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Re: Quand barbier se lâche...

Publié : 08 nov. 2011
par maguy
un journaliste nous rappelle des méthodes d'un autre temps,le bouc émissaire,chacun a le droit d'exprimer ces idées,
Je dois rire ou bien pleurer ? :lol: :cry:

Depuis quand ces idées sont les leurs ? Ils se contentent d'enrober et de dégurgiter celles qui leur sont offertes sur plateau afin de ne pas perdre leur taf : :evil:

Re: Quand barbier se lâche...

Publié : 08 nov. 2011
par tristesir
GOUVERNER C'EST PREVOIR !
Gouverner c'est surtout obéir à ceux qui dirigent vraiment la société, c'est à dire ni vous, ni moi, pas plus que votre pharmacien ou votre médecin. :shock:
Les banksters (et ceux qui sont derrière eux) sont en train de nous faire les poches. Bientôt ils feront les poches de nos cadavres si on les laisse faire :twisted:

Re: Quand barbier se lâche...

Publié : 08 nov. 2011
par lucho
ils sont là pour la propagande de sarko et la niche fiscale des journaleux :?: :mrgreen:

Re: Quand barbier se lâche...

Publié : 08 nov. 2011
par Leila
tristesir a écrit :
GOUVERNER C'EST PREVOIR !
Gouverner c'est surtout obéir à ceux qui dirigent vraiment la société, c'est à dire ni vous, ni moi, pas plus que votre pharmacien ou votre médecin. :shock:
Les banksters (et ceux qui sont derrière eux) sont en train de nous faire les poches. Bientôt ils feront les poches de nos cadavres si on les laisse faire :twisted:
Pendant la dernière guerre, les SS faisaient enlever à coups de tenailles, par les prisonniers, les dents en or des fusillés ou des gazés, avant de mettre les cadavres au four.

Re: le cas Beytout

Publié : 08 nov. 2011
par superuser
Ce matin, pour voir, j'ai voulu regarder le "C dans l'air" d'hier sur la rigueur, avec Jean-Claude Mailly :

http://www.france5.fr/c-dans-l-air/poli ... ueur-34446

J'ai tenu un quart d'heure. :mrgreen:

Contre toute attente, ce n'est pas Christophe Barbier qui m'a le plus agacée mais Nicolas Beytout, "journaliste et éditorialiste économique sur RTL". Avec sa tronche de petit bourge premier de la classe, il nous a régurgité la chanson de Tina (There Is No Alternative) chère à Maggie Thatcher de la plus belle façon, et en face de ce super-chantre de la pensée unique, Jean-Claude Mailly ne pouvait pas rivaliser. J'ai donc aussitôt fermé mon onglet.

Je ne regarde plus "C dans l'air" depuis un moment pour épargner mes petits nerfs et là, une fois de plus, j'aurais du m'abstenir.

Re: Quand barbier se lâche...

Publié : 08 nov. 2011
par lucho
j'ai regardé hier soir, c'est vrai le beytout une tete à claques, MAILLY pas assez rentre dedans, il doit mettre plus de conviction :oops:

Re: Quand barbier se lâche...

Publié : 08 nov. 2011
par superuser
Mailly n'est pas un économiste. S'il veut se bonifier, il devrait se faire payer une formation par FO... :twisted:

Il faudrait des Généreux ou des Lordon pour mettre le nez des Beytout et Cie dans leur pisse.

Beytout : la chute

Publié : 09 nov. 2011
par superuser
Après avoir été déchu du poste de PDG, Nicolas Beytout n'est plus l'éditorialiste des Échos :

http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-p ... 102_52.php
Henri Gibier, le directeur de la rédaction des Échos, cède aux revendications de la rédaction et annonce que Nicolas Beytout ne signera plus dans les colonnes du titre, pas plus qu'il ne pourra se revendiquer des Échos lors de ses interventions dans les médias. La rédaction estimait que le parti pris trop favorable à Nicolas Sarkozy des interventions de Beytout était incompatible avec l'indépendance revendiquée du journal.
On apprend aussi que ce "super éditorialiste" n'a même plus de carte de journaliste !!! :lol:

Voilà qui me ravit... :D

Alain Duhamel et les cas sociaux

Publié : 11 nov. 2011
par ben68
Extrait:" Descendre dans la rue pour manifester= être un cas social"

Bravo mosieur :shock:

http://www.youtube.com/watch?v=IrPwbbpPKTw


Image
Alain Duhamel, né le 31 mai 1940 à Caen, est un journaliste politique et essayiste français. Il est le frère de Jean-François Duhamel, pédiatre et universitaire, et de Patrice Duhamel, ancien directeur général de France Télévisions.

Re: Alain Duhamel et les cas sociaux

Publié : 11 nov. 2011
par Leila
Faire un lapsus aussi révélateur de sa pensée, Alain Duhamel quel brio! :?

A côté de ça, j'adore "le petit journal" qui a le don de dénicher les travers des personnalités :wink:

Re: Alain Duhamel et les cas sociaux

Publié : 11 nov. 2011
par nanard
Moi, j'ai bien aimé lorsqu'il déclare ne pas vouloir se mettre en charentaise pour regarder la télévision.... pour voir et entendre des conneries sans doute. Il préfère les raconter lui-même.

