Page 16 sur 38

Publié : 10 mars 2006
par victorine83
C'était par curiosité... avec moi, ça marche ! :lol: :lol: :lol:

(słownik-wyszukiwarka. Dzięki połączeniu kilku słowników, możemy porównać definicje, wybrać tę najodpowiedniejszą. Oprócz tego, na stronie znajduje się katalog słowników i glosariuszy tematycznych)

Publié : 10 mars 2006
par chris
oui ,victorine !
c'est un probleme de prise en charge des caracteres etranger ,ya une fenetre windows qui s'ouvre a cet effet pour cette fonction !
mais c'est pas du polonais ca plutot ?

c'est le mystere du jour :roll:

Publié : 10 mars 2006
par P.PERRIN
http://katalog.onet.pl/6085,slowniki_francuskie,k.html

Copier-coller sous le texte Dicorama.

Notre internaute doit bien rigoler....

P.PERRIN

Publié : 10 mars 2006
par TTM_FR
Re,

Pour répondre à notre ami YVES, je pense que c'est du hongrois, moi j'ai compris que dalle. Chuis pas hongrois moi! Faut donc demander la traduction française à notre Nicolas. Moi j'ai fait une recherche sur Googgle avec le mot clé 'Sarkosy' et j'ai trouvé ce texte! :P

Aussi, j'ai pas effectivement installé la police hongroise chère à Nicolas sur mon PC!

Publié : 11 mars 2006
par chris
Nicolas Sarkozy s'est comparé vendredi après-midi en Martinique à un "coq djiem", un coq de combat, avant d'anticiper son retour en métropole pour gérer la crise dans les universités.

"Yo di moin moin kayé...coq djiem pa ka kayé. Mi moin epi zot", a lancé en créole le numéro deux du gouvernement.

Une formule qui signifie: "On dit que j'ai eu peur (de venir aux Antilles). Mais les coqs de combat n'ont pas peur. La preuve, c'est que je suis avec vous."

voila ,maintenant vous savez que nicolas n'a pas peur ,il est courageux ......comme un coq !!!!!

c'est vrai qu il a une tronche de volatile :D :D

Publié : 11 mars 2006
par TTM_FR
'Fier comme un coq' disait-on mais avec la grippe aviaire, tout le monde cherche à l'abattre :wink:
Malgré les paroles du ministre, qui sait si au fond de son coeur, il n'est pas si sur que ça. Faut dire que Villepin l'a bcp aidé ces derniers temps. Tout le monde vise Villepin à cause de SON CPE et on oublie notre charmant ministre...
Au 18ème siècle, avoir du coeur voulait dire avoir le courage. Il est certain que Sarko se montre très courageux en allant en terre hostile aux Antilles. Mais est-il revenu sans indemne? L'avenir nous dira! :D

Publié : 11 mars 2006
par chris
euh tres courageux ,je plaisantais :shock:

a mon avis ,il n'y a ete qu'une fois qu'une fois que le terrain ait ete bien negocié avec les forces en presence !!!

lobbying ,promesses electorales ,bizness ,les doms ne vivent que de subventions :roll:

Sarkozy «homme providentiel», EN FINIR AVEC L’IMPOSTURE !

Publié : 13 mars 2006
par Yves
Depuis 4 ans, Nicolas Sarkozy fait la Une des médias. Son don d’ubiquité exaspère. Tour à tour Maire de Neuilly, Président du Conseil général des Hauts-de-Seine, ministre de l’Intérieur, ministre de l’Économie, Président de l’UMP, il est partout, on ne voit que lui et on entend que lui. Pourtant, son bilan d’homme d’état est plus que médiocre. Affirmer le contraire relève de l’imposture et de la manipulation !

