Personne sur le bord de la route ?
Le compte n’y est pas !
Sarkozy a lui-même fait non-réponse gouvernementale, un scandale pour les chômeurs en fin de droits,
sans rien pour survivre !
Il ne s’agit pas de la prolongation des droits à l’A.S.S. (Allocation de Solidarité Spécifique) mais d’un assistanat de six mois et, sous couvert de la formule démagogique « droits et devoir », la menace de la mise en place d’un travail obligatoire : n’importe quel emploi à n’importe quel prix,
sinon plus rien pour vivre.
Cela ne suffira pas à pacifier le dialogue social avant le prochain et énième sommet du même nom.
Pour les chômeurs et précaires, le compte n’y est pas : en effet, plutôt que de prolonger l’indemnisation par l’assurance chômage des personnes - comme nous l’exigeons, et de modifier les injustes conditions d’accès aux minima sociaux comme l’occasion lui en est donnée, il décide la création d’un nouveau dispositif, temporaire, ne garantissant qu’un revenu de misère.
Sarkozy doit revoir sa copie.
Les salarié(e)s, avec ou sans emploi, doivent ensemble poursuivre la mobilisation pour imposer l’indemnisation de toutes les formes de chômages et de précarités par une allocation personnelle garantissant un revenu en aucun cas inférieur au SMIC mensuel, la continuité des droits sociaux, le libre choix de son emploi et de sa formation.
Pour A.C. ! Paris le 15 avril 2010
Fins de droit, du nouveau
Re: Fins de droit, du nouveau
Re: Fins de droit, du nouveau
Ce soir Vauquiez est venu annoncer "l'excellente nouvelle" au journal de TF1.
En substance il a dit qu'il n'était pas question pour les chômeurs de venir prendre cette aide "fin de droits" sans contrepartie. (formation de reconversion, ...)
Il n'avait pas l'air très à l'aise, surement un petit désordre gastrique.
En substance il a dit qu'il n'était pas question pour les chômeurs de venir prendre cette aide "fin de droits" sans contrepartie. (formation de reconversion, ...)
Il n'avait pas l'air très à l'aise, surement un petit désordre gastrique.
Re: Fins de droit, du nouveau
Le discours de Sarkozy chez Pôle Emploi est particulièrement mensonger.
On nous vante l'exploit extraordinaire que représenterait une inscription en 5 jours.
Comme si un licenciement était un état d'urgence accidentel qu'il faudrait traiter comme un individu en train de se noyer.
Et tout son staff d'acquiesser en oubliant que Pôle Emploi doit être informé dès la période de préavis, parfois, dès qu'est envisagé un plan de licenciement.
Dans le mois qui précède la fin de contrat il est possible d'établir un Pré-PPAE, c'est à dire de préparer les dossiers bien avant la date de début d'indemnisation.
Notre président oubli également que la date d'inscription est trés rarement la date de début d'indemnisation car il existe de nombreux reports d'indemnisation , à commencer par celui de 7 jours incompréssible.
De plus, la première indemnisation intervient à la fin du mois écoulé .
Cette histoire de rapidité de réaction est un "foutage de gueule" sans nom.
On nous vante l'exploit extraordinaire que représenterait une inscription en 5 jours.
Comme si un licenciement était un état d'urgence accidentel qu'il faudrait traiter comme un individu en train de se noyer.
Et tout son staff d'acquiesser en oubliant que Pôle Emploi doit être informé dès la période de préavis, parfois, dès qu'est envisagé un plan de licenciement.
Dans le mois qui précède la fin de contrat il est possible d'établir un Pré-PPAE, c'est à dire de préparer les dossiers bien avant la date de début d'indemnisation.
Notre président oubli également que la date d'inscription est trés rarement la date de début d'indemnisation car il existe de nombreux reports d'indemnisation , à commencer par celui de 7 jours incompréssible.
