L'Emploi et le Chômage en Débats

Je comprend très bien votre colère mais seulement precisé les directives comme ont me la demandé. Jamais je n'ai dit etre d'accord avec au contraire. J'ai seulement preciser les communiquer comme souhaité. Je souhaitais juste prendre contact avec vous pour constater qu'en france en tout cas elles ne sont pas applicables, car cela n'arrangerais en rien la situation.
je vois que vous etes tous très mefiant a mon sujet, et cela m'embete car ce n'etait pas mon but
de vous très soupsonneux. Et non je n'ai pas parcouru le reste du site je me dis qu'en vous joingnant directement ca sera plus facile. Je m'excuse si les directives vous ont choquées mais c'est le gouvernement et non moi. Je cherche seulement a comprendre votre ppint de vu dessus il ne s'agit en rien de mes idées au contraire les problemes du chomage je connais ce n'est parce que je suis jeune et etudiante que je ne connais rien des problemes sociaux qu'inflige l'etat aux personnes.

Je vois qu'il manque des mots en me relisant mais ecrire d'un telephonne portable c'est moins pratique.
bonne soirée à vous. Mon but n'est pas de vous mettre en colère, je souhaite juste faire mon mémoire sur les directives enoncées en fonction de votre opinion à leur sujet. Après je me suis peut etre presente ou je m'y suis mal prise pour vous aborder, excuser moi.

Je cherche seulement a comprendre votre ppint de vu dessus il ne s'agit en rien de mes idées au contraire les problemes du chomage je connais ce n'est parce que je suis jeune et etudiante que je ne connais rien des problemes sociaux qu'inflige l'etat aux personnes.

Ce que je ne comprends pas est comment vas-tu illustrer le catalogue de mesures ultra-libérales que tu nous as cité avec la situation réelle des chômeurs en France?

Car, sauf erreur de ma part, à part le guichet unique, le reste a peu d'impact me semble-t-il (même si c'est surement amené à en avoir un dans un futur très proche très probablement)

et je suppose qu'il ne s'agit pas de nous demander ce qu'on en pense uniquement si c'était appliqué.

PS:
Peu d'impact, je m'avance un peu vite. L'ultra-flexibilité de l'emploi a bien un impact réel indéniable.

Bon, je vais essayer de ne effacer mon message cette fois-ci

J'essayais d'attirer l'attention de capucine sur certains de nos topics 'accompagnements du chômeurs" qui attiraient plus d'inimitiés que de solutions. Et la plupart sont des adhérents ont plus de 40, voire 50 ans et se voient infliger des "prestations obligatoires" par des jeunes gens aussi motivés qu'elle, mais malheureusement n'ayant que leurs bonne volonté et leur incompétences notoires à nous opposer.

Si capucine a de la patience, et elle devra en avoir sur son mémoire, en plus de ces topics chez nous, elle devrait parcourir
Collectif RTO regorgeant de témoignages sur le parcours des ex-RMI/RSA et leurs combats homériques contre la CAF
Le site AC!avec plusieurs sites provinciaux et témoignages
Et enfin un site ami http://www.recours-radiation.fr/observa ... le_emploi/ qui relatera pas mal de parcours avortés "grâce" à PE et à leur demande d'aide en formation ou au statut autoentrepreneur.

Vous désirez venir en aide aux autres, Capucine, ça part d'un bon sentiment. Mais franchement qu'est-ce qu'une fraîche diplômée en sociologie peut apporter à un chercheur d'emploi ?
A mon avis pour devenir un conseiller-à-l'emploi utile, il faudrait avoir déjà une expérience longue et multiple du monde du travail ; ça ne s'apprend ni dans les textes, ni sur Internet, ni au cours de reportages ou d'interviews. Ça s'apprend à coup de boulots différents, dans des secteurs différents, à force d'échecs et de satisfactions, à la suite de bonnes périodes et de vaches maigres. Des années, quoi...
J'ai croisé pas mal de petites conseillères pète-sec dans différentes agences de Pôle et chez quelques prestataires.
Même si vous voulez sincèrement être utile, vous n'en aurez pas les moyens (formation, temps, bureau, informatique).

A mon avis pour devenir un conseiller-à-l'emploi utile, il faudrait avoir déjà une expérience longue et multiple du monde du travail

... et du chômage aussi, ça peut aider !


Vous verrez, bientôt on nous étudiera en faculté ...
Alors que s'il y a des études à faire, c'est plutôt en amont qu'il faut les faire. En étudiant les causes, pas les effets.

Vous verrez, bientôt on nous étudiera en faculté ...

Comme rat de laboratoire avec des labyrinthes et le bout de fromage au bout... avant de nous euthanasier

A Yannick

... et du chômage aussi, ça peut aider !

C'était sous-entendu dans les "vaches maigres" !
Pour moi le monde du travail comporte aussi le monde du chômage. Le chômage n'existe que dans un monde où le travail est une injonction de la société.

Comme rat de laboratoire avec des labyrinthes et le bout de fromage au bout... avant de nous euthanasier

On est déjà étudié in vivo dans le genre d'usine où je travaille : celui ou celle qui parle un peu trop, qui râle un peu, qui ne travaille pas à toute vitesse avec l'air de dire "pas de problème, je peux en faire encore plus" on ne lui prolonge pas son contrat ou on ne le reprend jamais (il y a 80% d'intérimaires dans la production et le conditionnement agro-alimentaire, du moins dans les boîtes que je connais). On est observé, et le "fromage au bout", c'est simplement le SMIC + dix centimes + 10% de précarité avec lesquels tu es prié de survivre pendant le délai de carence.

Ce doit être horrible à vivre, dans le froid, la saucisse ou autres cochonneries (du cochon, hein !) à emballer à toute vitesse, où les mains remplacent le cerveau.

Il ne t'arrive pas d'en rêver ou de refaire les mêmes gestes automatiques, façon Charlot dans les Temps Modernes ?

Seulement les premières semaines, pas vraiment en rêve, mais plutôt au moment de m'endormir, je voyais défiler le tapis. Et j'étais incapable de parler d'autre chose (euh...maintenant aussi ? )
J'arrive à me déconnecter complètement de ce boulot maintenant. Ce n'est pas forcément un bien, car ce qui me choquait au début j'y fais moins attention.
Le froid n'est pas un problème, il faut s'habiller chaudement, et l'activité est suffisamment physique pour qu'on n'ait pas froid.
Ce qui est plus à craindre ce sont les maux de dos, d'articulations. Mais heureusement, en intérim on est souvent au chômage, ça repose l'appareil musculo-squelettique.
(Faut pas trop le chanter sur les toits, ils seraient capables de nous prendre en CDI !)

avant de nous euthanasier

et de nous disséquer et faire de nous du savon ou de la graisse animale alimentaire. Soleil vert !

On verra peut-être un jour des messages de publicité comme:
"Sois un bon chômeur patriote: donne ton corps à l'industrie agro-alimentaire, pour nourrir les fiers travailleurs qui font gagner la France"