Tu préferes faire sauter le navire et chacun pour soi ?St-Dumortier a écrit :Bonjour,?? le dialogue .... ????? pour savoir qui on va noyer ????Il y a certainement d'autres solutions que de noyer finalement tout le monde. Le dialogue par exemple.
Y'a pas de bateau qui coule ........
Y'a que des officiers qui connaissent rien à la navigation .....
Ils veulent quoi, la guerre civile ?
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Invité
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St-Dumortier
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chris
d'ailleurs les nouveaux reglements de l'armée francaise autorise et eleve au rang de devoir la .....desobeissance et meme la rebellion en cas d'ordres manifestements irresponsables . 
c'est en cours depuis quelques années ,les balkans ,je crois ,depuis le fait d'un jeune st cyrien ,encore la jeunesse !!
il ya une simulation d'ordres debiles ,meme en ecole de gendarmerie et ceux qui n'auraient pas desobeis , entendent parler du pays et des regles de la democratie
comme quoi, riboul ,desobeir lorsque le bateau est en danger ; c'est etre citoyen
d'ailleurs ca flotte un peu dans les rangs policiers ,se rendent bien compte ou la guerre des chefs les emmenent .
c'est en cours depuis quelques années ,les balkans ,je crois ,depuis le fait d'un jeune st cyrien ,encore la jeunesse !!
il ya une simulation d'ordres debiles ,meme en ecole de gendarmerie et ceux qui n'auraient pas desobeis , entendent parler du pays et des regles de la democratie
comme quoi, riboul ,desobeir lorsque le bateau est en danger ; c'est etre citoyen
d'ailleurs ca flotte un peu dans les rangs policiers ,se rendent bien compte ou la guerre des chefs les emmenent .
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victorine83
Ribouldingue a écrit :
A quoi ça sert de polémiquer sur la forme ?
C'est le fond qu'il faut comprendre... après le reste, ils se démmerdent.
Ce que les français rejettent, dépasse le simple fait de retirer ou de relire ou de ne pas promulguer et blablabla et blablabla...
Ribouldingue, es-tu seulement conscient que nous sommes en pleine crise sociale ???
Réveille-toi un peu, mon grand !
... ce à quoi, je te réponds :
Voilà ce que j'ai écris plus haute:
Il y a une chose que vous éludez systematiquement, c'est que cette loi ne peut pas être "retirée".
C'est pas faute de vous le répéter.
Elle peut passer en relecture, ou être abrogée.
A quoi ça sert de polémiquer sur la forme ?
C'est le fond qu'il faut comprendre... après le reste, ils se démmerdent.
Ce que les français rejettent, dépasse le simple fait de retirer ou de relire ou de ne pas promulguer et blablabla et blablabla...
Ribouldingue, es-tu seulement conscient que nous sommes en pleine crise sociale ???
Réveille-toi un peu, mon grand !
Moi, ça me donnait plutôt l'impression que tu disais qu'on fonçait tête baissée sans réfléchir donc que nous étions les idiots de service. STP, fait attention à ton langage trop imagé qui te permet de dire n'importe quoi comme ce qui suit :Lorsque je vous dis que vous avez la tête dans le guidon, c'est que l'on a vraiment l'impression que vous pensez que TOUS les Français sont comme vous.
On ne fait pas couler un navire sous pretexte qu'une partie des passagers sont à la cale.
... ce à quoi, je te réponds :
Pourquoi, y a-t-il des esclaves à la cale ? Ne serait-ce pas pour le plus grand bonheur de ceux qui profitent de la croisière ?
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Invité
Merci, j'avais remarqué quelque gréve et manifestation de ci de là..victorine83 a écrit : Ribouldingue, es-tu seulement conscient que nous sommes en pleine crise sociale ???
