Des nouvelles des Tati Barbès
Publié : 23 déc. 2010
Hier, une fois virée sur mon compte ma prime de Noël et fêtes obligent, je suis allée faire quelques emplettes dans ce haut lieu parisien "bien connu des pauvres et des radins"… 
J'ai discuté avec la caissière qui a encaissé mes modestes achats, lui demandant des nouvelles de leur mouvement.
Ils ont renoncé à poursuivre. La direction reste sourde, et le bras de fer est impossible car les journées de grève non payées pèsent trop lourd sur leurs salaires de misère.
C'était bien triste.

J'ai discuté avec la caissière qui a encaissé mes modestes achats, lui demandant des nouvelles de leur mouvement.
Ils ont renoncé à poursuivre. La direction reste sourde, et le bras de fer est impossible car les journées de grève non payées pèsent trop lourd sur leurs salaires de misère.
C'était bien triste.