Ça y est, on peut l’écrire sans prendre le risque de se tromper : de Villepin s’est mis hors jeu pour la présidentielle. De toutes façons, au poste qu’il occupe, il n’avait pratiquement aucune chance d’échapper à la malédiction qui dézingue le malheureux qui ambitionne de devenir Président de la République immédiatement après avoir été Premier ministre ; une malédiction qui crucifia sur l’autel du suffrage universel Lionel Jospin en 2002 et Édouard Balladur en 1995. En chute libre dans les sondages sur fond de CPE, de Villepin semble donc «out» pour 2007, et sa probable éviction laisse le champ libre à Nicolas Sarkozy, son principal rival à droite.
Mais, comme nous l’avons écrit en septembre 2005, le fratricide duel Sarkozy/de Villepin n’était qu’une mystification savamment mise en scène par la minorité UMP, ses commanditaires patronaux et ses suppôts médiatiques, pour remettre la France au pas au lendemain de la déconfiture du 29 mai. Aujourd’hui, une autre mystification s’apprête à prendre le relais afin de préparer l’opinion publique à l’avènement de Nicolas Sarkozy, «l’homme providentiel» au bilan insignifiant, voire même désastreux sur bien des aspects.

Une carrière électorale bien pépère, bien bourgeoise

Pour dénoncer cette propagande électorale qui, dans les prochains mois, va déferler sur l’opinion publique, il est indispensable de décrypter ce qui a été fait (ou pas) par celui que les médias ont pour fâcheuse propension de présenter comme l’homme de «la rupture» ou encore, l’incarnation d’un renouveau… quelque peu faisandé si on y regarde de plus près. Car ces mêmes médias se gardent bien de faire le bilan d’un homme politique plutôt brillant par son carriérisme et son opportunisme, mais affligeant par la médiocrité de son action et l’insignifiance de ses résultats.
Petit retour en arrière. Si l’actuel ministre de l’Intérieur a embrasser la fonction de Conseiller municipal dès l’âge de 21 ans, il n’a guère pris de risque électoral pendant tout son parcours. En 1983, il est élu maire de Neuilly-sur-Seine, une ville hyper friquée (l’une des plus riches de France, peut-être même la plus riche). Il y «brillera» par la gestion irréprochable de cette municipalité confrontée à aucune difficulté particulière et dotée, au contraire, de recettes financières plus que confortables. Neuilly-sur-Seine, comme sa grande sœur Paris, est une «affaire qui tourne», une vraie rente de situation pour peu qu’on ait quelques notions de gestion municipale.

Sarkozy, l’heureux élu des riches et des nantis

Ici, à Neuilly, pas de taux de chômage à deux chiffres (contrairement à ses consœurs du 93 où le sous emploi peut toucher 20 à 30% de la population active), pas de cités sensibles, pas de ghettos (en dehors de celui des lodens et tailleurs Chanel), peu de délinquance (mise à part la délinquance à col blanc). Neuilly, c’est un peu Monaco, frasques princiers compris et savamment relayés par Paris Match !
En 1985, Sarkozy devient vice-Président du Conseil général des Hauts-de-Seine, le «Pasqua land», département le plus riche de France qui, à lui seul, génère un PIB (produit intérieur brut) supérieur à celui de la Grèce. Par la suite, il en prendra la Présidence qu’il occupe toujours aujourd’hui, car Sarko est aussi un sacré cumulard.
Voilà résumé en quelques lignes le parcours électoral audacieux de cet homme «populaire», qui se veut proche de cette France profonde qu’il croit si bien connaître et qu’il a l’ambition d’incarner. Ça ne s’invente pas !

Le «félon du 92» mise sur le mauvais cheval

Dans le gouvernement dirigé par Édouard Balladur, le banlieusard Sarkozy prend une dimension nationale, tout comme ses erreurs d’appréciation (pour ne pas parler de ses trahisons). Lors de l’élection présidentielle de 1995, il soutient la candidature du Premier ministre de l’époque, «ami de 30 ans» de Jacques Chirac qui, déjouant les pronostics et les sondages, l’emporte finalement. Le nouveau Président de la République lui fera payer cher son soutien à Balladur. Le «félon du 92» connaîtra alors une traversée du désert qui sera de courte durée car l’homme est rusé. Mis à la porte, Sarkozy revient triomphalement par la fenêtre. De ce point de vue, il a de la suite dans les idées et ne s’avoue jamais vaincu : un vrai tempérament de vendeur d’aspirateurs en porte-à-porte. Et un sacré bonimenteur aussi, comme on le constatera plus tard.