Evidement, je le vois. Mais cette crise se justifie-telle au point d'appeller à l'insurestion ? Pour toi oui. Pour moi non.
victorine83 a écrit : Réveille-toi un peu, mon grand !Pourquoi, y a-t-il des esclaves à la cale ? Ne serait-ce pas pour le plus grand bonheur de ceux qui profitent de la croisière ?
Jamais dit le contraire ? Quoique je nuancerai que certaines parties de la cale sont relativement confortables pour le prix du billet. Comprendre que la précarité, tarte à la crème fourbi par on ne sait qui , s'applique aujourd'hui à tout et n'importe quoi.
Un lycéen :" J'ai peur de l'avenir, c'est ça la précarité".
Et ben alors.... Pauvr'chou.
Et que penser de nos fonctionnaires, nombreux et tellement inefficaces.
Regarder aussi dans cette direction serait opportun. Et que réclame les syndicats : une france de fonctionnaires. On va aller loin .
J'ajouterai pour finir que ceux qui appellent à l'insurrection n'imagine pas les dégats "collateraux" que cela risque de produire, et ce ne sont pas les "nantis" qui morfleront le plus, croyez moi. A l'heure d'internet, de l'immateriel et des "Jet Towns" ceux que généralement vous honnissez ont peu de souci à se faire.
A force de dégainer le mot précarité à toute les sauces, on en vient à oublier ceux qui vivent vraiment dans la souffrance.
Pour en revenir à notre fameux navire, on peut transborder et en changer sans le faire couler.
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victorine83
Un lycéen :" J'ai peur de l'avenir, c'est ça la précarité".
Et ben alors.... Pauvr'chou.
Il est bien là le problème... l'autisme le plus profond agrémenté du plus sincère mépris.
Et pour ta gouverne, il n'y a pas que des lycéens dans les manifestations.
Réveille-toi, Ribouldingue, y'a peut-être une mutinerie qui se prépare contre les pilleurs et les opprimeurs.
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St-Dumortier
Bonjour,
Mais moi je reste sur celui ci.
Je gage qu'il coulera pas et qu'il n' y a que les mecs qui veulent me voir débarquer qui disent cela.
De toute façon, la misère, ça fait pas peur à un gars qui est dedans ....
seulement à ceux qui ont peur d'y tomber ....
Faut comprendre:
pauvre ....on a l'espoir ....
mais riche, on n'a que .... la peur ......
Alors, finalement ... à choisir ..... !!!
...... Je vous en prie faites le !Pour en revenir à notre fameux navire, on peut transborder et en changer sans le faire couler.
Mais moi je reste sur celui ci.
Je gage qu'il coulera pas et qu'il n' y a que les mecs qui veulent me voir débarquer qui disent cela.
De toute façon, la misère, ça fait pas peur à un gars qui est dedans ....
seulement à ceux qui ont peur d'y tomber ....
Faut comprendre:
pauvre ....on a l'espoir ....
mais riche, on n'a que .... la peur ......
Alors, finalement ... à choisir ..... !!!
Le CPE plonge le régime dans la crise
Un communiqué de presse de La Convention pour la 6e République (C6R)
Paris, le 31 mars 2006
Le CPE plonge le régime dans la crise
La presse du matin affirme ce vendredi 31 mars que, suite à la décision du Conseil constitutionnel validant le fameux «contrat première embauche» (CPE), le président de la République va annoncer la promulgation immédiate de la loi sur l’égalité des chances.
Sourd aux appels de toutes les confédérations syndicales de salariés et des organisations étudiantes et lycéennes, de l’ensemble des partis politiques de gauche ainsi que de l’UDF, d’une partie du patronat et de l’UMP, le pouvoir a décidé d’entrer dans une épreuve de force avec une large majorité de l’opinion du pays.
Certes, la démocratie ne peut être le règne du nombre et de la rue.
Mais si la loi sur l’égalité des chances sera bien une loi de la République dès qu’elle sera promulguée, le processus qui aura conduit à son adoption aura été, lui, bien peu républicain.
