Re: Dumping social du Plombier Polonais : 2 témoignages
Publié : 14 janv. 2014
Je crois que l'on a des idées qui se rapproche mais que l'on a du mal à voir les différentes vue du même objet parce qu'on nous sert de l'idéologie à toute les sauces.
On trouve énormément de définition différente à "capitalisme".
Personnellement, je pense que le capitalisme (mais je me trompe peut-être de terme) est un système économique où chacun est potentiellement un acteur économique car il peut s'approprier un capital (matériel, argent mais aussi savoir). Ce système exploite la nature égoïste des gens en les mettant en concurrence qui permet de créer naturellement un équilibre dynamique qui permet la recherche de productivité (produire plus en travaillant moins), d'économie (produire plus en consommant moins).
Normalement, si les unités sont assez nombreuse, petites et que les règles imposée empêchent les grosses concentrations personne n'a assez de pouvoir pour exploiter les autres.
Si on favorise (ce que fait le système actuelle) les grosses concentrations, ceux qui sont assez gros finissent par imposer leurs volonté et donc se mettent à exploiter les autres.
Comme il n'y a que le temps plein et une quantité de plus en plus faible de travail à cause des gains de productivité, on ne peut avoir le plein emploi donc on a du chômage et la précarité qui va avec.
Cette précarité empêche de capitaliser pour se libérer de cette emprise, mais en plus, cela permet de tenir un discours de croissance donc de consumérisme qui incite à l'endettement que ca soit au niveau des ménages que des états (les fameuses politiques de relance). Et c'est au final cet endettement qui force les gens à trimer plus que ce qu'il serais nécessaire.
Les intérêts de ces dettes viennent effectivement alimenter les poches d'un groupe de personne ayant suffisamment d'argent pour faire la pluie et le beau temps en fonction de leur bon vouloir.
Si ca n'est pas de l'esclavagisme, on en est pas loin mais est-ce la faute de l'idée de "la propriété individuelle des moyens de production" ou plutôt de la faute de l'avarice et la soif de pouvoir de ceux qui font les règles pour leurs profit personnel ?
Bon, j'arrete la parce que ca sent la discussion sans fin.
Ta voiture est un outil qui te permet d’être plus productif que d''aller au travail à pied. On peut pousser le raisonnement très loin sur ce terrain la car tout l'outillage et le materiel que tu peux acheter pour ta cuisine, ton atelier et autre te permet d'auto-produire pour tes propres besoin alors que si tu ne les avait pas, tu devrais confier ceci à un autre venant de l’extérieur.tristesir a écrit : Tu crois que l'anticapitalisme c'est t'interdire d'être propriétaire de ton slip, de ta voiture, de ta maison?![]()
Est-ce une définition ou un amalgame d'idée différente ? Pour moi, ce sont les définitions de l'avarice et de l'oligarchie (il y a peut-être d'autres terme plus approprié). C'est une liste d'effet lié à la nature humaine.tristesir a écrit :Mais la définition est claire. Plus tu possèdes de capital, mobilier, immobilier plus tu as de pouvoirs et plus tu en veux donc tu dois encore accroître ton capital.Tant que l'on aura pas une définition clair de "capitalisme"
On trouve énormément de définition différente à "capitalisme".
Personnellement, je pense que le capitalisme (mais je me trompe peut-être de terme) est un système économique où chacun est potentiellement un acteur économique car il peut s'approprier un capital (matériel, argent mais aussi savoir). Ce système exploite la nature égoïste des gens en les mettant en concurrence qui permet de créer naturellement un équilibre dynamique qui permet la recherche de productivité (produire plus en travaillant moins), d'économie (produire plus en consommant moins).
Normalement, si les unités sont assez nombreuse, petites et que les règles imposée empêchent les grosses concentrations personne n'a assez de pouvoir pour exploiter les autres.
Si on favorise (ce que fait le système actuelle) les grosses concentrations, ceux qui sont assez gros finissent par imposer leurs volonté et donc se mettent à exploiter les autres.
Et c'est justement pour cela que l'on fait tout pour que les gens ne puissent vivre décemment de leur travail en favorisant la concentration, en créant des impôts empêchant la multiplication des acteurs économique ce qui finirait par diminuer leurs pouvoir, en enfonçant dans le crane des gens qu'il n'y a que le salariat et le temps plein qui vaille la peine, et que la réduction du temps de travail n'est qu'une chimèretristesir a écrit : Si tu as un minimum de capital tu échappes à l'exploitation (la confiscation de la plus-value par les propriétaires des moyens de production).
Comme il n'y a que le temps plein et une quantité de plus en plus faible de travail à cause des gains de productivité, on ne peut avoir le plein emploi donc on a du chômage et la précarité qui va avec.
Cette précarité empêche de capitaliser pour se libérer de cette emprise, mais en plus, cela permet de tenir un discours de croissance donc de consumérisme qui incite à l'endettement que ca soit au niveau des ménages que des états (les fameuses politiques de relance). Et c'est au final cet endettement qui force les gens à trimer plus que ce qu'il serais nécessaire.
Les intérêts de ces dettes viennent effectivement alimenter les poches d'un groupe de personne ayant suffisamment d'argent pour faire la pluie et le beau temps en fonction de leur bon vouloir.
Si ca n'est pas de l'esclavagisme, on en est pas loin mais est-ce la faute de l'idée de "la propriété individuelle des moyens de production" ou plutôt de la faute de l'avarice et la soif de pouvoir de ceux qui font les règles pour leurs profit personnel ?
Bon, j'arrete la parce que ca sent la discussion sans fin.