Des effets de manche… pour un résultat nul

Ministre du Budget et de l’Économie dans les gouvernements Juppé et Raffarin, Nicolas Sarkozy, avocat de formation, se distingue par ses déclarations tonitruantes et ses engagements non tenus (car souvent intenables de l’aveu même de ses collaborateurs).
Aux postes qu’il occupa à la tête des finances nationales, a-t-il contribué au désendettement de la France ? La réponse est NON (la dette publique a cru de 400 milliards d'euros depuis 1995). Son action a-t-elle favorisé une relance de l’économie et une réduction du chômage ? La réponse est NON. Et quand il a promis aux Français une baisse significative des prix à la consommation (après les dérapages du passage à l’Euro), son engagement a-t-il été suivi d’effets ? La réponse est NON. On a tous encore en mémoire les images du grand Barnum médiatique que Nicolas Sarkozy a organisé à Bercy en convoquant les patrons de la grande distribution et en les sommant de réduire leurs marges, donc leurs prix. Michel Édouard Leclerc en rigole encore, lui qui affirme à grand renfort d’affiches publicitaires vouloir baisser les prix, mais ne pas y être autorisé… par le ministère de l’Économie et des Finances.

Moins d’insécurité routière, la seule réussite de… Chirac !

Passage par le ministère de l’Intérieur où Nicolas Sarkozy s’approprie la seule vraie réussite du quinquennat de Jacques Chirac : la baisse spectaculaire (et salutaire) du nombre de tués et de blessés sur les routes. À ce poste, le ministre de l’Intérieur n’a fait qu’appliquer les directives de son supérieur hiérarchique qui a fait de la lutte contre la délinquance routière un des grands chantiers de sa Présidence. Sarkozy a rattrapé le retard accumulé par la France depuis des décennies, en mettant en œuvre une politique répressive déjà testée ailleurs en Europe depuis des années, notamment en Grande-Bretagne : contrôles accrus, tolérance zéro, radars fixes à gogo. Mais bon, par souci d’objectivité, reconnaissons que Nicolas Sarkozy a mené à bien cette mission qui s’imposait d’évidence. Sur d’autres sujets, les résultats sont beaucoup moins probants.

Référendum et emplois, Sarko passe tout au Kärcher

Avril 2005, Nicolas Sarkozy tout sourire fait la couverture de Paris Match aux côtés de son complice François Hollande, tous deux partisans du «OUI» au référendum du 29 mai. Un mois plus tard, les chefs de file de deux plus importantes formations politiques nationales sont désavoués par 55% des Français (et parmi ceux-ci de nombreux adhérents et sympathisants UMP, ne l’oublions pas). Quel plébiscite !
Juillet 2005, après avoir promis de «nettoyer au Kärcher» la Cité des 4.000 à La Courneuve à la suite du décès de Sidi Ahmed, Nicolas Sarkozy annonce devant des dizaines de caméras présentes que 257 emplois ont été identifiés pour les jeunes de la commune «qui veulent travailler». Dans une lettre adressée avant Noël aux services de l'Etat, le préfet Jean-François Cordet dresse un premier bilan et comptabilise «110 embauches effectives avec un taux encourageant de près de 20% de CDI» (1). Soit 22 embauches fermes. Quel exploit !

Nicolas et Cécilia, la «Loft Story» de l’été 2005

Autre fait d'arme de Sarkozy, sa réconciliation avec Cécilia racontée par un proche du ministre de l’Intérieur, le très «respectable» Patrick Balkany (maire de Levallois-Perret), en Une du Parisien, le mercredi 11 janvier 2006 ! Le lendemain, interrogé sur le sujet lors de ses vœux à la presse, le président de l’UMP confie : «Je ne ferai aucun commentaire sur ma vie privée». Le mardi suivant pourtant, le couple officialise ses retrouvailles au restaurant l'Esplanade, rue Fabert, dans le VII arrondissement de Paris, là même où quelques mois auparavant, Cécilia avait été photographiée par Paris-Match, en compagnie du publicitaire Richard Attias. L'information est reprise par tous les médias : RTL, France-Soir, Le Monde, Le Parisien, Libération, VSD, France-Inter… (2).
Séparé en mai, le couple a étalé sans vergogne ses états d'âme et ses liaisons extraconjugales sur la place publique : Cécilia et son ami en couverture de Match, Nicolas en duo avec une journaliste du Figaro. Aujourd’hui, ils semblent à nouveau réuni… en toute discrétion bien sûr. Nicolas et Cécilia, c’est un peu les Loana et Jean-Édouard de «Loft Story» ; ne manque que la piscine…

Les banlieues flambent et la délinquance explose !

