Publié : 29 juin 2006
Monolecte a raison:
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Il faut avoir une idée réaliste de "sa valeur" sur le marché du travail.
Lors des entretiens, énoncer ses qualités, compétences et aptitudes en lien avec le poste proposé (déclaratif) puis trouver un exemple concret pour argumenter (démontratif).
Si vous avez des compétences rares sur le marché, vous pouvez demander un salaire "ferme".
Sinon il est préférable de laisser la porte de la négociation ouverte. Si l'entreprise vous propose moins car elle doute de vos performances immédiates, il est toujours possible de proposer une prime d'objectifs (quantitatifs et/ou qualitatifs) ou bien d'accepter le salaire proposé pendant la période d'essai en précisant qu'à l'issue, il faudra que l'entreprise s'aligne sur vos exigences si elle veut vous garder.
Le plus difficile est d'être [/b]réaliste
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"La règle est simple : il faut toujours négocier son salaire au taquet lors de l'entretien d'embauche, le seul moment où, finalement, on est en position de force, parce que nous sommes offreurs et qu'ils sont demanderus de compétences.
Il faut avoir une idée réaliste de "sa valeur" sur le marché du travail.
Lors des entretiens, énoncer ses qualités, compétences et aptitudes en lien avec le poste proposé (déclaratif) puis trouver un exemple concret pour argumenter (démontratif).
Si vous avez des compétences rares sur le marché, vous pouvez demander un salaire "ferme".
Sinon il est préférable de laisser la porte de la négociation ouverte. Si l'entreprise vous propose moins car elle doute de vos performances immédiates, il est toujours possible de proposer une prime d'objectifs (quantitatifs et/ou qualitatifs) ou bien d'accepter le salaire proposé pendant la période d'essai en précisant qu'à l'issue, il faudra que l'entreprise s'aligne sur vos exigences si elle veut vous garder.
Le plus difficile est d'être [/b]réaliste