Publié : 18 juil. 2006
Bonjour Carole,
Je suis d'accord avec pas mal d'idées qui ont été émises ici. Déjà, avec Internet, on ne s'ennuie pas. J'y passe beaucoup de temps pour m'informer, envoyer des e-mails, m'occuper de mon blog. Et pour surfer sur les sites d'emplois, ce qui prend déjà un bon moment chaque jour.
Je prends aussi du temps pour lire la presse version papier. Si bien que je ne regarde la télé que le soir. Il m'arrive aussi de regarder de temps en temps un DVD.
J'espère que tu retrouveras un emploi très bientôt. Les premiers mois sont assez déstabilisants: on a à la fois l'impression d'être en vacances et de l'autre côté, on se sent exclus du monde des "vivants" car on pense - à ce moment - que l'on existe que par le travail. Le temps passant, on se rend compte que l'on existe d'abord pour soi-même, nos qualités, nos combats, notre richesse intérieure.
Comme l'écrit justement Monolecte, il faut aussi gérer les moments de déprime, surtout quand on se prend des rateaux en série ou que les centaines de candidatures, spontanées ou non, ne débouchent sur rien de concret.
Je suis d'accord avec pas mal d'idées qui ont été émises ici. Déjà, avec Internet, on ne s'ennuie pas. J'y passe beaucoup de temps pour m'informer, envoyer des e-mails, m'occuper de mon blog. Et pour surfer sur les sites d'emplois, ce qui prend déjà un bon moment chaque jour.
Je prends aussi du temps pour lire la presse version papier. Si bien que je ne regarde la télé que le soir. Il m'arrive aussi de regarder de temps en temps un DVD.
J'espère que tu retrouveras un emploi très bientôt. Les premiers mois sont assez déstabilisants: on a à la fois l'impression d'être en vacances et de l'autre côté, on se sent exclus du monde des "vivants" car on pense - à ce moment - que l'on existe que par le travail. Le temps passant, on se rend compte que l'on existe d'abord pour soi-même, nos qualités, nos combats, notre richesse intérieure.
Comme l'écrit justement Monolecte, il faut aussi gérer les moments de déprime, surtout quand on se prend des rateaux en série ou que les centaines de candidatures, spontanées ou non, ne débouchent sur rien de concret.