En effet, il ne suffit pas de proclamer, comme le fait le Premier ministre, que la France a un besoin urgent de réformes. Encore faut-il savoir faire partager à la fois la nécessité et le contenu de la réforme.
Or, dans la course permanente pour la présidence de la République qui est engagée au sommet de l’Etat depuis plusieurs mois, légiférer devient un exercice au service d’intérêts personnels, instrumentalisant des institutions qui permettent la dérive autoritaire.
Le mépris pour la démocratie parlementaire et le dédain pour la démocratie sociale ne sont pas, de la part de Villepin, que le symptôme d’un fort penchant bonapartiste mais, surtout, une nouvelle preuve que les institutions de la 5e République ne contribuent pas à modérer les passions humaines mais à les nourrir.
Le risque qui guettait le régime depuis longtemps se réalise donc aujourd’hui : l’opposition au pouvoir ne pouvant se manifester dans les procédures organisées de la délibération démocratique éclate dans des mouvements spontanés et violents, qui rappelle les émeutes urbaines de l’automne 2005.
Après le 21 avril 2002, après le 29 mai 2005, le 31 mars 2006 devrait être une nouvelle réplique de grande ampleur du séisme qui agite un régime en crise.
Toutes celles et tous ceux qui, à l’instar des militants de la C6R, appellent de leur vœu une modernisation profonde de nos institutions politiques ne peuvent que rejoindre les appels à manifester pacifiquement des syndicats, afin de faire prendre conscience au président de la République qu’il serait temps qu’il quitte enfin ses habits de chef de clan pour revêtir ceux de chef de l’Etat.
Paris, le 31 mars 2006
Le CPE plonge le régime dans la crise
La presse du matin affirme ce vendredi 31 mars que, suite à la décision du Conseil constitutionnel validant le fameux «contrat première embauche» (CPE), le président de la République va annoncer la promulgation immédiate de la loi sur l’égalité des chances.
Sourd aux appels de toutes les confédérations syndicales de salariés et des organisations étudiantes et lycéennes, de l’ensemble des partis politiques de gauche ainsi que de l’UDF, d’une partie du patronat et de l’UMP, le pouvoir a décidé d’entrer dans une épreuve de force avec une large majorité de l’opinion du pays.
Certes, la démocratie ne peut être le règne du nombre et de la rue.
Mais si la loi sur l’égalité des chances sera bien une loi de la République dès qu’elle sera promulguée, le processus qui aura conduit à son adoption aura été, lui, bien peu républicain.
En effet, il ne suffit pas de proclamer, comme le fait le Premier ministre, que la France a un besoin urgent de réformes. Encore faut-il savoir faire partager à la fois la nécessité et le contenu de la réforme.
Or, dans la course permanente pour la présidence de la République qui est engagée au sommet de l’Etat depuis plusieurs mois, légiférer devient un exercice au service d’intérêts personnels, instrumentalisant des institutions qui permettent la dérive autoritaire.
Le mépris pour la démocratie parlementaire et le dédain pour la démocratie sociale ne sont pas, de la part de Villepin, que le symptôme d’un fort penchant bonapartiste mais, surtout, une nouvelle preuve que les institutions de la 5e République ne contribuent pas à modérer les passions humaines mais à les nourrir.
Le risque qui guettait le régime depuis longtemps se réalise donc aujourd’hui : l’opposition au pouvoir ne pouvant se manifester dans les procédures organisées de la délibération démocratique éclate dans des mouvements spontanés et violents, qui rappelle les émeutes urbaines de l’automne 2005.
Après le 21 avril 2002, après le 29 mai 2005, le 31 mars 2006 devrait être une nouvelle réplique de grande ampleur du séisme qui agite un régime en crise.
Toutes celles et tous ceux qui, à l’instar des militants de la C6R, appellent de leur vœu une modernisation profonde de nos institutions politiques ne peuvent que rejoindre les appels à manifester pacifiquement des syndicats, afin de faire prendre conscience au président de la République qu’il serait temps qu’il quitte enfin ses habits de chef de clan pour revêtir ceux de chef de l’Etat.