Au registre des «grandes phrases» qu’il aurait été de bon aloi de ne jamais écrire, on relèvera ce passage d’anthologie rédigé en 2004 par un certain Sarkozy Nicolas dans son livre «La République, les religions, l'espérance» : «Que disait-on il y a deux ans quand je suis arrivé au ministère de l'Intérieur ? Il va jouer au superflic. Les banlieues vont s'embraser. Résultat : il n'y a pas eu de révolte et la criminalité a baissé sensiblement». Un an plus tard, au cours de l’année 2005 et pendant des nuits d’émeutes qui ont stupéfié le monde entier, 45.500 voitures sont incendiées (chiffre officiel du ministère de l'Intérieur). Un vrai film catastrophe digne des meilleures productions hollywoodiennes. Sarko, plus fort que son «ami» scientologue Tom Cruise dans la Guerre des Mondes, le dernier Spielberg, qui l’aurait cru ?
En 2002, Nicolas Sarkozy n’annonçait-il pas aussi sa ferme intention d’ «éradiquer ce sport national», en parlant des voitures brûlées le soir du réveillon du nouvel an. Résultat des courses, dans la nuit de la Saint Sylvestre 2005/2006, 442 véhicules sont détruits par les flammes contre 300 et des brouettes en 2004 (record toutes catégories pulvérisé !). Mais si ce grand visionnaire nous impressionne par sa clairvoyance, il étonne encore plus par ses dons d’ubiquité. Ce même soir du 31 décembre 2005, il a trouvé le temps de recevoir Bigard (l’humoriste) à Beauvau, de se montrer devant les photographes au restaurant de Faudel à deux pas des Champs-Élysées, puis chez les pompiers du boulevard Diderot et les policiers d’Évry. (3)
Mais cette hyperactivité médiatique ne masquera pas une réalité beaucoup moins reluisante : quelques jours plus tard, l'Observatoire national de la délinquance révèle que les atteintes volontaires à l'intégrité physique des personnes ont augmenté de 6,6%. Du jamais vu depuis 2002 !

Il veut TOUT le pouvoir et le revendique haut et fort !

Le 13 janvier 2006, la Convention pour la 6e République (C6R), engagée à gauche, commente en ces termes une déclaration du président de l’UMP : «Nicolas Sarkozy, dans un curieux mélange des genres consistant à s'adresser aux journalistes à la fois comme président de l'UMP et comme ministre de l'Intérieur, a consacré une longue partie de son discours à la réforme de nos institutions politiques. (…) La C6R ne peut que s'inquiéter des propositions de M. Sarkozy (…). On voit bien le but recherché par le ministre de l'Intérieur : concentrer tous les pouvoirs une fois élu». Dans le même communiqué, le député Arnaud Montebourg (chef de file du mouvement socialiste Rénover Maintenant et ardent partisan d’une sixième République) s’interroge : «Les projets institutionnels de Monsieur Sarkozy traduisent la dérive autoritaire et dangereuse du personnage. Concentration des pouvoirs, non renforcement des contrepouvoirs. Le régime présidentiel selon l’inspiration sarkozyste est le contraire d’une augmentation de la démocratie dans notre pays.»

Pousse-toi de là que je m'y mette !

Et en effet, le culte de la personnalité de Nicolas Sarkozy s’affiche quotidiennement sur le site internet de l’UMP et dans la lettre d’information que le mouvement adresse par mails à ses adhérents et à ses sympathisants. Extraits : «2006 sera une année d’action, a promis Nicolas Sarkozy lors de ses vœux à la presse, jeudi 12 janvier. (…) Une année d’action pour l’UMP qui continuera à être DEVANT le gouvernement pour en inspirer son action.»
Par cette formule guère diplomatique, Sarkozy se place DEVANT ses collègues du gouvernement (et donc devant son patron : Dominique de Villepin). Un autre que lui à la tête du mouvement aurait certainement tenu des propos moins accaparateurs, du genre : «l'UMP continuera à soutenir le gouvernement et son action». Mais avec Sarkozy, c’est pousse-toi de là que je m'y mette ! C’est moi le chef !

