Les complotistes avaient encore raison en dénonçant les réseaux pédocriminels dans la politique, le show-business, le ciné, la musique. L'affaire PDD ets tentaculaire. Elle pourrait impliquer Kamala Harris, Trump, di Caprio.... on évoque des disparations d'enfants. Le satanisme a pris le pouvoir.
L'huile pour bébé servait de lubrifiant anal. Puff Daddy était très porté sur les jeunes hommes et les partouzes géantes qui réunissaient des dizaines de participants et participantes. Tout est très bien expliqué par Myriam Palomba au micro de Géopolitique Profonde.
En parlant de lubrifiant, nous avons 3228 milliards d'Euros de dette à ce jour dans le derrière, si je puis m'exprimer ainsi.
Celle-ci vient d'atteindre celle de la Grèce lorsque son économie s'est effondrée.
Je pense en effet que les Français vont avoir besoin de beaucoup de lubrifiant dans les mois et les années à venir… Ça commence à les démanger, à brûler, depuis le temps qu'ils se font encul... sodomiser par leurs "élites" corrompues et soumises aux lobbies anti-français (communautaires, européistes, mondialistes…).
Ambre a écrit : ↑27 sept. 2024
En parlant de lubrifiant, nous avons 3228 milliards d'Euros de dette à ce jour dans le derrière, si je puis m'exprimer ainsi.
Tu penses qu'un stock de mille flacons sera suffisant ou on sera short ?
Les membres de cette secte sont nés bien avant la honte. En tant que membre du "peuple élu" il se moque bien de la désertion de ce que son talmud considère comme des animaux.
Il terminera son oeuvre et la basse-cour onusienne ne bougera pas.
Une Française, Laurence Guillon, résidente française de Russie, que j'ai déjà présentée ici, raconte les premières expériences de l'autorité russe avec la clandestinité étrangère, notamment africaine. C'est elle qui s'exprime dans le texte ci-dessous :
(...) Hier, le service d’immigration m’appelle pour me demander si je serais d’accord pour aller faire l’interprète à Rostov, auprès d’une équipe d’illégaux camerounais qu’on venait d’arrêter. J’ai accepté parce qu’on ne refuse pas dans ces cas-là, c’est le service d’immigration, et en plus, je dois bien me montrer utile à mon pays d’accueil...
On m’a envoyé une voiture, et je me suis retrouvée à Rostov, dans les locaux correspondants, avec beaucoup de dames en uniforme, et une brochette de noirs de diverses origines. J’ai d’abord eu affaire à trois camerounaises. L’une d’elles ne me plaisait pas beaucoup. Elle avait l’air rusé et impudent. Je ne comprenais rien à ce qu’elle racontait, et je sentais qu’elle ne me facilitait pas la vie. Elle était fuyante comme une carpe et voulait appeler son grand frère qui l’avait introduite dans la firme agroalimentaire où ils travaillaient tous, soit avec des visas de tourisme, soit avec des visas étudiants plus ou moins expirés. Elle disait qu’elle n’avait pas renouvelé son visa parce qu’elle était malade. Une autre s’était fait arnaquer, ceux qui l’avaient fait venir avaient annulé son billet de retour et elle était venue travailler pour essayer d’en acheter un autre; donc, être rapatriée par les Russes aurait dû l’arranger, mais tous ses papiers importants, dont son diplôme, se trouvaient à Moscou, à la discrétion des aigrefins qui avaient mis tout ce petit monde au boulot. Je dois dire que les dames de la police se montraient patientes et compatissantes, jamais insultantes ou brusques.
Une fois les procès-verbaux établis, on nous a tous emmenés au tribunal. La « malade » se tordait sur son banc, il lui fallait aller aux toilettes toutes les cinq minutes, mais une fois la séance finie et le verdict prononcé, elle n’a pas voulu y passer avant de prendre le bus qui les acheminerait au centre d’hébergement provisoire, à deux heures de route de là. La policière qui m’accompagnait a fait des prodiges pour qu’on apportât le lendemain à ces filles les affaires qu’elles n’avaient pas prises avec elles, bien qu’on leur eût dit de le faire. Car pour tout le monde, visa expiré et visa inadapté, c’était la déportation obligatoire dans le pays d’origine, après un certain temps passé au centre d’hébergement. Explications plausibles ou pas, compassion ou pas, c’était mathématique.
On m’a ramenée chez moi à neuf heures du soir, et le lendemain, on est venu me chercher à neuf heures du matin. Et je suis revenue à six heures du soir, épuisée. J’ai eu affaire à des hommes, c’était plus simple, mais j'ai eu plus de monde. L’un d’eux nous a expliqué qu’il avait un visa d’étudiant, mais qu’ayant perdu son financement il avait dû arrêter ses études, cependant, on lui avait proposé de l’inscrire à Rostov dans une école de typographie pour le prolonger avant son expiration, mais il s’était retrouvé, pour payer l'avocat et le traducteur qu'on prétendait lui donner, à rammasser des légumes pour la firme scélérate. Lui aussi avait laissé ses papiers importants à Moscou et pleurait en nous disant que s’il ne les récupérait pas, dans son pays, il était mort. La policière au grand coeur a fait encore des prodiges pour récupérer les bagages des garçons, et l’on m’a priée de traduire des tas de choses concernant le transport de ces valises énormes qui ne rentraient pas dans le bus. « Je ne comprends pas comment ils sont faits, me disait la policière. Comment peut-on se séparer de ses papiers quand ils sont importants, et les laisser Dieu sait où ? Et comment peut-on envisager de vivre dans un pays sur des visas périmés ou inadaptés ?