De plus, la première indemnisation intervient à la fin du mois écoulé .
Cette histoire de rapidité de réaction est un "foutage de gueule" sans nom.
Re: Fins de droit, du nouveau
Quelques précisions... toujours pire et jamais mieux:
http://www.20minutes.fr/article/398202/ ... droits.php
http://www.20minutes.fr/article/398202/ ... droits.php
Re: Fins de droit, du nouveau
Si c'est cela les précisions ! c'est encore du grand n'importe quoi :
On nous annonce depuis des semaines une allocation pour les chômeurs en fin de droit.
Et voilà un dispositif qui consiste à fournir des contrats non refusables mais aux salaires déterminés et non négociables.
Encore faut-il avoir les emplois qui vont avec et savoir si les demandeurs d'emploi ont les qualifications qui conviennent.
Idem avec les formations proposées : "Longues et valorisantes" dit Laurent WAUQUIER. Avec 650 € mensuels, je doute que le rythme puisse être tenu longtemps par un demandeur d'emploi chargé de foyer.
La fameuse (fumeuse) "allocation temporaire" n'en est pas une.
C'est une prime exeptionnelle de retour à l'emploi.
Cette prime sera versée exclusivement aux personnes qui acceptent le premier emploi qui leur sera proposé.
Quel emploi ? proposé par qui ?
On nous annonce depuis des semaines une allocation pour les chômeurs en fin de droit.
Et voilà un dispositif qui consiste à fournir des contrats non refusables mais aux salaires déterminés et non négociables.
Encore faut-il avoir les emplois qui vont avec et savoir si les demandeurs d'emploi ont les qualifications qui conviennent.
Idem avec les formations proposées : "Longues et valorisantes" dit Laurent WAUQUIER. Avec 650 € mensuels, je doute que le rythme puisse être tenu longtemps par un demandeur d'emploi chargé de foyer.
Des contrats aidés ou des formations
«Ce plan mise sur des mesures favorisant le retour à l’emploi», a insisté Laurent Wauquiez, le gouvernement refusant une logique d’assistanat. Près de 170.000 contrats aidés (120.000 dans des associations et des collectivités territoriales et 50.000 dans le privé) d’environ un an seront ainsi proposés aux fins de droits.
Ces contrats seront rémunérés 600 € par mois dans le secteur public et 960 € dans le privé. Autre mesure: la mise en œuvre de 70.000 formations rémunérées. «Celles-ci seront longues et professionnalisantes pour favoriser les reconversions», a précisé Laurent Wauquiez. Outre la prise en charge de ses frais pédagogique, le demandeur d’emploi touchera 650€ par mois.
La fameuse (fumeuse) "allocation temporaire" n'en est pas une.
C'est une prime exeptionnelle de retour à l'emploi.
Cette prime sera versée exclusivement aux personnes qui acceptent le premier emploi qui leur sera proposé.
Quel emploi ? proposé par qui ?
Une allocation temporaire créée
Ces deux premières solutions ne pouvant bénéficier à tous les chômeurs en fin de droits, les partenaires sociaux et le gouvernement ont également décidé de créer une aide exceptionnelle de retour à l’emploi, qui pourrait concerner entre 70.000 et 110.000 personnes.
Qualifiée de «filet de sécurité» par Nicolas Sarkozy, elle atteindra 456€ mensuels et sera limitée à six mois. Le Président a par ailleurs insisté sur le fait qu’elle ne pourrait pas être octroyée aux personnes ayant précédemment refusé une formation rémunérée ou un contrat aidé.
Re: Fins de droit, du nouveau
Ce gouvernement ne sait plus comment faire pour essayer de masquer le désastre du marché de l'emploi.
Historique des Contrats Aidés
Les contrats aidés du Plan de Cohésion Sociale(CIE,CAE,CAV, CI-RMA)
La loi de programmation pour la cohésion sociale du 18 janvier 2005 a fortement remodelé les contrats bénéficiant d’une aide de l’Etat en vue d’améliorer l’insertion professionnelle et sociale des personnes éloignées de l’emploi.