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Invité
On en reparle dans 6 mois.victorine83 a écrit :Un lycéen :" J'ai peur de l'avenir, c'est ça la précarité".
Et ben alors.... Pauvr'chou.
Il est bien là le problème... l'autisme le plus profond agrémenté du plus sincère mépris.
Et pour ta gouverne, il n'y a pas que des lycéens dans les manifestations.
Réveille-toi, Ribouldingue, y'a peut-être une mutinerie qui se prépare contre les pilleurs et les opprimeurs.
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tristesir
C'est facile de se prononcer pour la précarité lorsqu'on n'y est pas soumis et que l'on croit qu'on n'y sera jamais soumis.Un lycéen :" J'ai peur de l'avenir, c'est ça la précarité".
Et ben alors.... Pauvr'chou.
La précarite tant que c'est pour les autres c'est toujours acceptable et encouragée, belle preuve d'égoisme.
La gauche met en garde contre "un coup de force"
La gauche met en garde contre "un coup de force"
NOUVELOBS.COM | 31.03.06 | 12:59
"Sachant les conditions exceptionnelles de son élection en 2002, Jacques Chirac porterait une grave responsabilité en promulguant la loi", estiment PS, PCF, Verts, PRG, LCR et MRC dans un communiqué.
Gauche, intersyndicale, même combat. Réunies vendredi matin 31 mars à l'Assemblée, onze formations de gauche ont apporté leur soutien aux organisations de jeunes et syndicats en demandant "solennellement" à Jacques Chirac "le retrait du CPE". Promulguer la loi "serait un coup de force inacceptable", ont-elles mis en garde.
"Les organisations et partis politiques de gauche demandent solennellement à Jacques Chirac le retrait du CPE pour engager des négociations avec les syndicats, puis revenir devant le Parlement", stipule la déclaration commune adoptée par l'ensemble de ces formations, dont le PS, le PCF, les Verts, le PRG et la LCR.
"Sachant les conditions exceptionnelles de son élection en 2002, (le président) porterait une grave responsabilité en promulguant la loi" sur l'égalité des chances, poursuit le texte, publié quelques heures avant l'intervention télévisée du chef de l'Etat. "Ce serait un coup de force inacceptable", ajoute la déclaration.
19,9% des voix
Le 21 avril 2002, Jacques Chirac s'était qualifié pour le second tour de l'élection présidentielle avec 19,9% des voix, le plus faible score pour un président de la République sortant, face au candidat du Front national, Jean-Marie Le Pen (16,8%). Au second tour, Jacques Chirac est réélu avec 82,2% des voix, bénéficiant d'un large report des voix de la gauche.
Les formations de gauche constatent que, face à un "puissant mouvement populaire et "au front uni de la jeunesse et des syndicats, le gouvernement continue sa stratégie de confrontation". Son "obstination", ses "déclarations provocatrices à répétition" sont "irresponsables et favorisent un climat délétère", déplorent-elles, accusant la majorité de vouloir "un démantèlement du Code du travail et la disparition du CDI". "L'exécutif fait prévaloir des intérêts particuliers et ses luttes internes sur l'intérêt du pays".
4 avril
Les partis de gauche ont apporté leur soutien à l'intersyndicale (qui regroupe les organisations de jeunes, les cinq confédérations, la FSU et l'UNSA) pour "obtenir le retrait du CPE".
Elles ont appelé à participer à la nouvelle journée de manifestations et de grèves de mardi 4 avril et "à toutes les initiatives qui suivront". De leur côté, des responsables des onze formations doivent se retrouver samedi matin au siège du PCF à Paris pour envisager des actions communes. La LCR et le PCF ont déjà proposé la tenue de meetings unitaires anti-CPE à gauche. (AP)
NOUVELOBS.COM | 31.03.06 | 12:59
"Sachant les conditions exceptionnelles de son élection en 2002, Jacques Chirac porterait une grave responsabilité en promulguant la loi", estiment PS, PCF, Verts, PRG, LCR et MRC dans un communiqué.
