Publié : 01 nov. 2006
Effrayante cette vidéo sur les OGM, surtout la fin !
Ils ont décidé qu'on allait bouffer de cette m.... même si on doit en crever !
Ils ont décidé qu'on allait bouffer de cette m.... même si on doit en crever !
J'ai toujours du mal avec le rapp à comprendre les paroles, mais... rien que de vrai s'pas ?Dont voici les paroles :
Mets ta femme à l'abri !
Tiens ta femme et tu tiendras la france
T'es cocu Sarko et tout le monde le pense
Dans les tess' on a plus confiance
On a pas confiance en ta présidence
Tiens ta femme et tu tiendras la france
T'es cocu Sarko et tout le monde le pense
Dans les tess' on a pris conscience
Qu'on a pas confiance en ta présidence
[...]
Quand tu parles le peuple s'emballe
Tu vois surtout pas ceux qui rament et qui crêvent la dalle
N'est-ce pas que tu nous prends comme ta femme : tu veux ma voix ?
- Eh non ! J'veux du travail !
[...]
Sarko, je m'appelle Sarko
Sarko je m'appelle fiasco.
La banlieue te chie dessus,
T'es qu'un sale cabot, sado maso, putain de nabot, cerveau de facho, va chercher ta go !
Enchaîne extrême entre deux salauds,
J'ai lu que Sarko n'a rien sous le capot.
Ecoute ma feuille, exclue elle crame
La france une pute où Sarko est le mac.
La France est pute de Sarko
[...]
Tiens ta femme la banlieue
Tiens ta femme la banlieue
Tiens ta femme et tu tiendras la france
Tiens ta femme la banlieue
Tiens ta femme la banlieue
[...]
Et comment, t'as pas d'leçon à recevoir de moi ?
Et comment tu f'rais si t'étais mort comme moi ?
Appelle ta mère !
On va t'refaire, avec ton corps de nain et ta grosse tête de jobard
On va transformer tes racailles en électeurs, p'tit loup
Raaahhhh ! T'as raison d'avoir peur
T'es qu'un immigré
T'es comme un schtroumpf
C'est le retour, la revanche
Des grenouilles de bénitier
[...]
Guidé par ta mégalo plutôt que ta morale,
Ceux que t' envoies sur le pav nous foutent sur la paille
De la place Beauveau au panthéon des nabots
Si tu t'mets pas au trot,
On t'poursuivra au galop
[...]
Tiens ta femme la banlieue
Tiens ta femme la banlieue
Tiens ta femme et tu tiendras la france
C'est pas doc Gyneco qui aurait ce genre d'inspiration ou asse de c...
Il y a pire que ça, mais c'est plus cher... donc réservé aux bourges.sophie_renault a écrit :C'est pas doc Gyneco qui aurait ce genre d'inspiration ou asse de c...
Flash-ball : Jiade toujours à l'hôpital
L'adolescent blessé par le tir de flash-ball d'un policier risque de ne pas recouvrer l'usage de son oeil gauche.
L'adolescent de 16 ans blessé grièvement à l'œil par le tir de flash-ball d'un policier était toujours hospitalisé jeudi 2 novembre, ont indiqué à la presse ses avocats.
"Les chances de récupération" de son oeil gauche "sont infimes", a déclaré Me Jean-Pierre Mignard.
Mais Jiade El Hadi devrait quitter l'hôpital de Montreuil "très prochainement", a précisé Me Emmanuel Tordjman.
Le père du jeune homme avait affirmé lundi que son fils avait été blessé par un policier qui "lui avait tiré dessus" au niveau du visage "avec un flash-ball".
L'IGS (Inspection générale des services, la police des polices) a été saisie pour déterminer les circonstances de cette blessure.
Versions contradictoires
"Le père maintient sa version des faits", a déclaré jeudi Me Mignard.
Selon son père, Jiade "marchait de la Pama au Chêne pointu (cité de Clichy, NDLR), et il est arrivé au moment où des jeunes montaient une barricade", a précisé l'avocat.
Me Mignard souligne que l'adolescent nie avoir participé à l'édification de la barricade.
Pourtant, une source judiciaire avait indiqué lundi que le jeune homme avait reconnu avoir participé à l'édification de la barricade, lors de son audition devant les policiers de l'IGS.
"Rien n'a été signé, ni par les parents ni par l'adolescent", a contredit Me Mignard, au sujet du procès verbal d'audition de l'IGS.
Nouvelobs
AP a écrit :Sarkozy veut obliger les entreprises à rembourser leurs aides publiques en cas de licenciements abusifs.
Nicolas Sarkozy souhaite dans "Les Echos" de jeudi que les entreprises qui ne remplissent pas leurs obligations en matière d'emploi remboursent leurs subventions publiques.
"Je suis pour la conditionnalité des subventions et des aides : toute entreprise qui bénéficie de subventions publiques, nationale, régionale, locale, européenne, doit s'engager à les rembourser si elle ne remplit pas ses obligations et ne fait pas preuve d'un minimum de déontologie sur le licenciement", déclare le président de l'UMP dans cet entretien avec cinq acteurs de l'économie française. Cette proposition figure également dans le projet socialiste pour la présidentielle.
Dans le même entretien, M. Sarkozy se dit "favorable à une modulation de la taxation des entreprises en fonction de leur politique de l'emploi".
"Ce n'est pas la même chose de licencier quand on est pris à la gorge et qu'on ne peut pas faire autrement et de délocaliser pour faire monter le CAC 40", estime le président de l'UMP. "Ce n'est pas la même chose de reclasser tout le monde et de faire des préretraites ou du licenciement, aux frais du contribuable", juge encore M. Sarkozy.
Le président de l'UMP propose par ailleurs la création d'un "compte formation" pour aider les "oubliés de la formation" ou les employés des PME. Ce compte "serait attaché non pas à l'emploi qu'on occupe mais à la personne" et "serait rechargeable tout au long de la vie professionnelle".
Nicolas Sarkozy souhaite enfin que les salariés licenciés "bénéficient de meilleures indemnités de chômage mais à une condition : que l'obligation de rechercher un emploi devienne beaucoup plus sévère". "Il faut faire en sorte que le demandeur d'emploi ne puisse pas refuser plus de trois offres d'emploi, que chacun soit obligé de chercher véritablement un emploi, d'exercer une activité ou d'accepter une formation", estime le président de l'UMP, pour qui "la société ne peut pas aider celui qui ne veut pas s'en sortir".
Allez... encore un petit coup de propagande du chômeur fainéant !"Il faut faire en sorte que le demandeur d'emploi ne puisse pas refuser plus de trois offres d'emploi, que chacun soit obligé de chercher véritablement un emploi, d'exercer une activité ou d'accepter une formation", estime le président de l'UMP, pour qui "la société ne peut pas aider celui qui ne veut pas s'en sortir".