Dans le secteur non marchand le contrat d’avenir (CAV), ouvert prioritairement aux bénéficiaires de minima sociaux, ainsi que le contrat d’accompagnement dans l’emploi (CAE), destiné aux autres demandeurs d’emploi en difficulté, se substituent au contrat emploi solidarité (CES) et au contrat emploi consolidé (CEC).
Dans le secteur marchand, le contrat insertion revenu minimum d’activité (CI-RMA) est ouvert aux bénéficiaires de minima sociaux. Les autres demandeurs d’emploi en difficulté sont orientés vers le nouveau contrat initiative emploi (CIE).
http://www.travail-solidarite.gouv.fr/e ... ,2691.html
Le contrat d’accompagnement dans l’emploi (CAE) est un contrat de travail à durée déterminée, destiné à faciliter l’insertion professionnelle des personnes sans emploi rencontrant des difficultés sociales et professionnelles particulières d’accès à l’emploi.
http://www.travail-solidarite.gouv.fr/i ... l,995.html
Le contrat unique d’insertion - contrat d’accompagnement dans l’emploi (CUI-CAE) constitue la déclinaison, pour le secteur non-marchand, du nouveau « contrat unique d’insertion » (CUI) entré en vigueur le 1er janvier 2010. Il a pour objet de faciliter l’insertion professionnelle des personnes sans emploi rencontrant des difficultés sociales et professionnelles d’accès à l’emploi. Sont présentées dans cette fiche les dispositions propres au CUI-CAE. Les dispositions générales applicables au CUI (convention individuelle, accompagnement des salariés, suspension du contrat, rupture anticipée du contrat, etc.), sous sa forme contrat d’accompagnement dans l’emploi (CUI-CAE) ou, pour le secteur marchand, contrat initiative-emploi (CUI-CIE),
http://www.travail-solidarite.gouv.fr/i ... 10998.html
Et le prochain contrat ? à quoi vat-il servir ?Le contrat unique d'insertion (CUI) est un dispositif qui cherche à faciliter l'insertion professionnelle des personnes en difficulté sur le marché du travail.
http://vosdroits.service-public.fr/F21006.xhtml
Faciliter l'accès du président à un deuxiéme mandat ?
Re: Fins de droit, du nouveau
Toujours pas de précisions fiables.
Les media ressassent en boucle la même langue de bois avec des explications qui ne tiennent pas debout.
Les syndicats semblent se féliciter et cela me laisse à penser qu'il doit y avoir un accord secret dans les milieux autorisés.
Aux derniers recoupements :
L'allocation temporaire serait bien une allocation dans le sens où elle pourrait être versée même s'il n'y a pas d'emploi ou de formation proposé. (Mais ce n'est pas ce que dit le site "20minutes"). En revanche, il faudra accepter le premier emploi/formation proposé.
les personnes concernées seraient :
- les jeunes en fin de droit. et donc, moins de 25 ans sans enfant (sinon ils ont le rsa), sans ressources et ayant travaillé au moin 4 mois dans les 8 derniers mois (temps de travail + durée d'indemnisation minimums).
- les personnes en fin de droits dont les ressources du foyer sont trop élevées pour les critères de l'ASS ou du RSA.
En un sens cette mesure est bonne car nous la demandions depuis longtemps : Elle pourrait corespondre à l'individualisation des droits au sein d'un foyer fiscal.
Cela dit au conditionnel car le "Plan de Rebond pour l'emploi" à une durée de 6 mois et ne doit pas être reconduit.
Le dispositif est prévu pour le 1er juin.
D'ici là, il y aura le temps d'être oublié par les media et de découvrir la réalité dans les textes officiels.
Les media ressassent en boucle la même langue de bois avec des explications qui ne tiennent pas debout.