Gauche, intersyndicale, même combat. Réunies vendredi matin 31 mars à l'Assemblée, onze formations de gauche ont apporté leur soutien aux organisations de jeunes et syndicats en demandant "solennellement" à Jacques Chirac "le retrait du CPE". Promulguer la loi "serait un coup de force inacceptable", ont-elles mis en garde.
"Les organisations et partis politiques de gauche demandent solennellement à Jacques Chirac le retrait du CPE pour engager des négociations avec les syndicats, puis revenir devant le Parlement", stipule la déclaration commune adoptée par l'ensemble de ces formations, dont le PS, le PCF, les Verts, le PRG et la LCR.
"Sachant les conditions exceptionnelles de son élection en 2002, (le président) porterait une grave responsabilité en promulguant la loi" sur l'égalité des chances, poursuit le texte, publié quelques heures avant l'intervention télévisée du chef de l'Etat. "Ce serait un coup de force inacceptable", ajoute la déclaration.
19,9% des voix
Le 21 avril 2002, Jacques Chirac s'était qualifié pour le second tour de l'élection présidentielle avec 19,9% des voix, le plus faible score pour un président de la République sortant, face au candidat du Front national, Jean-Marie Le Pen (16,8%). Au second tour, Jacques Chirac est réélu avec 82,2% des voix, bénéficiant d'un large report des voix de la gauche.
Les formations de gauche constatent que, face à un "puissant mouvement populaire et "au front uni de la jeunesse et des syndicats, le gouvernement continue sa stratégie de confrontation". Son "obstination", ses "déclarations provocatrices à répétition" sont "irresponsables et favorisent un climat délétère", déplorent-elles, accusant la majorité de vouloir "un démantèlement du Code du travail et la disparition du CDI". "L'exécutif fait prévaloir des intérêts particuliers et ses luttes internes sur l'intérêt du pays".
4 avril
Les partis de gauche ont apporté leur soutien à l'intersyndicale (qui regroupe les organisations de jeunes, les cinq confédérations, la FSU et l'UNSA) pour "obtenir le retrait du CPE".
Elles ont appelé à participer à la nouvelle journée de manifestations et de grèves de mardi 4 avril et "à toutes les initiatives qui suivront". De leur côté, des responsables des onze formations doivent se retrouver samedi matin au siège du PCF à Paris pour envisager des actions communes. La LCR et le PCF ont déjà proposé la tenue de meetings unitaires anti-CPE à gauche. (AP)
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CartagDE
Explique-moi
Ribouldingue, je ne comprends pas, explique moi pourquoi cette loi ne peut être retirée et doit être promulguée dans les 9 jours pour être abrogée ?
J'entends dire depuis des années que les lois n'entrent en application qu'après publication d'un décret, mais que celui-ci peut attendre des mois, voire des années avant d'être publié, s'il l'est jamais.
Alors pourquoi pour le CPE n'y aurait-il que 9 jours pour publier le décret d'application ?
Quant aux provocations de nos "gouvernants", ça pue le coup d'état fachiste ; je ne comprends pas bien la manip mais le résultat visé est aussi clair que les manips autour des élections américaines.
Donc :
"Cherche pro de la stratégie et du billard à 5 bandes pour décoder"
Suggestion : 4 pays européens au moins protestent contre les politiques qu'ils subissent : Allemagne, Belgique, Angleterre et France. On disait aussi il y a quelques temps que ça puait l'Autriche des années 30. Alors coup de force européen en vue ? Je n'ai pas encore assez d'infos pour voir comment.
Ils n'ont pas tort de s'unir au niveau européen, les stagiaires ...
