Re: cas de conscience
Publié : 24 avr. 2015
Bonjour tout le monde,
Bebert : le problème est bien là ... je me sens pas spécialement l'âme d'une balance non plus. Ni l'âme d'un justicier, même s'il est tentant de le croire, à rentrer dans le lard d'un magouilleur qui, de plus, est une sorte de tyran aux accès de colère et de vulgarité infantiles. Dans ce genre de cas d'ailleurs, j'imagine que les purs "justiciers" sont bien rares. Il y a toujours une contrepartie attendue du côté du dénonciateur.
Je ne fais pas exception à la règle, c'est ce que je disais plus haut :
- non seulement agiter le mouchoir au nez mon employeur avec ce truc est ma SEULE monnaie d'échange pour une rupture conventionnelle, sinon ils me riront au nez.
- vient en second le fait que j'ai un peu la sensation de tenir un fieffé connard par les co**lles. C'est l'idée d'une vengeance à peu de frais qui m'animait. Rien de très noble.
libellule : on est bien loin du monde des paradis fiscaux. Et je peux être tenu complice, peut-être, difficile à dire. Quand votre illustre su-supérieur vous envoie chier en vous expliquant, s'agissant d'une taxe, la somme qu'il ENTEND PAYER (le type a l'air de se croire, rien de moins que ça, face à un fournisseur
et pas face à une taxe dont le montant n'a rien de négociable), et que vous repartez avec 52 postillons sur la gueule ... vous savez très bien ce qu'on attend de vous, et que la "consigne" n'a rien de négociable (non plus) (vous commencez à voir de quel genre de bonhomme il s'agit ?). Soit vous vous tirez, soit vous mettez le "Oh là !". Ce que je n'ai pas fait, à l'époque. Certes. 
Pour ce qui est de la manière de procéder, j'y réfléchis encore mais ... l'envie de nuire ne permet pas de partir la tête haute non plus.
Bebert : le problème est bien là ... je me sens pas spécialement l'âme d'une balance non plus. Ni l'âme d'un justicier, même s'il est tentant de le croire, à rentrer dans le lard d'un magouilleur qui, de plus, est une sorte de tyran aux accès de colère et de vulgarité infantiles. Dans ce genre de cas d'ailleurs, j'imagine que les purs "justiciers" sont bien rares. Il y a toujours une contrepartie attendue du côté du dénonciateur.
Je ne fais pas exception à la règle, c'est ce que je disais plus haut :
- non seulement agiter le mouchoir au nez mon employeur avec ce truc est ma SEULE monnaie d'échange pour une rupture conventionnelle, sinon ils me riront au nez.
- vient en second le fait que j'ai un peu la sensation de tenir un fieffé connard par les co**lles. C'est l'idée d'une vengeance à peu de frais qui m'animait. Rien de très noble.
libellule : on est bien loin du monde des paradis fiscaux. Et je peux être tenu complice, peut-être, difficile à dire. Quand votre illustre su-supérieur vous envoie chier en vous expliquant, s'agissant d'une taxe, la somme qu'il ENTEND PAYER (le type a l'air de se croire, rien de moins que ça, face à un fournisseur


Pour ce qui est de la manière de procéder, j'y réfléchis encore mais ... l'envie de nuire ne permet pas de partir la tête haute non plus.