Les syndicats semblent se féliciter et cela me laisse à penser qu'il doit y avoir un accord secret dans les milieux autorisés.
Aux derniers recoupements :
L'allocation temporaire serait bien une allocation dans le sens où elle pourrait être versée même s'il n'y a pas d'emploi ou de formation proposé. (Mais ce n'est pas ce que dit le site "20minutes"). En revanche, il faudra accepter le premier emploi/formation proposé.
les personnes concernées seraient :
- les jeunes en fin de droit. et donc, moins de 25 ans sans enfant (sinon ils ont le rsa), sans ressources et ayant travaillé au moin 4 mois dans les 8 derniers mois (temps de travail + durée d'indemnisation minimums).
- les personnes en fin de droits dont les ressources du foyer sont trop élevées pour les critères de l'ASS ou du RSA.
En un sens cette mesure est bonne car nous la demandions depuis longtemps : Elle pourrait corespondre à l'individualisation des droits au sein d'un foyer fiscal.
Cela dit au conditionnel car le "Plan de Rebond pour l'emploi" à une durée de 6 mois et ne doit pas être reconduit.
Le dispositif est prévu pour le 1er juin.
D'ici là, il y aura le temps d'être oublié par les media et de découvrir la réalité dans les textes officiels.
Re: Fins de droit, du nouveau
Mon cher Raoul,
n'hésite pas à poster tes pertinents commentaires à la suite de l'article du site qui,
plus que sur le forum, sera consulté par nos lecteurs :
http://www.actuchomage.org/201004151087 ... rkozy.html
Grosses bises !
n'hésite pas à poster tes pertinents commentaires à la suite de l'article du site qui,
plus que sur le forum, sera consulté par nos lecteurs :
http://www.actuchomage.org/201004151087 ... rkozy.html
Grosses bises !
Re: Fins de droit, du nouveau
ou l'art de travailler en dessous du SmicCes contrats seront rémunérés 600 € par mois dans le secteur public et 960 € dans le privé

Re: Fins de droit, du nouveau
Le communiqué de la CGT-Chômeurs :
L’annonce, faite ce jour par Nicolas Sarkozy lors de sa visite aux chômeurs de Gonesse, démontre une fois de plus la faiblesse de ce gouvernement en matière de politique de l’emploi, au vu des largesses et cadeaux prodigués sous différentes formes aux entreprises relevant du MEDEF et du CAC40.
La seule solution proposée est une forme d’aumône gouvernementale pour des raisons de paix sociale à un moment où les Français se sont prononcés par la voix des dernières élections régionales en faveur d’une autre politique à mener en général, et plus particulièrement sur la question de la précarité et de l’emploi.
La proposition du chef de l’état, c’est 456 € à titre exceptionnel avec au bout le chantage et l’obligation de prendre n’importe quelle formation ou un contrat aid é pour ceux qui sortent de l’indemnisation du chômage. Encore un cadeau fait à ceux qui créent le chômage !
Nous savons bien qu’aujourd’hui Pôle emploi ne peut assurer cette mission et, d’ailleurs, ne propose pratiquement plus de formation aux privés d’emploi. C’est aussi une des raisons qui motive la démission du médiateur national de Pôle emploi Benoit Guenuini qui a proposé des solutions constructives et alternatives aux désastres de la politique actuelle des missions de Pôle emploi que Nicolas Sarkozy et François Fillon ont mis en place.
456 € qui ne tiennent pas compte des frais de déplacement, de garde d’enfants, de repas lorsqu’il faudra accepter ces formations ou les emplois proposés.
Quels contrats ? Quelles formations ? Actuellement l’emploi est détruit (exemples récents : Glaxo 500 licenciements, PSA 350, la Caisse d’épargne d’ile de France 650).
Formations, pour quels métiers ? Quels emplois ? Quels diplômes ? Quelles qualifications ? Et pour quels salaires ?