- C’est ce que font les millions de migrants qui nous déferlent dessus... » (En France).
Et en effet, je pense que la plupart de ces illégaux croyait que cela s’arrangerait comme en Europe et qu’il suffisait d’entrer. Bien que certains eussent péché par naïveté, et on aurait bien voulu les aider, mais la loi est inflexible.
A un moment, on m’a amenée dans une salle du tribunal avec un jeune noir comme l’ébène qui ne parlait ni français, ni anglais. Il parlait bambara. Moi pas, ni personne alentour. La police de Rostov en avait ras le bol, c’était la première fois qu’elle était confrontée au problème, d’habitude, elle a des ouzbeks, des tadjiks et des ukrainiens... Et pendant que le juge délibérait je ne sais où avec sa secrétaire dans un bureau sur ce cas difficile, j’ai attendu avec le Malien une heure et demie. Pour les derniers clients, je ne savais plus ce que je disais, je ne comprenais plus rien.
Avant d’avoir vu tout cela, je me disais que les éminences ténébreuses de la globalisation faisaient entrer leurs contingents de gardes noirs pour casser le peuple russe, cela a si bien marché chez nous... Ce n’est certainement pas faux, et cette malveillance trouve un écho idéal dans la cupidité et la bassesse de certains employeurs. Je me disais que ces grandes firmes d’agro alimentaire ne devraient pas exister. Il devrait y avoir partout un réseau d’exploitations agricoles indépendantes de taille moyenne qui emploiraient deux ou trois ouvriers si besoin est, et pas plus, comme dans la ferme de mon beau-père avant le marché commun. Il n’y aurait alors pas de possibilité pour le recrutement en masse, par des salopards d’esclaves exotiques qui ne comprennent rien à ce qui leur arrive.
On m'a bien remerciée, on m'a dit qu'on était prêt à me garder au service d'immigration.
J’ai dû faire un retour remarqué dans le quartier, car on m’a renvoyée chez moi dans une camionnette de police ! (...)
Sources : "Chroniques de Pereslavl" de Laurence Guillon, écrivaine française, résidente de Russie.
Cette chronique résume aussi ce qui se passe en Europe de l'Ouest. On y envoie quantité de gens qui ne parlent pas les langues européennes, qui sont pour la plupart illettrés, analphabètes, voire attardés mentaux, pour semer la confusion et la pagaille dans les administrations des pays d'accueil.
Comme l'écrit la chroniqueuse, à un moment, on n'y comprend plus rien, on se demande pourquoi et comment des personnes à ce point déracinées et incultes se retrouvent dans des situations inextricables : sans papiers, sans argent, sans affaires, à 10.000 kilomètres de chez eux. À croire que des réseaux organisés les dispatchent aux 4 coins de l'Europe pour foutre la merde. C'est bien de cela qu'il s'agit.
Il n'est plus question ici d'immigration mais de trafics d'êtres humains au service de l'idéologie mondialiste et globaliste évoquée dans mon précédent post. Tout cela est très cohérent et bigrement efficace. Car je découvre ici qu'en Russie, malgré un pouvoir plutôt autoritaire, une police omniprésente et UN ÉTAT DE GUERRE, ils sont tout aussi dépasser par les événements que nous.
Et à la fin, après la saignée démographique ukrainienne, tous les mâles blancs slaves tombés au front (par centaines de milliers) seront grand remplacés par les nouveaux arrivants camerounais, maliens, tchadiens… même au fin fond de la Sibérie.
Il y a un parti libéral en Russie qui n'est qu'une extension du globalisme mondial. En d'autres termes, là-bas aussi le ver est dans le fruit.
En France, pour ne parler que de ma petite commune provençale (45 000 habitants environ) je croise de plus en plus d'Africains, déambulant hagards, bras ballants, dans les rues à n'importe quelle heure de la journée. Plus personne dehors la nuit pour vérifier la continuité de leur présence.
A quelques temps de là, en plein centre ville, au moment où je sortais d'un magasin, a déboulé un Africain (alcoolisé ? Drogué ?) hurlant sur la place où nous n'étions plus que 2 : lui et moi. Il ne me restait qu'à l'ignorer au mieux ou à regagner le magasin, au pire.
Je me suis dit, à ce moment, qu'il ne serait décidément pas facile pour une femme solo vieillissante de déambuler paisiblement dans les arcanes d'une civilisation en pleine décomposition.