Re: Liste des prestations intensives et bons de déplacement.
Publié : 18 mars 2012
Pour répondre à plumette403 :
Pour moi, la valeur travail a trois composantes : la rémunération, la satisfaction, la sérénité.
La rémunération peut prendre diverses formes : argent, biens, reconnaissance.
La satisfaction est personelle, spécifique et particulière. On aime faire au moment où on le fait, ou pas.
La sérénité, c'est la part de rémunération qui est en excédant et qui est mise de coté pour le repos et/ou le temps qu'il faut vivre du dit travail.
Dans la valeur travail c'est la notion de temps qui est primordiale. Non pas dans le sens de "travailler vite" ou de "produire beaucoup", mais plutôt dans le sens de "somme de compétences nécessaires".
Si je fais du pain, je m'emploie au prix d'un boulanger, sans sérénité mais avec satisfaction et rémunération.
Quand bebert prends plaisir à réparer gratuitement la voiture de sa jolie voisine, je considère que son travail est à trés haute valeur ajoutée malgrè l'absence de rémunération.
Si je dois travailler 5 heures au smic pour payer 1 heure d'un réparateur de chaudière, je préfère apprendre à réparer les chaudières.
Le travail c'est du temps loué et le temps ne se ratrappe pas,
il convient de ne pas le louer à perte, sinon c'est un autre qui vit notre vie.
Mais aussi,
... qui nous donnera le bon résultat d'une équation de 3 variables.
Pour répondre à Diety :
Vous avez raison en tout et je me pose les mêmes questions. Ce que je dis c'est ce qui est; pas ce que je souhaite.
Mais par un exemple, on constate que le réglement d'un service de gestion d'autoroute ne permet de recueillir la nuit dans son véhicule de service 3 enfants en perdition.
Que faut-il en penser ?
Selon TF1, il faudrait penser que bien faire son travail est primordial.
Moi je pense que je n'aimerais pas devoir réfléchir à la valeur de mon travail dans des circonstances pareilles.
Ni avoir été l'instrument d'un tel gâchis par subordination déresponsabilisée interposée.
Pour moi, la valeur travail a trois composantes : la rémunération, la satisfaction, la sérénité.
La rémunération peut prendre diverses formes : argent, biens, reconnaissance.
La satisfaction est personelle, spécifique et particulière. On aime faire au moment où on le fait, ou pas.
La sérénité, c'est la part de rémunération qui est en excédant et qui est mise de coté pour le repos et/ou le temps qu'il faut vivre du dit travail.
Dans la valeur travail c'est la notion de temps qui est primordiale. Non pas dans le sens de "travailler vite" ou de "produire beaucoup", mais plutôt dans le sens de "somme de compétences nécessaires".
Si je fais du pain, je m'emploie au prix d'un boulanger, sans sérénité mais avec satisfaction et rémunération.
Quand bebert prends plaisir à réparer gratuitement la voiture de sa jolie voisine, je considère que son travail est à trés haute valeur ajoutée malgrè l'absence de rémunération.
Si je dois travailler 5 heures au smic pour payer 1 heure d'un réparateur de chaudière, je préfère apprendre à réparer les chaudières.
Le travail c'est du temps loué et le temps ne se ratrappe pas,
il convient de ne pas le louer à perte, sinon c'est un autre qui vit notre vie.
Mais aussi,

Pour répondre à Diety :
Vous avez raison en tout et je me pose les mêmes questions. Ce que je dis c'est ce qui est; pas ce que je souhaite.
Cela relève de sa compétence professionnelle mais aussi de sa contrainte hierarchique. Je suppose qu'il préférerais envoyer des offres quui fonctionnent à coup sûr. C'est le réglement qui impose d'envoyer "au mieux".Un conseiller ne décide-t-il pas selon sa subjectivité si une offre d'emploli "correspond" ou pas au DE qu'il a en face de lui ?
Je ne crois pas à la volonté humaine de nuire. Mais c'est comme en matière de chimie, c'est l'interaction entre processus individuellemnt inoffensifs qui crée la nuisance. Ce sont ces nuisances qui doivent êtres débusquées.Actuellement j'ai l'impression que la nuisance est presque le but recherché.
Non je ne crois pas. Il dispose d'une "echelle" de peines qui lui permet de moduler la sévérité de son jugement mais il ne peut pas "interpréter" les faits ou les textes.Est-ce que chaque juge ne rend-il pas son jugement en prenant en compte plusieurs aspects de sa situation et de l'inculpé ? N'a-t-il pas une certaine liberté de "subjectivité" dans l'exercice de sa fontion ?
Normalement oui.Un tel concepte existe-t-il dans la Consitution, ou dans la déclaration des droits de l'homme ?
En Allemagne par exemple, un soldat a le droit de ne pas suivre un ordre si son application est contraire à la loi.
Je ne sais pas s'il y a un concept général qui va dans ce sens (du type, si un réglement est contraire aux Droits de l'Homme, on a le droit (et le devoir ?) de ne pas l'appliquer).
Mais par un exemple, on constate que le réglement d'un service de gestion d'autoroute ne permet de recueillir la nuit dans son véhicule de service 3 enfants en perdition.
Que faut-il en penser ?
Selon TF1, il faudrait penser que bien faire son travail est primordial.
Moi je pense que je n'aimerais pas devoir réfléchir à la valeur de mon travail dans des circonstances pareilles.
Ni avoir été l'instrument d'un tel gâchis par subordination déresponsabilisée interposée.