Les contrats aidés sont exonérés de cotisations patronales, ce qui aggrave le déficit de la protection sociale et notamment celui des retraites, ce qui tirent les salaires vers le bas et qui, compte tenu de la faiblesse de leur montant, ne participent pas à la relance de la consommation qui est un des piliers de la croissance.
Même si 456 € c’est quelque chose pour ceux qui n’ont rien, le compte n’y est pas.
La création d’1 million d’emplois véritables (CDI) correctement rémunérés, tenant compte des qualifications et des compétences serait la vraie réponse à apporter.
LE BUREAU NATIONAL CNPE-CGT le 15 mars 2010
Re: Fins de droit, du nouveau
http://www.dailymotion.com/video/xcyu0z ... mploi_newsConférence de presse de Laurent WAUQUIEZ à l'issue de la réunion de travail avec les partenaires sociaux sur la situation des demandeurs d’emploi en fins de droits - Bercy le 15 avril 2010. A l’issue d’une dernière réunion avec les partenaires sociaux, Laurent WAUQIEZ a annoncé jeudi 15 avril un plan pour le retour à l’emploi de 360 000 demandeurs d’emploi qui arrivent en fin de droits en 2010
Où l'on apprend que :
- il est prévu de mettre en place un "processus de détection des situations difficiles pour anticiper le ciblage des parcours et mettre en place des formations destinés aux secteurs des "métiers en tension".
- l'allocation sera versée uniquement si "aucune solution n'est trouvée". (Contrairement à ce que dit la CGT).
Concrètement, cela veut dire qu'une personne en fin de droit qui demande l'"Allocation Exeptionnelle de Retour à l'Emploi" devra d'abord laisser PôleEmploi choisir pour lui une formation ou un contrat aidé (sous couvert du PPAE).
En cas de formation ou d'emploi, l'AERE n'est pas versée bien sûr puisqu'il y a alors une allocation du CNASEA ou un salaire.
Versée sans condition de ressources au sein du foyer, l'AERE est présentée comme une "conception du social" particulière.
Très clairement, ce n'est qu'un moyen d'obliger les demandeurs d'emploi à se soumettre aux propositions de pôleEmploi.
Propositions établies sur les besoins prévisionnels des (improbables) employeurs.
A moins que les CAE ne viennent compenser le déficit d'effectifs dans la fonction publique.
Re: Fins de droit, du nouveau
Cela c'est une erreur :CGT a écrit :456 € qui ne tiennent pas compte des frais de déplacement, de garde d’enfants, de repas lorsqu’il faudra accepter ces formations ou les emplois proposés.
Si emploi il y a, salaire il y a.
Si formation il y a, Défraiement CNASEA il y a.
L' AERE n'est versée qu'à la condition que pôleEmploi n'ait pas trouvé un emploi ou une formation que le demandeur d'emploi ne pourra pas refuser une seule fois.
Comme le code du travail prévoit que l'on peut refuser 2 propositions, cela veut dire que la prime n'est versée qu'aux personnes obéïssantes et travailleuses, soumises et performantes.
Un "Filet de sécurité" ????
Une corde lisse pour les "acrojobs" performants !!!!
Re: Fins de droit, du nouveau
Il y a déjà plus de chômeurs de longue durée que d'emplois aidés proposés et qu'ils ne peuvent en créer.A moins que les CAE ne viennent compenser le déficit d'effectifs dans la fonction publique.
Il va falloir s'inscrire sur une liste d'attente pour obtenir un emploi en contrat aidé?

L'emploi aidé c'est de l'emploi tournant !
Re: Fins de droit, du nouveau
... Sont bien capables d'attacher un chômeur derriere chaque camera de video-surveillance
pour surveiller les stagiaires en "module d'intégration aux métiers de la vidéo-protection" .....
pour surveiller les stagiaires en "module d'intégration aux métiers de la vidéo-protection" .....
