsa en continu. Donc 6 ans d'assistanat n'est pas grand chose à mes yeux. Je suis longtemps resté inscrit au chômage sans indemnités sans qu'on s'occupe trop de mon cas puisque j'étais suivi par une assistante sociale d'abord en mairie puis en ccas pour ne pas citer l'intitulé de la structure. Un jour, J'ai oublié d'actualiser pole emploi et c'est mon assistance sociale qui m'a dissuadé de me réinscrire. ça fera donc plus de 10 ans que je ne suis plus à pole emploi.
On ne m'a pas laissé dormir puisque à l'époque, j'ai été guidé vers une structure de réinsertion par le travail qui m'a très vite renvoyé vers mon assistante sociale avec une problématique santé cad qu'il m'ont jugé inapte au travail sans d'ailleurs qu'ils essaient de me placer où que ce soit. Ensuite, on m'a orienté vers un psy pour quelques séances. Bref, mon assistante sociale me voyait tous les 3 mois, histoire de garder un lien mais a perdu toute velléité à la réinsertion par le travail. Ainsi tous mes contrats d'insertion mentionne la problématique santé. Pour en arriver là, il faut jouer au con, plutôt à la mode bressonienne que façon expressionniste allemand. Il ne faut absolument pas braquer son interlocuteur , surtout ne pas verbaliser son refus de travailler mais qu'il en vienne à ce constat eux mêmes au fil du temps. Il faut être sur le fil, trouver un équilibre entre une certaine accommodation et assimilation. La méthode est bcp plus délicate que de jouer à l'âne qui n'a pas soif.
Je pense que les postures dépendent bcp des personnes que tu auras en face de toi, de la région dans laquelle tu te trouves et bien sûr de l'air du temps. Là, pas de chance (pour ceux qui ne veulent pas travailler), Macron aura réussi à caser ses 15h obligatoire à la demande de LR aprés la lecture au sénat avant la dissolution( aprés ,la réforme ne serait pas passée).
On peut donc dire qu'une nouvelle période s'ouvre. Je n'ai pas encore été convoqué pour la réinscription à France travail mais je suis impatient de voir comment tout ça va se dérouler. Pour ma part , étant à quelques années de l'aspa, je redoublerai d'attention pour glisser tranquillement vers cet objectif. Tu es encore jeune , ça risque d'être difficile les premiers temps, mais passé le branle bas de combat, ça ne m'étonnerait pas que le dispositif soit un gros flop. J'espère cependant qu'il profitera à ceux qui veulent réellement travailler.
Pour revenir à tes questions, ne pas s'inquiéter pour le changement d'adresse. En revanche, pour les 50e , ils ont largement les moyens de retrouver la trace avec les relevés bancaires. Bon, c'est pas des fraudes énormes. Il faut partir du principe que tu vas être contrôlé (fou je ne l'ai jamais été !)et que rien ne doit apparaitre qui peut t'être préjudiciable. Pour les 3% de hirsch au passage du rsa, j'ai longtemps transpiré pour tout passer à la lessiveuse. Donc prudence et je ne vais pas commencer à faire l'inventaire des astuces.
Cette vie d'oisiveté, elle a été bénéfique par mes nombreux voyages à travers le monde, disposer de son temps sans avoir souffert du manque d'argent étant très anti-consumériste et anti-productiviste. Quand le mode de vie concorde avec ses idées et convictions, tout est plus facile.
J'ai quand même donné de mon temps en mode bénévolat associatif qui paradoxalement m'a emmené à travailler sur quelques quinzaines (genre 2 par an , pas tous les ans) et aussi au black.
Donc, je ploussoie à ton "soyons heureux" et mettons tout en oeuvre pour y arriver quel que soit la morale d'autrui et les lois du pays.
Bien amicalement et bon we à tous.
Bonjour ,
J'ai lu avec attention ton post initial, très sincère ainsi que tous les échanges, surtout tes réponses, parfois avec l'humour sous-jacent, ce qui ne gate rien. Je me suis donc inscrit sur le site pour te répondre.
