Macron fait dans le même registre.
Quelle violence. Et comme on peut s'en douter, ça ne marchera évidemment pas pour les pauvres et les précaires...
La confiance amène l'harmonie.
Or, c'est la défiance permanente aujourd'hui, pour beaucoup de choses, dans ce pays.
Et pendant ce temps-là... Corée du Sud, Taïwan et compagnie, eux, ils font avancer leurs pions.
Elles sont où, les mesures de Macron pour créer des emplois, sinon ?
@Yves :
Cela mérite précision : la France ne sera jamais en faillite tant qu'elle pourra emprunter. La Grèce, il me semble que plus personne ne voulait luiNous sommes dans une situation équivalente à la Grèce. Ce qui nous épargne encore est notre poids démographique (en Europe) et notre localisation stratégique. C'est tout. Mais demain, un seul financier comme Soros fait tomber la France. Ça se serait passé comme ça si Le Pen ou Mélenchon avait été élu.
prêter de sous, d'où patatra. L'Italie n'est pas très loin du même sort... sauf si elle trouve à emprunter. La France peut avoir 300% de dettes du moment qu'on lui prête. Et effectivement avec un Mélanchon ou une Marine Le Pen, c'est plus dur. La dette nous impose le centrisme comme centre de gravité pour une ou deux décennies.
Pour information, la dette du Japon est à 249%, et ça roule encore (l'épargnant japonais en achète beaucoup, paraît-il) - La France est à 96,5%.
C'est vrai que la France a toute latitude en matières monétaires et financières. On fait ce qu'on veut. On nationalise la dette de 2.300 milliards et on revient au franc, c'est ça ? Et puis ça n'aura aucune incidence sur le thème débattu ici : les prestations sociales.