Publié : 20 sept. 2006
Je n'ai jamais été embauché par une DRH, alors qu'aujourd'hui la majorité des embauches se font pas leur canal.
Cela dit, le débat n'est pas là : il ne faut pas confondre le cas de celui qui démarre dans sa vie professionnelle par celui qui a 40, 45 ou 50 ans.
Je me souviens qu'à 38 ans dans les études statistiques que faisaient circuler la DRH de la "boite" américaine dans laquelle je travaillais on faisait partie des vieux dès 39 ans, j'en ai 50 ans, et je me sens - contrairement à la pensée ambiante - beaucoup moins vieux et encore plein de possibilités pour l'avenir.
Cependant, j'ai tellement croisé de gens qui, bien avant mon âge d'aujourd'hui, rêvaient à la retraite car ils avaient beaucoup plus de mal que moi à résister au stress et aux changements inhérents à l'évolution du temps et aux fusions que je peux comprendre aussi la réticence des recruteurs à convoquer un "vieux" pour un entretien d'embauche.
Il ne faut pas oublier que dans les entreprises on mets la pression aux cadres sur les résultats et que l'on préfère éviter d'avoir à recruter des collaborateurs dont on devrait se séparer entre la date d'embauche et la fin de la période d'essai, surtout si le responsable hiérarchique du futur embauché n'a pas son mot à dire pendant le processus de sélection des candidats.
Il ne faut pas non plus omettre du profil intellectuel et psychologique du candidat, qui est rapproché de celui des collaborateurs de l'entreprise, ce que certains appellent "avoir le genre de la maison".
Enfin, un senior ne doit jamais oublié que son embauche se fera plus sur son parcours professionnel que sur les études qu'il a poursuivies dans sa jeunesse.
C'est ainsi qu'avec l'avancement de l'âge les diplômes obtenus avant l'entrée dans la vie professionnelle perdent de leur valeur.
Cela dit, le débat n'est pas là : il ne faut pas confondre le cas de celui qui démarre dans sa vie professionnelle par celui qui a 40, 45 ou 50 ans.
Je me souviens qu'à 38 ans dans les études statistiques que faisaient circuler la DRH de la "boite" américaine dans laquelle je travaillais on faisait partie des vieux dès 39 ans, j'en ai 50 ans, et je me sens - contrairement à la pensée ambiante - beaucoup moins vieux et encore plein de possibilités pour l'avenir.
Cependant, j'ai tellement croisé de gens qui, bien avant mon âge d'aujourd'hui, rêvaient à la retraite car ils avaient beaucoup plus de mal que moi à résister au stress et aux changements inhérents à l'évolution du temps et aux fusions que je peux comprendre aussi la réticence des recruteurs à convoquer un "vieux" pour un entretien d'embauche.
Il ne faut pas oublier que dans les entreprises on mets la pression aux cadres sur les résultats et que l'on préfère éviter d'avoir à recruter des collaborateurs dont on devrait se séparer entre la date d'embauche et la fin de la période d'essai, surtout si le responsable hiérarchique du futur embauché n'a pas son mot à dire pendant le processus de sélection des candidats.
Il ne faut pas non plus omettre du profil intellectuel et psychologique du candidat, qui est rapproché de celui des collaborateurs de l'entreprise, ce que certains appellent "avoir le genre de la maison".
Enfin, un senior ne doit jamais oublié que son embauche se fera plus sur son parcours professionnel que sur les études qu'il a poursuivies dans sa jeunesse.
C'est ainsi qu'avec l'avancement de l'âge les diplômes obtenus avant l'entrée dans la vie professionnelle perdent de leur valeur.