L'Emploi et le Chômage en Débats

yves est mis en examen pour avoir pas avoir supprimé le message d'un barjo et de l'autre coté ,notre victorine vient livré un chargeur de 9 mm a la gendarmerie ..mais c'est pas leur probleme

Franchement, ça aurait mérité une caméra cachée.. faut quand-même que je vous décrive la scène.

J'arrive à la gendarmerie où le hall est blindé de jeunes... ça parlait très fort, je comprenais rien de ce qu'il se passait donc je me suis assise tranquillement en attendant qu'on veuille s'intéresser à moi.

Un gendarme entre dans le hall et me demande "C'est pour quoi ?".

Là, je réfléchis un peu car je ne sais comment aborder le sujet puis je lui lâche : "C'est pour vous signaler que mon patron détient illégalement deux armes sur le lieu du travail".

"Vous habitez où"... "A Hyères"... "C'est pas notre secteur, il faut aller au commissariat"... "Je l'ai déjà fait, je leur ai montré le chargeur que j'avais subtilisé à mon patron... mais je suis repartie avec"... "Il faut demander à voir un officier de la police judiciaire"... "Oui, je l'ai déjà fait mais ils s'en foutent... qu'est-ce que je dois faire"... "Retournez au commissariat, nous on peut rien faire"

J'hallucinais et je lui dis : "C'est quand-même incroyable, je signale des armes en circulation et tout le monde s'en fout... y compris la Préfecture et le Procureur de la République... vous savez, j'ai le chargeur sur moi"... "Allez au commissariat".

Je suis donc repartie et je suis allée au commissariat où j'ai fait ma main courante.

Elle est pas belle la vie !!!

Je vous promets que si les armes sont encore au même endroit, je les prends et je retourne à la gendarmerie pour leur dire :

"Je suis armée... je fais quoi ???"

"Je suis armée... je fais quoi ???"

sont capable d'appeler le GIGN pour les defendre ...une femme armée dans la brigade


ouai ,bizarre tout ca ...ou alors sarko a deja donné des directives discretes pour autoriser les armes patronales ,le patronat devant etre a meme de se proteger de toute cette affreuse delinquance des gueux

bon ,pour etre serieux et voyant un peu le probleme dans la mesure ou tu est tombée sur l'abruti ,pardon le planton de service .......il doit y avoir dans cette gendarmerie ,une brigade de recherche que ca s'appelle ,c'est l'equivalent de la repression du grand banditisme chez les autres ......telephone et demande a parler uniquement a un officier because cache de flingues en vue

finalement meme "balance " aujourd'hui ,c'est devenu un vrai metier ..faut avoir les contacts a bon niveau meme chez le client

Bonjour,

Si vraiment ils en veulent pas ... Y'a peut-être un moyen pour qu'ils viennent les chercher chez vous .....

Y'a qu' poster sur actu que vous pourriez (dans une crise dépressive) .....éventuellement être tentée de vous en servir contre l'anpe .....
Normalement dans les douzes heures vous avez la limousine à votre porte .....
Sinon tentez de prendre l'avion pour allez les déposer place beauvau ....
Et si vraiment ils en veulent pas ... essayez de les revendre à votre employeur ....

Mais restez pas avec,
c'est comme ça qu'y a des andouilles qui tuent leurs gosses ....

Accident qu'ils disent !!!.....

comme si acheter une arme c'était un accident ...

On peut signaler ce qu'on veut, à partir du moment où l'autorité a décidé de ne pas s'en occuper.

Victorine, ma petite expérience là-dessus, c'est idem que les histoires de la HALDE ou, dans un autre registre, toutes les plaintes pour non-représentation d'enfant : tant qu'il n'y a pas un cadavre, une blessure invalidante à vie ou au moins une bonne ITT avec des tiers identifiés, personne ne bouge. Et il est indispensable qu'un OPJ ait assisté personnellement à la scène, de préférence avec des preuves qu'il n'aurait pas à rechercher... si tu vois ce que je veux dire.

Voilà la France d'aujourd'hui ! Et pendant ce temps, on fait croire à Lamdba le Citoyen que se défendre quand on est agressé physiquement, ça ne se fait pas...

Le civisme, de nos jours, c'est une vieille lune. Et ceux qui lèvent le doigt pour nous l'enseigner, ce sont des [CENSURE].

Bonjour,

Peut-être .... certainement ...mais ....

Mais alors je choisi quand même d'être un [CENSURE].
Aprés reflexion et, en mon âme et conscience.

Parceque l'alternative ne me plait pas du tout.

Moi itou, l'alternative ne me plaît pas du tout.

Ce qu'il m'importait de pointer, c'est cette pseudo-élite qui nous joue ad nauseam et depuis des décennies la même pièce, intitulée Faites ce que je dis, pas ce que je fais !

Quand la Loi devient instrument de répression du faible et alibi des possédants ou encore instrument du status quo plutôt que de la stabilité... on est proche de l'explosion.

Citation
Quand la Loi devient instrument de répression du faible et alibi des possédants ou encore instrument du status quo

Parce que c'est nouveau?
J'ai une nette impression de pérennité de cette utilisation de la Loi...du plus fort.

Ce matin, je me suis donc rendue à mon travail comme je l'avais décidé.

