soit côté masculin alors qu'ils en profitent
(Maguy)
Merci de ne pas généraliser. Même aux plus noirs moments de solitude, jamais je n'ai même
songé à recourir à une prostituée, parce que :
1) je ne vois pas ce qu'une vidange hâtivement torchée par quelqu'un qui s'en fout et n'y éprouve aucun plaisir pourrait bien m'apporter ; je peux faire ça tout seul, même si c'est bien triste, sans exploiter personne.
2) je considère que la location d'un corps pour de l'argent, c'est encore un viol ;
3) hormis des cas rarissimes et ultra-minoritaires, on ne se prostitue que contraint et forcé par la nécessité de "gagner son pain à la sueur de son front", et que ce soit à la sueur du cul n'y change rien.
Je l'ai souvent dit, et je le répète encore : dès lors qu'on aborde un sujet, n'importe lequel, et qu'on tire le fil jusqu'à la source, on retrouve
toujours la "valeur travail". Et n'importe quel jardinier vous le confirmera : il est non seulement crevant mais aussi absolument inutile de
couper les mauvaises herbes, cela ne fait que les fortifier. Il faut
arracher les racines pour s'en débarrasser. Et la racine de tous les maux, tous, sans aucune exception, c'est la "valeur travail".