Fillon, un très «clairvoyant» Conseiller politique

Quelques semaines plus tard pourtant, sur la question du CPE, l’UMP met un peu d’eau dans le vin de son arrogance vis-à-vis du Premier ministre. Dans un communiqué daté du 9 mars, François Fillon, Conseiller politique de Nicolas Sarkozy, affiche sa solidarité avec le gouvernement : «Face à tous ceux qui rêvent de ne rien changer en France, l'UMP doit se montrer solidaire du gouvernement dans cette affaire. Le Premier Ministre a choisi de ne pas céder à la rue. Cette décision est légitime au regard du fonctionnement de notre démocratie qui a été trop souvent marqué par une absence de courage politique. Le gouvernement a décidé de maintenir son cap. Cette détermination mérite d'être pleinement soutenue.»
Voilà qui est envoyé de la part du «fin stratège» François Fillon qui fut ministre de l’Emploi pendant la fâcheuse affaire des chômeurs Recalculés de l’Assédic (un scandale qui pesa lourdement sur la débâcle électorale de la droite aux élections régionales de 2004). Ce même Fillon fut ensuite en charge de l’Éducation nationale. Quelques mois après sa nomination, des centaines de milliers de lycéens et leurs enseignants descendaient dans la rue. En conséquence de quoi, ce grand visionnaire fut mis à la porte du gouvernement à l’arrivée de Dominique de Villepin. Avec François Fillon (qui, aujourd'hui, clame sur tous les toits qu’il faut privatiser EDF et la SNCF, rajoutant de l’huile sur le feu d’un climat social délétère), Nicolas Sarkozy est bien conseillé !

L’affaire des passeports, une sarkonnerie de plus

Dernier épisode des avatars sarkoziens (aussi dénommés sarkonneries) : le 8 mars, Le Canard enchaîné évoque en page 3 «le crash de Sarko sur les passeports» ou la mésaventure de notre ministre de l'Intérieur qui a voulu confier coûte que coûte au privé (à la société Oberthur) la fabrication des nouveaux passeports plutôt que de passer par l'Imprimerie nationale. Selon Le Canard, dans cette affaire «Sarko s'est pris mandale sur mandale de la part du Tribunal administratif, du Conseil d'État et du Commissaire du gouvernement». Bilan de cette judicieuse opération : «Des dizaines de milliers de voyageurs pour les États-Unis en rade pendant 6 mois. Des centaines de millions d'euros perdus par les agences de voyages et les compagnies aériennes. Une honte planétaire. Et, pour finir, un… retour à la case départ».

Et le mot de la fin revient aux saltimbanques

Concluons cet article sur une note d’humour (bien que le sujet ne s’y prête vraiment pas) et laissons aux saltimbanques le soin d’habiller Nicolas Sarkozy pour l’hiver prochain (post-électoral, est-il nécessaire de le rappeler ?). Dernièrement, sur Canal+, Guy Bedos appréciait en ces termes l’envergure de notre «sauveur national» : «Il n’a pas l'étoffe d'un homme d'état. Il n’est pas prêt». Chez Ardisson, Lio (la chanteuse) et Alévêque (l'humoriste de chez Ruquier) étaient pour leur part plus sévères en constatant de concert : «Sarko ? C'est pas compliqué, il est mauvais !». Une charge impitoyable que ne goûteront certainement pas les Bigard, Faudel, Clavier, Sardou et Johnny, tous chauds partisans du «petit Napoléon» des Hauts-de-Seine.

Mais nous, APNÉE/Actuchomage, nous partageons et revendiquons ce verdict : «Sarkozy est un mauvais !». Et s’escrimer à le présenter dans un costume d’«homme providentiel» relève purement et simplement de l’imposture et de la manipulation. Ce petit bilan n’en est-il pas un (im)pertinent démenti ?

(1) et (2) Source : Le Nouvel Observateur.

(3) Source : Le Canard enchaîné.

