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Les coûts et dommages collatéraux

Publié : 04 févr. 2006
par chris
euh , superuser !
en fait meme sur le moment , je n ai pas eu de haine pour les responsables , c est paradoxal et difficile a expliquer , lorsque la violence atteint un paroxisme qui s appelle la barbarie , l importance de la situation finit par releguer les sentiments au rang d emotion puerile , la haine en est une !
pour preuve , les morts ne le furent que du au combat , et il euent beaucoup de prisonniers qui furent soignés par les survivantes de ces soeurs !
c est des choses compliquées qui ne se trouve qu au bout de la violence et de la haine , ce qui provoque le gout de la paix apres les guerres et vice versa .
euh l ours , faut que je relise ,!

Les coûts et dommages collatéraux

Publié : 04 févr. 2006
par chris
oui l ours !
ca tombe bien ,j ai longtemps fait de la boxe , donc ca m a fait rire la pierre , bon le punching ball!!
la boxe est un sport tres violent , mais ya pas de haine , ce serait pueril , les choses sont a un autre niveau et debouche plus sur le respect meme .
la confrontation et la competition qui en decoule ne sont pas forcement negative humainement parlant , c est la gestion qui en est faite !

la violence et la soumission à l'autorité

Publié : 04 févr. 2006
par gaia
L’expérience de Milgram
La soumission librement consentie

23 juillet 2002 par
Phyl d’Arian



En 1963, à l’université de Yale, Stanley Milgram organise une des premières expériences de psychologie sociale sur le concept de soumission à l’autorité. Ses conclusions sont édifiantes...Posez vous la question, en qui reconnaissez vous l’autorité ?




Cette expérience historique de psychologie sociale date de 1963 et a été mise en image dans le film " I comme Icare " avec Yves Montand. On peut aussi la retrouver dans le "petit traité de manipulation à l’usage des honnêtes gens" de Beauvois et Joule.

Tout commence par une petite annonce publiée par voie de presse :

" Laboratoire de l’université X recherche volontaires pour participer à une expérience sur la mémoire . Rémunération 50 Francs de l’heure " Lorsqu’un volontaire se présente au laboratoire, on lui explique qu’il tombe bien car un autre volontaire est déjà arrivé juste avant lui . Le laboratoire a justement besoin de deux personnes , une pour jouer le rôle du professeur et l’autre pour jouer le rôle de l’élève. Les deux volontaires font rapidement connaissance en attendant d’être convoqués par Milgram, le psychologue qui organise l’expérience. Celui ci leur explique qu’ils vont participer une expérience destinée à vérifier les effets de la punition sur l’apprentissage et la mémoire. Le rôle du professeur est simple . Il suffit de lire à l’élève une liste de 50 paires de mots du genre : Le ciel gris, Le chien jaune, Le chat vert etc...

L’élève devra mémoriser les associations de mots et ensuite répondre correctement aux questions du professeur. Si le professeur dit " le nuage ", l’élève devra répondre " noir " En cas d’erreur , le professeur devra administrer à l’élève , une punition sous la forme d’une petite décharge électrique. le volatage des décharges augmentant avec le nombre d’erreurs.

Il est procédé à un faux tirage au sort et l’on demande à la personne qui s’est présentée de jouer le rôle du professeur.

En fait , celui qui doit jouer le rôle de l’élève est un complice de Milgram car le but réel de l’expérience est d’étudier la soumission à l’autorité (soumission librement consentie chez Beauvois et Joule) et non les effets de la punition sur la mémoire. On installe donc "l’élève" sur une fausse chaise électrique mais le "professeur" n’en sait rien. Il pense que tout est réel . "L’élève" qui est un acteur spécialement choisi pour son aptitude à faire semblant de recevoir de vraies décharges électriques fait mine de s’inquiéter quand on l’attache sur la chaise et demande si les chocs électriques risquent de lui faire mal. On lui répond que la douleur sera supportable mais que c’est nécessaire pour le bon déroulement de l’expérience et l’on fait passer le professeur derrière un pupitre comportant des curseurs gradués de 25 volts en 25 Volts. Des petits panneaux sont inscrits au dessus des séries de curseurs :" choc léger ", " choc moyen ", " choc violent ", " choc extrêmement violent " , " choc dangereux " , " choc très dangereux " , " mort ! "

Milgram qui représente l’autorité scientifique en blouse blanche demande alors au professeur de commencer la lecture des associations de mots. Une fois que la liste a été mémorisée par l’élève , le professeur commence à poser les questions.

A partir d’un moment , l’élève se trompe obligatoirement car mémoriser 50 associations de mots en une seule lecture est quasiment impossible.

Milgram qui supervise l’expérience demande donc au professeur d’administrer la punition à l’élève, au départ 25 volts mais au fur et à mesure des nombreuses erreurs de l’élève, les décharges qui deviennent de plus en plus fortes commencent à faire crier l’élève de douleur.