Et si ça continue, je vais y adhérer aussi, à la théorie du complot. Car le même système de provocation$ est mis en place avec l'Iran. Les diplômates font-ils grève, ou ont-ils troqué leurs théories de diplômatie contre la "théorie du primate" ?
Ce qui arrive ici ne serait que simple contamination intellectuelle entre le$ "élite$" de no$ pay$ ?
Sont dingues, ou quoi ? C'est la riche$$e qui rend dingue ?
J'entends dire depuis des années que les lois n'entrent en application qu'après publication d'un décret, mais que celui-ci peut attendre des mois, voire des années avant d'être publié, s'il l'est jamais.
Alors pourquoi pour le CPE n'y aurait-il que 9 jours pour publier le décret d'application ?
Quant aux provocations de nos "gouvernants", ça pue le coup d'état fachiste ; je ne comprends pas bien la manip mais le résultat visé est aussi clair que les manips autour des élections américaines.
Donc :
"Cherche pro de la stratégie et du billard à 5 bandes pour décoder"
Suggestion : 4 pays européens au moins protestent contre les politiques qu'ils subissent : Allemagne, Belgique, Angleterre et France. On disait aussi il y a quelques temps que ça puait l'Autriche des années 30. Alors coup de force européen en vue ? Je n'ai pas encore assez d'infos pour voir comment.
Ils n'ont pas tort de s'unir au niveau européen, les stagiaires ...
Et si ça continue, je vais y adhérer aussi, à la théorie du complot. Car le même système de provocation$ est mis en place avec l'Iran. Les diplômates font-ils grève, ou ont-ils troqué leurs théories de diplômatie contre la "théorie du primate" ?
Ce qui arrive ici ne serait que simple contamination intellectuelle entre le$ "élite$" de no$ pay$ ?
Sont dingues, ou quoi ? C'est la riche$$e qui rend dingue ?
A mon humble avis, Cartago, tu peux laisser Riboul où il est.
Ce mec tord les choses comme ça l'arrange.
Quand on lui parle de retrait du CPE, il se cramponne à la LETTRE de la Constitution (ce qui ne me dérangerait pas s'il n'envoyait pas systématiquement dinguer quiconque lui parle de l'ESPRIT de la Constitution). Par contre il ne se gêne pas pour décréter que Pinpin aurait été contraint à démissionner si le Conseil constitutionnel avait rejeté cette loi ; or ça, ce n'est pas dans les textes.
La géométrie descriptive, je maîtrise à peu près ; par contre je ne peux pas piffer la géométrie variable !
Quant à argumenter en direct avec Riboul, Yves a raison : "c'est infructueux" !
Ce mec tord les choses comme ça l'arrange.
Quand on lui parle de retrait du CPE, il se cramponne à la LETTRE de la Constitution (ce qui ne me dérangerait pas s'il n'envoyait pas systématiquement dinguer quiconque lui parle de l'ESPRIT de la Constitution). Par contre il ne se gêne pas pour décréter que Pinpin aurait été contraint à démissionner si le Conseil constitutionnel avait rejeté cette loi ; or ça, ce n'est pas dans les textes.
La géométrie descriptive, je maîtrise à peu près ; par contre je ne peux pas piffer la géométrie variable !
Quant à argumenter en direct avec Riboul, Yves a raison : "c'est infructueux" !
Surtout que…
La "constitutionnalité" ne fait pas de cette loi une bonne (et juste) loi.
Faut pas tout confondre.
Ce que font régulièrement nos "camarades" de l'UMP qui assimilent la signature de 300.000 CNE à la création de 300.000 nouveaux emplois.
Tous les raccourcis les arrangent.
Mais pas celui qu’ils vont prendre dans la gueule !
Faut pas tout confondre.
Ce que font régulièrement nos "camarades" de l'UMP qui assimilent la signature de 300.000 CNE à la création de 300.000 nouveaux emplois.
Tous les raccourcis les arrangent.
Mais pas celui qu’ils vont prendre dans la gueule !