Mon boss : "Et ben, vous, vous ne manquez pas d'air".

Moi : "Non, vous avez raison... mon arrêt de travail est terminé et je reprends mon poste"

Sur ce, il me dit de partir, qu'il était hors de question que je reste dans l'entreprise.

Je lui ai dit alors de me faire un courrier spécifiant qu'il me demandait de partir mais il n'a pas voulu.

Coup de fil à l'Inspection du travail impossible à joindre donc à la cgt qui m'a demandé de venir.

Re-coup de fil à l'Inspection du Travail et j'ai pu voir, en début d'après-midi, l'inspecteur qui avait fait le contrôle de l'entreprise.

Il a téléphoné à mon boss qui lui a confirmé qu'il s'opposait à ma présence au travail et qu'il me paierait ce qu'il me doit jusqu'à la fin de mon contrat.

Je retourne tout à l'heure à l'entreprise avec un témoin et mon boss a dit à l'inspecteur du travail qu'il me remettrait ce fameux courrier.

Du fait qu'il me paie jusqu'à la fin de mon contrat, suis-je dans le cadre d'une rupture abusive ou non ?

A savoir que mon contrat se termine le 17 octobre.

PS : j'ai eu le temps de vérifier si les armes étaient toujours au même endroit... eh bien... OUI !

victorine83 a écrit :Ce matin, je me suis donc rendue à mon travail comme je l'avais décidé.

Mon boss : "Et ben, vous, vous ne manquez pas d'air".

Moi : "Non, vous avez raison... mon arrêt de travail est terminé et je reprends mon poste"

Bravo Victorine. C'est ça, le vrai courage citoyen et ça mérite la Légion d'Honneur !

Merci, TheCrow, c'est gentil... faut dire que j'avais pris un petit cacheton avant de partir ce qui a fait que j'étais royalement zen.

Ca l'a énervé... je dois partir pour aller lui faire mes adieux, je vous raconterai tout à l'heure.

A+ et merci pour votre soutien.

Putain, tu en as de plus grosses que celles de Nanard!!!

PS : j'ai eu le temps de vérifier si les armes étaient toujours au même endroit... eh bien... OUI !

remarque on va finir par decouvrir qu'il possede une detention d'armes en bonne et due forme

peut etre pour ca que coté commissariat ,zont peut etre simplement verifié que

ce genre de truc ,suffit d'avoir quelques relations et vla

Oui, Mono, ça m'a gonflé cette histoire et j'ai décidé de prendre le taureau par les cornes.

Donc, je suis retournée, en fin d'après-midi, à l'entreprise avec mon témoin où mon boss devait me remettre son courrier.

Surprise ! Enfin pas vraiment à vrai dire... mon boss n'était pas là comme prévu donc je n'ai pas ledit courrier.

Cependant, il y avait l'autre cowboy qui s'occupent des caravanes et j'ai pu lui faire dire ce que mon témoin devait entendre.

Au bureau, il y avait également une autre personne que je pense être une nièce de mon boss qui occupe mon poste.

Mon problème donc... suis-je licenciée de fait puisque mon patron s'oppose à ce que je reprenne mon travail ?

Je pense être dans le cadre d'une rupture abusive de contrat de travail avec non-respect de la procédure de licenciement.

J'aimerais bien porter cette affaire aux Prud'hommes ce qui me permettrait de tout faire ressortir publiquement.

Auriez-vous des conseils à me donner ?

Puis-je déjà rechercher un avocat ?

Il me paraît important d'agir vite étant donné que je ne peux reprendre mon travail alors que je devrais être en poste.

ah decidement comment dans la vie ,les choses se repetent ...a meme cause ,memes effets

bon ,je sais point si ca va t'aider puisque tu a deja du monde autour de toi

mon jeune associé vient de vivre ca ,la meme situation ,plus en poste mais pas licencié

nous ,on a reglé le probleme autrement parce que c'etait la merde noire

donc pour faire simple ,rembauche ailleurs en periode d'essai et basta

parce que le pauvre n'etait plus payé depuis des mois ,trois referé en un an ou la boite trouvait n'importes quel pretexe a chaque fois ...et toujours pas licencié

Je pense être dans le cadre d'une rupture abusive de contrat de travail avec non-respect de la procédure de licenciement.

ben non puisqu'officiellement tu est toujours employée et pas licenciée ...le fait qu'il ne t'accepte pas sur le poste ne change rien

alor s'il ya une procdure particuliere dont je me rappelle plus le nom , mais elle est particulierement inefficace

Mon problème donc... suis-je licenciée de fait puisque mon patron s'oppose à ce que je reprenne mon travail ?

non ..et meme s'il ne regle pas les salaires ,faudra deposer a chaque fois une plainte aux pruds

Du fait qu'il me paie jusqu'à la fin de mon contrat, suis-je dans le cadre d'une rupture abusive ou non ?

A savoir que mon contrat se termine le 17 octobre.

S'il te paie tous tes jours jusqu'à la fin de ton contrat et qu il ne veut pas que tu viennes travailler c'est son probleme si tu as pu faire constater que tu avais été refoulée de ton lieu de travail.

Le problème principal si je comprends bien la situation est de pouvoir recuperer tous les papiers qui sont dûs à la fin de l'execution de tout contrat de travail ?