Je me sens concerné et plein d'une expérience qui se compte en dizaine d'années de rmi puis de rsa en continu. Donc 6 ans d'assistanat n'est pas grand chose à mes yeux. Je suis longtemps resté inscrit au chômage sans indemnités sans qu'on s'occupe trop de mon cas puisque j'étais suivi par une assistante sociale d'abord en mairie puis en ccas pour ne pas citer l'intitulé de la structure. Un jour, J'ai oublié d'actualiser pole emploi et c'est mon assistance sociale qui m'a dissuadé de me réinscrire. ça fera donc plus de 10 ans que je ne suis plus à pole emploi.
On ne m'a pas laissé dormir puisque à l'époque, j'ai été guidé vers une structure de réinsertion par le travail qui m'a très vite renvoyé vers mon assistante sociale avec une problématique santé cad qu'il m'ont jugé inapte au travail sans d'ailleurs qu'ils essaient de me placer où que ce soit. Ensuite, on m'a orienté vers un psy pour quelques séances. Bref, mon assistante sociale me voyait tous les 3 mois, histoire de garder un lien mais a perdu toute velléité à la réinsertion par le travail. Ainsi tous mes contrats d'insertion mentionne la problématique santé. Pour en arriver là, il faut jouer au con, plutôt à la mode bressonienne que façon expressionniste allemand. Il ne faut absolument pas braquer son interlocuteur , surtout ne pas verbaliser son refus de travailler mais qu'il en vienne à ce constat eux mêmes au fil du temps. Il faut être sur le fil, trouver un équilibre entre une certaine accommodation et assimilation. La méthode est bcp plus délicate que de jouer à l'âne qui n'a pas soif.
Je pense que les postures dépendent bcp des personnes que tu auras en face de toi, de la région dans laquelle tu te trouves et bien sûr de l'air du temps. Là, pas de chance (pour ceux qui ne veulent pas travailler), Macron aura réussi à caser ses 15h obligatoire à la demande de LR aprés la lecture au sénat avant la dissolution( aprés ,la réforme ne serait pas passée).
On peut donc dire qu'une nouvelle période s'ouvre. Je n'ai pas encore été convoqué pour la réinscription à France travail mais je suis impatient de voir comment tout ça va se dérouler. Pour ma part , étant à quelques années de l'aspa, je redoublerai d'attention pour glisser tranquillement vers cet objectif. Tu es encore jeune , ça risque d'être difficile les premiers temps, mais passé le branle bas de combat, ça ne m'étonnerait pas que le dispositif soit un gros flop. J'espère cependant qu'il profitera à ceux qui veulent réellement travailler.
Pour revenir à tes questions, ne pas s'inquiéter pour le changement d'adresse. En revanche, pour les 50e , ils ont largement les moyens de retrouver la trace avec les relevés bancaires. Bon, c'est pas des fraudes énormes. Il faut partir du principe que tu vas être contrôlé (fou je ne l'ai jamais été !)et que rien ne doit apparaitre qui peut t'être préjudiciable. Pour les 3% de hirsch au passage du rsa, j'ai longtemps transpiré pour tout passer à la lessiveuse. Donc prudence et je ne vais pas commencer à faire l'inventaire des astuces.
Cette vie d'oisiveté, elle a été bénéfique par mes nombreux voyages à travers le monde, disposer de son temps sans avoir souffert du manque d'argent étant très anti-consumériste et anti-productiviste. Quand le mode de vie concorde avec ses idées et convictions, tout est plus facile.
J'ai quand même donné de mon temps en mode bénévolat associatif qui paradoxalement m'a emmené à travailler sur quelques quinzaines (genre 2 par an , pas tous les ans) et aussi au black.
Donc, je ploussoie à ton "soyons heureux" et mettons tout en oeuvre pour y arriver quel que soit la morale d'autrui et les lois du pays.
Bien amicalement et bon we à tous.