Publié : 13 mars 2006
par TTM_FR
Le moins que l'on puisse dire c'est que Nicolas est très actif pour se vendre. Je pense que si ce monsieur est au chômage, il ne sera jamais rayé pour son inactivisme :P
Aucun problème avec son conseiller à l'ANPE. Mais son projet professionnel actuel peut rentrer dans le cadre du contrat d'insertion RMI jusqu'à 2007 puisqu'il ne va pas dépasser d'un an, mais alors qui est son référent du moment? :P

Publié : 13 mars 2006
par chris
en vla ,un beau cv pour relater la deja courte carriere de notre sarko nuisant :D

d'ailleurs alors que toute cette historique edifiante sur le personnage devrait interroger les electeurs potentiels , il ya aussi une realité plus souterraine dans ce qui concerne l'aspect fils spirituel du gang pasqua !
En 1985, Sarkozy devient vice-Président du Conseil général des Hauts-de-Seine, le «Pasqua land», département le plus riche de France qui, à lui seul, génère un PIB (produit intérieur brut) supérieur à celui de la Grèce. Par la suite, il en prendra la Présidence qu’il occupe toujours aujourd’hui, car Sarko est aussi un sacré cumulard.
situation pepere de maniere officielle et visible mais qui cache bien des turpitudes lorsqu'on sait les tenants et aboutissants du gang des hauts de seine ,turpitudes qui aboutissent souvent en corse d'ailleurs a la rubrique faits d'hiver et en afrique a la rubrique colonie et dictature !!!

mais ,il est probable que les pros sarkos ne s'interesse qu a la devanture de la boutique et ne visites jamais l'arriere boutique !

c'est comme pour les restos ,c'est par la cuisine qu'il faudrait entrer :D

Et les écoles, les crèches, les bus, les gymnases ?

Publié : 13 mars 2006
par Invité
Un bilan très complaisant !

Sur les événements de novembre, votre comptabilité est très approximative.

Le "racaille" de l'imposteur n'a pas mis le feu qu'aux voitures.

Et les écoles, les crèches, les bus (des dépôts entiers), les gymnases, les usines, les entrepots… ?

A combien de dizaines (de centaines) de millions d'euros se monte l'addition ?

La raison du plus fou

Publié : 13 mars 2006
par superuser
Féru de phrases-choc, le ministre de l'Intérieur a déclaré aujourd'hui que l'Ecole, qui était naguère un "lieu protégé, presque sacré", devenait "progressivement un «ring» de la société française"...

Mais qui a commencé à prendre l'école pour un ring ?

"Hier, l'école était un lieu protégé, presque sacré. Aujourd'hui, elle devient progressivement le «ring» de la société française", a dit le ministre en recevant les membres du GIGN qui sont intervenus jeudi pour mettre fin à une prise d'otages dans un lycée de Sablé-sur-Sarthe. (Le preneur d'otages, un enseignant de 33 ans au chômage, s'était rendu sans violence après avoir retenu pendant trois heures - avec une arme factice - 21 élèves et deux surveillants du lycée Colbert-de-Torcy) "Ce n'est pas un simple fait divers parce que l'Education nationale doit être un sanctuaire face aux dérives de notre société", a poursuivi M. Sarkozy. "A Sablé-sur-Sarthe, des adolescents et des familles ont éprouvé dans leur chair cette violence et cette peur qui font parfois douter de l'humanité", a-t-il encore dit !

Il a appelé à une "sévérité exemplaire contre tous ceux qui transgressent les règles". "Prendre en otages des enfants, introduire une arme dans un établissement scolaire, c'est inadmissible, c'est inexcusable (...) Ce qui est important c'est que les coupables éventuels sachent et comprennent que l'Etat ne laissera pas faire", a-t-il dit.

Mais contre la précarité, le chômage et le désespoir, est-ce que l'Etat fait, justement, ce qu'il faut ? Oublie-t-il que l'école est devenu son terrain expérimental favori pour satisfaire avant tout des impératifs économiques, au détriment de l'avenir et du bonheur de notre jeunesse ?

L'enseignant a été envoyé en hôpital psychiatrique et pour Nicolas Sarkozy, cette "évolution terriblement préoccupante" de la violence à l'école justifie "un approfondissement des relations de travail et de coopération entre la communauté éducative et les forces de police et gendarmerie". On va donc envoyer des policiers et des gendarmes "référents", "interlocuteurs des établissements scolaires" qui effectueront des permanences au sein des établissements "en cas de demande des professeurs". Charité bien ordonnée commence par soi-même : Nicolas Sarkozy a mis en place ce nouveau «ring» dans une douzaine de collèges de son propre département, malgré les protestations du corps enseignant.
Il a également prévu, dans son avant-projet de loi sur la prévention de la délinquance, "le dépistage des perturbations du comportement dès la crèche et l'école maternelle" pour éviter la survenue de comportements délinquants à l'adolescence...