Il veut savoir jusqu’où celui qui joue le rôle du professeur va accepter de torturer un inconnu sous prétexte qu’une autorité scientifique lui en donne l’ordre . L’élève va supplier le professeur d’arrêter l’expérience tandis que l’expérimentateur va lui ordonner de continuer . Même lorsque l’élève simulera le coma ! Milgram ordonnera d’assimiler cela à une mauvaise réponse et demandera au professeur de continuer l’expérience.

Le professeur devra faire un choix .. désobéir à l’autorité ou continuer jusqu’à la mort de l’élève. Les résultats sont effrayants ! Sur 40 personnes testées tout niveau social confondu , 67% des professeurs ont étés jusqu’à la mort de l’élève.

Le reste a abandonné l’expérience vers 300 volts quand l’élève simulait le coma !

Aucun d’eux n’a abandonné quand l’élève hurlait de douleur . Bien sur , ce n’est pas de bon cœur qu’ils ont poussés les curseurs jusqu’à la mort simulée de l’élève attaché sur la chaise électrique . Milgram le dit lui même " J’observai un homme d’affaires équilibré et sur de lui entrer dans le laboratoire le sourire aux lèvres . En l’espace de 20 minutes , il était réduit à l’état de loque parcourue de tics, au bord de la crise de nerfs . Il tirait sans cesse sur le lobe de ses oreilles et se tordait les mains. A un moment il posa sa tête sur son poing et murmura "Oh mon dieu , qu’on arrête !" Et pourtant il continua à exécuter toutes les instructions de l’expérience et obéit jusqu’à la fin." Trois semaines plus tard , quand les professeurs était convoqués pour s’expliquer sur leurs comportements sadiques , il rejetaient immanquablement la faute sur l’autorité scientifique .

Ils n’avaient fait qu’obéir aux ordres et rien de plus ! Ils n’avaient rien à se reprocher.

Les coûts et dommages collatéraux

Publié : 04 févr. 2006
par chris
oui , gaia !
pendant la guerre d algerie , zont tester la meme chose avec des appelés mais en live !
comme ils ont eu les memes resultats que dans ton test , ils ont exporter la methode en amerique latine et ont appeller ca l ecole francaise !
au niveau electrique , je sais pas si c etait la meme becane que ton professeur milgram !
je plaisante sur des choses pas marrantes mais la realité depasse souvent la fiction , dans le cas , les experiences scientifiques !

Publié : 04 févr. 2006
par gaia
Il y a une sorte de non respect de l'être humain comme dans certains pays pour lesquels la constitution parle des droits de l'homme. Pas besoin d'être en guerre pour voir des actes inhumains.
Je suis tombée sur cet article :

http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=1125

"Depuis plusieurs années, plus de 23.000 bébés et enfants issus de familles pauvres, essentiellement d’origine noire ou hispanique, ont été retirés à leurs mères malades (souvent droguées et séropositives) pour être placés dans un centre d’accueil de l’assistance publique.

Le but de l’opération est de les faire participer, en tant que cobayes, à un programme d’essais sur des médicaments expérimentaux contre le HIV à des doses plus élevées que la posologie normale. Selon certains témoins, la séropositivité de tous les enfants n’est pas toujours médicalement prouvée. Par ailleurs, puisque les enfants sont soit abandonnés, soit retirés à leurs parents, soit orphelins, les tests sont réalisés sans aucun consentement légal d’un quelconque tuteur. Ou plus précisément, le tuteur légal est dans ce cas le centre d’accueil public..."

http://www.freedommag.org/english/canad ... page12.htm

Les coûts et dommages collatéraux

Publié : 04 févr. 2006
par chris
tiens dans le meme genre , l horreur !
je lis le marianne qui vient de sortir , un article sur le bizness du medical , entre autre le traffic d organes avec une photo d une morgue russe , ou comme a l usine on extrait a la chaine des organes pour la revente a l international , avec les bocaux tout pret a partir .
c est ribouldingue qui voufrait nous faire pleurer avec des creches incendiées , en vla de la vraie violence !

Publié : 04 févr. 2006
par tristesir
Je sais pourquoi riboulbeauf a ete touche par les creches incendiees:
une creche incendiee=parents qui sont obliges de garder leur enfants=parents qui ne travaillent pas pendant plusieurs jours=
baisse de la productivite=argent perdu pour les patrons QED. 8)

Publié : 04 févr. 2006
par tristesir
entre autre le traffic d organes
Rien de nouveau, tu te rappelles le scandale de l hormone de croissance?
ils achetaient des hypophyses dans des pays de l est qui n etaient pas trop regardant sur l origine des cadavres sur lesquels etaient preleves ces glandes.
prix faible à l achat et benefice tres juteux à la revente.
Resultat: plus de 100 personnes deja mortes et ce n est pas fini. Meme chose avec le sang contamine.
Explication fondamentale de ces deux affaires: l argent, l appat du gain.

Les coûts et dommages collatéraux

Publié : 04 févr. 2006
par chris
oui, bien sur , mais c est la photo qui est sympa , une morgue transformée en usine , des bocaux pret pour l expedition avec chacun leur noeuil tout neuf dedans , et le top , certains officiant ont des blouses medicales , mais d autres carrement des tabliers de boucher .
c est la morgue boucherie industrielle , pour les vegetariens la ,c est au dessus de leur force !