Re: Alain Duhamel et les cas sociaux

Publié : 12 nov. 2011
par tristesir
Il est le frère de Jean-François Duhamel, pédiatre et universitaire
Dommage que son frère ne soit pas gérontologue, cela lui donnerait une raison pour le voir plus souvent :D

Ne pas travailler c'est rester en charentaises devant sa TV à regarder de vieux album de photos. Bel exemple de désinformation qu'on nous distille l'air de rien tout le temps :shock:

Les cumulards de l'information

Publié : 02 déc. 2011
par superuser
Vous les lisez dans la presse, vous les voyez à la télé, vous les entendez à la radio. Ils sont une quinzaine de journalistes politiques à avoir le don d'ubiquité et à donner leur avis sur tout. Nous nous sommes amusés à les recenser...

Voir infographie et décryptage :

http://www.telerama.fr/divers/infograph ... ,75679.php

prenez un journal de gauche et faites-en un journal de droit

Publié : 12 déc. 2011
par stm_artin
Cette vieille recette (il y a des exemples dans la France des années 30) s'avère redoutablement efficace pour faire entrer les bonnes idées dans le crane d'une population, surtout quand celle ci est peu politisée.
Il suffit pour cela d'acquérir un journal à la réputation de gauche ayant porté des valeurs de gauche et combattu les valeurs de droites. Puis vous vous efforcez de garder une image de gauche sur un champ politiquement inertes (homosexualité, racisme, droit des femmes... Non que ce ne soit important mais ce n'est pas l'essence du clivage gauche/droite et ce ne sont pas des sujet qui débouchent sur des décision impactant la répartition des richesses, le droit du travail). En revanche, sur les sujets qui font la différence, les politiques de droite sont légitimées.
Il en résulte dans l'esprit du public que ces politiques sont les seules possibles puisqu'elles font consensus entre des journaux supposés opposés.

Le Nouvel Observateur est aujourd'hui l'exemple meme de ce genre de procédé. Il suffit de regarder le contenu de ce journal et d'écouter les interventions d'un Claude Weill (par exemple) sur le plateau de LCP dans une émission hebdomadaire. On y entend ce dernier défendre la loi sur l'autonomie des universités, il se montre peu critique sur les politiques néolibérales, soutien les politiques d'austérité dans l'orthodoxie néolibérale la plus pure. Jamais on ne l'entendra faire l'analyse approfondie des causes qui nous ont mené à l'endettement des états et à la destruction des acquis sociaux. Pour celui ci comme pour ses collègues de la presse d'extreme droite (figaro), c'est une crise de la dette et non du modèle de développement économique. On l'entend parfois critiquouiller Sarkozy mais essentiellement sur la forme plutot que sur le fond. Visiblement dire que l'UMP mene une politique pour l'intérêt exclusif de plus fortuné est de la démagogie. Il lui arrive, rarement, les jours de pleine lune certainement, de parler de redistribution des richesses et de taxation du capital (souvent à l'occasion d'un gros crash banquaire...).

Re: prenez un journal de gauche et faites-en un journal de droit

Publié : 12 déc. 2011
par superuser
Selon que l’on soit de gauche ou de droite, pour la plupart des médias, la rigueur est toujours salutaire...

Ainsi, dès le 30 juillet 2011, Marianne fait état d’une «note qui plaide pour la rigueur» au sein du Parti socialiste (PS). Produit par le think tank proche du PS Terra Nova, ce rapport est très critique à l’égard de la politique conduite par Nicolas Sarkozy, mais ne s’en distingue guère par ses conclusions… que l’hebdomadaire reprend à son compte : «Il faudra donc affecter toutes les recettes nouvelles à la réduction des déficits et accepter le calendrier européen, quitte à financer les priorités de la gauche par des économies dans d’autres secteurs.» Un mois plus tard, dans Challenges (1er septembre 2011), c’est Jacques Attali qui explique sur quatre pages tout le bien qu’il pense de la rigueur : «Il ne faut donc pas se battre sur les mots : une politique de rigueur (je préfère nommer de désendettement) est nécessaire.» On avait compris...

Pour Serge July, dans Les Inrockuptibles (16 novembre 2011), cela ne fait pas de doute : il faut une rigueur «de gauche». Il développe : «La rigueur de gauche sera-t-elle plus rigoureuse et plus européenne que la rigueur de droite ? Dans le contexte exceptionnel de cette campagne, c’est à la fois un risque et une chance.» Même son de cloche dans Libération, 6 décembre 2011 : «À l’heure où la récession se profile, il ne suffit pas de rassurer les marchés, il faut aussi rassurer les peuples, explique Vincent Giret. Ce pourrait être à la gauche d’inventer les conditions d’une relance crédible, tournée vers l’avenir. Une relance indispensable qui ne se ferait pas contre la rigueur mais avec elle.» Une rigueur de gauche, en somme.

Lire la suite => http://www.acrimed.org/article3729.html