Nicolas Sarkozy, qui manque curieusement de psychologie, compte ainsi s'attaquer aux effets et non aux causes (c'est trop lui demander), à travers un discours de "fermeté" qui séduit le plus grand nombre, et il en profite pour vanter les mérites de la politique sécuritaire dont il rêve depuis tout petit... On appelle ça la raison du plus fou.

AFP a écrit :Le Syndicat National des Enseignements de Second degré (Snes-FSU) a annoncé lundi dans un communiqué avoir saisi le tribunal administratif de Versailles contre le protocole départemental des Hauts-de-Seine mettant en place des "policiers référents" dans les collèges.

"Le SNES n'est pas hostile par principe à l'existence de coopérations entre les autorités chargées du maintien de l'ordre et celles chargées de la gestion des collèges, mais ce protocole empiète sur les compétences des collèges, délègue et contractualise illégalement le pouvoir de police", affirme-t-il. Ainsi le SNES souligne que ce protocole, signé le 24 février entre le préfet, le président du conseil général, le directeur de la sécurité publique et l'inspecteur d'académie des Hauts-de-Seine, prévoit que "le policier interviendra dans les collèges, qu'il portera l'uniforme et, peut-on penser, sera armé, qu'il pourra recueillir des plaintes et intervenir auprès des élèves". "Le protocole fait en outre obligation aux autorités des collèges de mettre un local permanent à sa disposition".

"On ne peut accepter un tel dispositif, ses contraintes et ses conséquences sur fonds de développement d'une politique exclusivement sécuritaire", conclut le syndicat.
.../...

Introduire une arme dans un établissement scolaire, c'est inadmissible, c'est inexcusable…, a bien dit Nicolas Sarkozy. Alors pourquoi estime-t-il qu'il faille le faire en introduisant des policiers armés dans les collèges ?

Les seules armes tolérables à l'école sont celles du SAVOIR.
Mais le savoir (et le service public) est l'ennemi de Sarkozy : c'est trop dangereux parce que ça rend les gens intelligents.
Pour gober ses discours, mieux vaut rester cons, pas vrai ?

Publié : 13 mars 2006
par tristesir
A quand <<la levée des couleurs>> et le salut au drapeau aux couleurs de l'ump dans les classes maternelles? :lol:

Publié : 13 mars 2006
par chris
oui ,d'ailleurs ,j'ai suivi tout za avec le plus grand interet et je n'ai pas retrouvé ci haut la declaration qu'il fait sur les interventions du raid ou du gign ou il declare que le temps n'est plus a la negociation mais que l'action predominera dorenavant dans les interventions !!!!

particulierement incroyable et irresponsable puisque c'est tout les principes de la formation de ces unités qui est remis en question !!!

c'est meme l'ethique et la qualité principale demandée lors du concours d'entrée .

c'est vrai que depuis qu'il est a l'interieur ,il ya de plus en plus d'opacité ,sur sa garde rapprochée qui atteint un certain delire pour une democratie moderne !

chirac et villepinte en ont dix fois moins , lui ca ressemble de plus en plus a ...poutine !!!!

quant a la presence d'un policier par etablissement scolaire ,c'est assez etonnant !

je voyais une jeune policiere ,bien jeune et fluette avec un bien gros pistolet a la ceinture ,meme pas en binome avec un collegue ..;et je me disais qu'en banlieue ,on allait bientot disposer d'une armurerie de proximité . :D

Publié : 13 mars 2006
par tristesir
Quand on sait que l education nationale ne peut meme pas assurer la permanence à temps complet d une psychologue et/ou d un medecin scolaire dans chaque etablissement je suis etonné que tout d un coup on se propose de faire entrer un policier dans chaque etablissement.

La police, certains jeunes, la voit de tres pres tous les jours en bas de leur "tours".
En quoi un policier a des competences pour participer à la mission de service publique qu'est l education scolaire des jeunes et des enfants?

Verra t'on des enfants apprendre la lecture à l aide du code pénal sous la surveillance d un policier? :lol: