Bienvenu dans le doux monde du SMP!
Publié : 10 juil. 2008
Je ne me permettrai pas de te balancer à la face comme cela a pu être fait il y a quelques temps ici même...que tu n'as aucune raison d'être surpris, outré voire indigné...
Evidemment je compatis un million de fois.
Pour ma part, il me semble qu'avoir précisé avoir des accointances avec certaines associations (sans les nommer) calmait un peu les ardeurs de la jeune recrue, qui, comme son collègue lors de ma réinscritpion à mon retour d'Acadie , me proposait avec chaleur de rejondre le doux sérail anpéen.
Ca s'appelle du prosélytisme et ça en dit super long sur leur joie de vivre à leur taf: "ici on nous fait faire des choses contre notre morale et on réprouve absolument mais comme on pense ne pas avoir le choix, on se persuade que c'est pas si mal en recrutant du personnel qualifié et moral pour approfonfir le déni de notre odieuse responsabilité dans toute cette affaire qui s'apparente à un crime contre l'humanité presque direct car
Couper les vivres à qqun ou lui imposer la pauvreté pérenne...ça s'appelle comment sinon "acte criminel" ?
Je m'interroge sur l'attitude à tenir dans de telles circonstances:
A) Faire le dos rond lors du SMP et rouspéter ici ou ailleurs (comme je suis la première à le faire très régulièrement).
B) Entrer véritablement en résistance et ça commence peut-être par assumer ses appartenances à une asso, un syndicat et leur balancer à la face qu'on va pas continuer à se laisser marcher sur la gueule comme ça?
Le droit est en train de bouger et pas dans le sens du plus de moralité...
Ma très chère amie Flo me rappelait hier que Chomsky considérait que nous étions dans une phase similaire mais pas sembable à ce qui a pu se produire lors de la WW2...à ceci près que la barbarie industrielle se pare, en apparence, d'atours plus "civilisés" et paradoxalement moraux...ya bon le travail douloureux et au moins mort psychique aux récalcitrants avec l'assentiment de la masse bêlante sinon meuglante

Evidemment je compatis un million de fois.
Pour ma part, il me semble qu'avoir précisé avoir des accointances avec certaines associations (sans les nommer) calmait un peu les ardeurs de la jeune recrue, qui, comme son collègue lors de ma réinscritpion à mon retour d'Acadie , me proposait avec chaleur de rejondre le doux sérail anpéen.
Ca s'appelle du prosélytisme et ça en dit super long sur leur joie de vivre à leur taf: "ici on nous fait faire des choses contre notre morale et on réprouve absolument mais comme on pense ne pas avoir le choix, on se persuade que c'est pas si mal en recrutant du personnel qualifié et moral pour approfonfir le déni de notre odieuse responsabilité dans toute cette affaire qui s'apparente à un crime contre l'humanité presque direct car
Couper les vivres à qqun ou lui imposer la pauvreté pérenne...ça s'appelle comment sinon "acte criminel" ?
Je m'interroge sur l'attitude à tenir dans de telles circonstances:
A) Faire le dos rond lors du SMP et rouspéter ici ou ailleurs (comme je suis la première à le faire très régulièrement).
B) Entrer véritablement en résistance et ça commence peut-être par assumer ses appartenances à une asso, un syndicat et leur balancer à la face qu'on va pas continuer à se laisser marcher sur la gueule comme ça?
Le droit est en train de bouger et pas dans le sens du plus de moralité...
Ma très chère amie Flo me rappelait hier que Chomsky considérait que nous étions dans une phase similaire mais pas sembable à ce qui a pu se produire lors de la WW2...à ceci près que la barbarie industrielle se pare, en apparence, d'atours plus "civilisés" et paradoxalement moraux...ya bon le travail douloureux et au moins mort psychique aux récalcitrants avec l'assentiment de la masse bêlante sinon meuglante
