POLE EMPLOI : en route vers l'efficacité

[Mélanie85000]

Finalement le problème ce sont les hommes, ils transforment en merde tout ce qu'ils touchent !

Quand on sera 50 milliards sur les quelques îlots qui resteront, on conclura l'aventure par une grande rave-party atomique, pendant que les riches seront partis coloniser une autre planète.

Perso je ne crois pas qu'on attendra d'être aussi nombreux. Je pense que l'espèce humaine disparaîtra bien avant d'arriver à milliards d'individus.

Perso je ne crois pas qu'on attendra d'être aussi nombreux. Je pense que l'espèce humaine disparaîtra bien avant d'arriver à 50 milliards d'individus

[Mélanie85000]

Finalement le problème ce sont les hommes, ils transforment en merde tout ce qu'ils touchent !

C'est que chaque grande idée est récupérée par les faiseurs de fric.

Non, non c'est pas le fric le problème c'est la nature humaine. Sait-on seulement ce que nous, nous serions devenus si nous étions nés de l'autre coté de la barrière ? Du coté des nantis, de ceux qui possèdent, qui s'en mettent plein les poches ? Aurions-nous été plus vertueux qu'eux ?

[lucbailet]

La réponse est donnée dans le sujet "Rions un peu" au bas de la page 95.
S'ils faisaient payer l'entrée ils ne seraient pas débordés par l'affluence.
Faut que ce soit moi qui apporte la solution efficace au problème... Pas croyab' !

Pas certain...

En ces temps difficiles, il y en a surement beaucoup qui seraient prêts à payer quelques € l'entrée pour voir un recruteur....

[betman2014]

Bonjour,

En 2013, à pôle emploi c'était ingeus, var les mots clés que j'entendais par contre CV, emploi, annonce ...

A+

[bebert]

Finalement le problème ce sont les hommes, ils transforment en merde tout ce qu'ils touchent !

C'est que chaque grande idée est récupérée par les faiseurs de fric.

Non, non c'est pas le fric le problème c'est la nature humaine. Sait-on seulement ce que nous, nous serions devenus si nous étions nés de l'autre coté de la barrière ? Du coté des nantis, de ceux qui possèdent, qui s'en mettent plein les poches ? Aurions-nous été plus vertueux qu'eux ?

Nous sommes nous mêmes en train de courir après du fric... (Nous sommes juste moins doués !) Pas en train de monter une communauté qui nous permettrait de nous en passer. Il ne reste plus qu'à définir à quel niveau le fric cesse d'être un moyen et commence à devenir un but. Pas évident, la notion de besoins de base variant d'un individu à l'autre.

Quand on a ne serait-ce qu'un peu de fric, le monde nous apparait subitement moins injuste et la haine retombe.

[Yves]

Faut relativiser !

En ce moment, je suis plongé dans les Carnets de Guerre de Louis Barthas (14-18), un gros bouquin de 500 pages qui raconte dans le détail les 4 années de galères et de souffrances de ce tonnelier (c'était son job) originaire du sud-ouest de la France.

Ça calme !

J'en suis à 1915. En 10 mois de combats, il a déjà perdu tous ses potes d'enfance, de village et de canton intégrés dans le même Régiment que lui.

J'en recommande la lecture à celles et ceux qui estiment qu'on touche le fond, que c'est sans espoir, que rien ne va… 

Et y'a pas besoin qu'il parle de combats, de bombardements, d'assauts, d'angoisses, de semaines passées sous une pluie battante, dans le froid et la boue, ou en plein soleil, sans abri, sans ombre.

Vous faites le tour de la question en une page quand Barthas explique qu'il est obligé de dormir entre deux cadavres, dont l'un en putréfaction avancée, avec un sac de camphre sous le nez (pour atténuer les mauvaises odeurs), torturé par la soif, la faim, les poux, les puces… et les rats qui ne font pas de distinction entre macchabées et soldats bien vivants… 

Si on peut s'interroger de savoir où on va, il ne faut pas oublier d'où on vient !

[bebert]

As-tu lu "à l'ouest rien de nouveau ?" Même sujet, et moins de pages...