C'est tout simplement la situation dans laquelle nous nous trouvons actuellement. Les trois options mettent deux idées en contradiction d'où le dilemme.aaa a écrit :À statovore j'ai bien aimé ton histoire de tramway
Dans le cas du tramway, ne pas choisir (tétanisation par exemple), c'est de la non assistance à personne en danger dans lequel le pire est toujours certains.
Mais choisir revient à commettre un meurtre sauf qu'on a le choix de créer le plus de dégât possible ou le moins de dégâts.
Le choix Le Pen/Macron est du même genre.
Dans quelle mesure pourront-il agir ? Cela dépend des idées majoritaire chez les députés.
Quel sont les dégâts qui seront les plus facile à réparer ? Une politique anti-immigration qui sera vite démoli par les soutient des libéraux car il faut la peur de l'immigration pour faire baisser les salaires ? Ou une politique libérale dans laquelle on cherche systématiquement à diviser les travailleurs grâces aux conventions "de branche" puis "d'entreprise" afin de pouvoir diminuer la portée politique des grèves ?
C'est exactement ce que je propose avec mon QCM. On demande le niveau d’adhésion des gens pour chaque candidat. Pour, neutre ou contre.lou-fi a écrit : Là il s'agit du jugement majoritaire..." D'abord, il ne faut plus comparer et classer les candidats entre eux, mais juger et donner son avis sur chacun avec un langage commun... jugement qui permet de nuancer les avis des électeurs, le vote blanc n'est plus nécessaire.
Mais nous savons qu'a la première élection, il y a très peu de chance que l'un des candidats dépasse 50% parce que la plupart des programmes est déconnecté de ce que souhaite le peuple.
Seul les candidats fédérateur pourront le faire et si on regarde les sondages d'avant le premier tour, Fillon et Le Pen était rejeté par plus de 70% des Français, tout comme une majorité de la classe politique qui est victime de "dégagisme".
Quand au risque de manipulation, il est déjà présent à cause des sondages.