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ne vous battez pas, tout le monde a raison.
Pas de chômage sans l'individu,
et quoi de plus "singulier" que l'individu.
Je connais même un Président en poste qui va se retrouver au chômage (grassement indemnisé, d'accord, mais au chômage quand même).
Vous savez le Président de ....
"République".
En 2007, Vais lui conseiller un métier en tension! et
je lui envoie un flyers d'Actu.
Il n’y a rien de comparable entre un jeune Bac + 4 sans charge de famille et un ex de Moulinex qui se retrouve à 45 ans chômeur avec un niveau d’étude primaire et une famille à charge
Le premier aura des facilités pour suivre une formation poussée et s’adapter à un nouvel environnement professionnel. Il est aussi mobile et pourra s’éloigner d’une région économiquement défavorisée. Le second est lui plombé par son manque d’études et sa situation familiale.
Et quoi qu’en disent certains internautes, c’est bien cette dernière population la plus touchée par l’exclusion et qui compose les bataillons d’érémistes. D’où l’indemnisation avec la dispense de recherche d’emploi que pratiquent certains pays d’Europe du Nord.
Le taux de chômage est de 15,1 % pour les sans diplômes et de 6,1% pour les bacs + 2
12,3 % pour les ouvriers et 4,8 % pour les cadres. (chiffres de l’INSEE pour 2004)
Les pouvoirs publics et notre système éducatif ont une très lourde responsabilité dans l’exclusion. Il y a quelques années, on pouvait lire ceci qui est toujours d'actualité:
« Selon un rapport de l'OCDE, 40,1% des Français de 16 à 65 ans éprouvent de grandes difficultés à lire. Plutôt que d'affronter le problème, les pouvoirs publics préfèrent caviarder ce texte. Et ne plus répondre aux questionnaires internationaux »
".....concernant sept pays et portant sur les capacités d'écriture, de lecture mais aussi de faculté à utiliser les informations - méthode pionnière dite «de littéracie» - avait placé la France avant-dernière, juste devant la Pologne. Avec un taux de grande difficulté de 40,1% chez nos compatriotes de 16 à 65 ans, pour 20,7% aux Etats-Unis, 16,6% au Canada, 14,4% en Allemagne, 10,5% aux Pays-Bas et 7,5% en Suède... Bref, nous portons le bonnet d'âne."
.......Et n'oublions pas les pionniers de l'aventure bio-technologique,
nos braves consomateurs de produits nouveaux.
L'évolution du nombre d'allocataires
de l'AAH est liée aux décisions prises
par les Commissions techniques
d'orientation et de reclassement professionnel
(COTOREP), même si une partie
des accords prononcés par ces commissions
ne se traduit pas toujours par
une attribution de l'allocation, compte
tenu de l'examen des conditions de ressources
effectué par les caisses d'allocations
familiales (encadré 4). Alors que
le nombre d'accords prononcés par les
COTOREP pour un taux d'incapacité
d'au moins 80 % était relativement stable
depuis 1995, oscillant légèrement
au-dessus de 120 000 par an, il a connu
une augmentation sensible en 2004 où
il a atteint environ 138 000 (+ 7,9 %
contre + 2,8 % en 2003) [graphique 3].
Le nombre d'accords prononcés au titre
d'une incapacité comprise entre 50 et
79 % et de la reconnaissance pour la personne
de « l'impossibilité de se procurer
un emploi en raison de son handicap » est
quant à lui toujours en progression régulière
: de 58 000 personnes à 93 000 de
1995 à 2004, la hausse moyenne a été de
5,5 % par an, ce qui correspond également
à l'augmentation observée entre
2003 et 2004. Jusqu'à fin 2003, la part
des bénéficiaires de l'AAH ayant un taux
d'incapacité compris entre 50 et 79 %,
(telle qu'elle est évaluée par la CNAF),
était en progression lente mais régulière.
En hausse d'un point entre la fin 2000 et
la fin 2003, elle se maintient à 29 % fin
2004.
En 2007, Vais lui conseiller un métier en tension! et