Re: gaz: média menteurs?
Publié : 23 janv. 2013
Pour information, si on n'a pas été incommodé plus longtemps par ce gaz, c'est que le vent nous vient en aide pour le moment pas parce qu'ils ont réglé le problème. 

Je vois pas comment on aurait pu réagir plus vite? Les populations en danger ont été prévenues. Les mesures nécessaires ont été prises.Lundi à 8 heures, lorsque la fuite est découverte à la suite d'une réaction chimique imprévue dans un bac de mercaptan, les équipes de Lubrizol enclenchent un "protocole de situation dégradée" : alarme, mise en sécurité du site, information des pompiers, de la police et de la préfecture et processus d'action.
J'admire tes certitudes.Je vois pas comment on aurait pu réagir plus vite? Les populations en danger ont été prévenues. Les mesures nécessaires ont été prises.
Je veux être en forme quand on prendra le pouvoir dans la rueIl est vrai que, plus que la moyenne, Tristesir est très soucieux de sa santé.
4 heures après la déclaration d'incident.En parallèle, la préfecture de Seine-Maritime procède à des mesures de la qualité de l'air qui concluent à des concentrations en mercaptan inférieures aux normes sanitaires. A 12 heures, un communiqué est alors envoyé aux agences de l'Etat et aux médias locaux indiquant qu'aucun dispositif spécifique n'est nécessaire. Les populations sensibles ne sont pas mises à l'abri.
Deux conférences de presse successives sont par ailleurs organisées par la préfecture à 15 h 30 et 17 heures.
http://www.bastamag.net/article2896.htmlDes émanations d’hydrogène sulfuré – gaz très toxique – sont restées confinées dans les installations prévues à cet effet, précise le quotidien La Croix. Deux camions laboratoires de l’Institut national de l’environnement industriel et des risques (Ineris) ont été envoyés sur le site mardi après-midi – soit 30 heures après l’incident ! – pour mesurer les concentrations de mercaptan dans l’air...
http://lentreprise.lexpress.fr/gestion- ... 38527.htmlSelon un communiqué de la Fédération nationale des ports et docks de la centrale syndicale, "des tests ont eu lieu dans plusieurs ports nord-européens révélant des taux de gaz toxiques importants".
"Sur 1.053 conteneurs testés, 123 contenaient des gaz toxiques", selon la CGT qui ne donne pas de précisions sur cette étude.
Ces gaz sont répandus dans les conteneurs et les cales de navires parfois à des fins de fumigation, pour désinfecter et détruire de potentiels organismes vivants susceptibles d'être nuisibles.
Certains de ces gaz, selon le syndicat, sont des pesticides cancérigènes ou neurotoxiques, interdits par la commission européenne, mais qui continuent d'être utilisés.