Réorienté le débat
Publié : 02 juin 2008
Salut,
Merci pour ce débat intense et à leurs intervenants. Toutefois je tiens à rappeler un point important qui ne semble pas avoir retenu votre attention ou je me suis mal exprimé sur le sujet.
[coupuer site et local asso]
Cette coupure intempestive du site se confond avec un autre moment de la vie de l'asso APCD. Depuis plusieurs mois, nous négocions un nouveau local parce que nous devons quitter le présent actuel lequel est géré aussi par le Conseil Général de la dordogne.
Et là pour le local, on n'aura pas la facilité d'internet. Cela demande une autre infrastructure. Avec un peu chance, ce seront deux événements différents mais, n'étant pas du tout optimiste sur cette histoire, je pense que cela indique une sorte d'intention réelle.
Bref, nous aurions une certaine réponse/soutien mais dont l'intention réelle serait différente de celle avancée. Si cela se confirme, nos craintes seraient justifiées.
[colère = adolescence ; raison = adulte ?]
Quand au reste colère= adolescence, raison/réfléchie = adulte. Je ris bien de tout cela. Quand on coupe le rmi à une personne et que cette dernière, par colère, montre au directeur du pôle RMI qu'elle n'a que quelques centimes pour vivre et manger. C'est une saine colère.
Il faut arrêter de traiter les choses réelles comme des objets comme si traiter une chose réelle comme un objet qui est devant soi valait mieux que le contraire. Alors que les organismes de contrôles par le biais de l'objet "insertion" (par exemple) agissent avec des choses réelles (ce que la personne reçoit pour survivre). C'est là toute la différence.
Quand on coupe le RMI d'une personne. On lui coupe vraiment, c'est 394 euros en moins par mois. Et il faudrait que cette personne traite ce manque non pas comme une chose réelle mais comme un objet sur lequel il faut réfléchir ? Blablabla.
Le problème des assos de chômeur est qu'elles se situent sur cette zone frontière entre la réalité effective vécue (la chose réelle) par la personne et le dossier administratif (l'objet rmi). Le piège est là mais les services se foutent de la chose réelle, ils n'accordent le droit au rmi qu'en fonction de l'objet : l'insertion.
Il faudrait réagir en adulte et réfléchir sur 394 euros en moins par mois ? Saine réfléxion, tant qu'on y est ; pourquoi pas méditer sur le sujet ?
Merci pour ce débat intense et à leurs intervenants. Toutefois je tiens à rappeler un point important qui ne semble pas avoir retenu votre attention ou je me suis mal exprimé sur le sujet.
[coupuer site et local asso]
Cette coupure intempestive du site se confond avec un autre moment de la vie de l'asso APCD. Depuis plusieurs mois, nous négocions un nouveau local parce que nous devons quitter le présent actuel lequel est géré aussi par le Conseil Général de la dordogne.
Et là pour le local, on n'aura pas la facilité d'internet. Cela demande une autre infrastructure. Avec un peu chance, ce seront deux événements différents mais, n'étant pas du tout optimiste sur cette histoire, je pense que cela indique une sorte d'intention réelle.
Bref, nous aurions une certaine réponse/soutien mais dont l'intention réelle serait différente de celle avancée. Si cela se confirme, nos craintes seraient justifiées.
[colère = adolescence ; raison = adulte ?]
Quand au reste colère= adolescence, raison/réfléchie = adulte. Je ris bien de tout cela. Quand on coupe le rmi à une personne et que cette dernière, par colère, montre au directeur du pôle RMI qu'elle n'a que quelques centimes pour vivre et manger. C'est une saine colère.
Il faut arrêter de traiter les choses réelles comme des objets comme si traiter une chose réelle comme un objet qui est devant soi valait mieux que le contraire. Alors que les organismes de contrôles par le biais de l'objet "insertion" (par exemple) agissent avec des choses réelles (ce que la personne reçoit pour survivre). C'est là toute la différence.
Quand on coupe le RMI d'une personne. On lui coupe vraiment, c'est 394 euros en moins par mois. Et il faudrait que cette personne traite ce manque non pas comme une chose réelle mais comme un objet sur lequel il faut réfléchir ? Blablabla.
Le problème des assos de chômeur est qu'elles se situent sur cette zone frontière entre la réalité effective vécue (la chose réelle) par la personne et le dossier administratif (l'objet rmi). Le piège est là mais les services se foutent de la chose réelle, ils n'accordent le droit au rmi qu'en fonction de l'objet : l'insertion.
Il faudrait réagir en adulte et réfléchir sur 394 euros en moins par mois ? Saine réfléxion, tant qu'on y est ; pourquoi pas méditer sur le sujet ?