Précisez alors, dites patrondes grands groupe ou conseil d'administration des multinationales mais ne dites pas les "patrons". Ca me fait penser au commentaire à la radio lorsque l'on parle des salaires des dirigeant qui ont augmenté ( ils prennent les patrons du CAC40), et ensuite au PMU tu entends des trucs du styles "les patrons s'en foutent plein les poches). C'est faux.
Le gagneur tu écrit Ce sont sont bien les multinationales et le système libérale capitaliste qui exploite, pollue et détruite les peuples et la planète.
Systeme. C'est le systeme, c'est à cause du systeme. Non, ce sont les hommes.
En ce qui concenre la VIeme, oui. Il y a des reformes profondes à faire, au sein de nos institutions aussi.
Ce qu'il faut faire en cas de chômage si votre budget ...
Ce que j'ai décrit ne concerne pas que les entreprises du CAC 40.Anonymous a écrit :Précisez alors, dites patrondes grands groupe ou conseil d'administration des multinationales mais ne dites pas les "patrons". Ca me fait penser au commentaire à la radio lorsque l'on parle des salaires des dirigeant qui ont augmenté ( ils prennent les patrons du CAC40), et ensuite au PMU tu entends des trucs du styles "les patrons s'en foutent plein les poches). C'est faux.
Le gagneur tu écrit Ce sont sont bien les multinationales et le système libérale capitaliste qui exploite, pollue et détruite les peuples et la planète.
Systeme. C'est le systeme, c'est à cause du systeme. Non, ce sont les hommes.
En ce qui concenre la VIeme, oui. Il y a des reformes profondes à faire, au sein de nos institutions aussi.
Pour le reste, appelons un chat un chat, je ne vais jamais au bistro ni au PMU, je puise mes informations dans la presse économique, que je lis chaque semaine depuis une bonne trentaine d'années.
Je n'aime pas ne pas comprendre, et je cherche toujours à savoir.
Et ces gens-là, en majorité des énarques, ont mal fait leur boulot, et ont des comptes à rendre aux français !
Et c'est d'autant plus insupportable qu'ils prennent leurs compatriotes pour des "moins que rien" !!!
Les petits patrons, comme les petits agriculteurs, se font manipuler par les gros. Ils préfèrent s'imaginer dans la même catégorie seigneuriale, c'est flatteur, quitte à ne pas défendre leurs intérêts propres.
Les petits patrons n'ont pas intérêt au chômage.
Avec la situation actuelle, un salarié embauché par erreur fait tout pour garder sa place, ce qui peut être catastrophique pour une petite entreprise.
Les candidats répondent en masse pour des postes les intéressant très moyennement mais qui existent. Et ce ne sont pas les plus motivés qui sont les meilleurs en entretien.
En revanche, les grands patrons ont intérêt au chômage. Ils ont des DRH pour manipuler les salariés et ont les moyens de réduire les inconvénients ci-dessus.
Grâce au chômage, ils peuvent tenir les salaires et faire chanter les autorités en menaçant de licencier. Ils obtiennent toutes les compétences dont ils ont besoin au moindre coût, même si leur organisation est minable pour leurs "collaborateurs".
Ils peuvent ruiner la vie de travailleurs spécialisés dont ils n'ont plus besoin, après avoir exploité leur compétence. Pour préserver l'emploi des autres, ils obtiennent le droit de les licencier et de faire payer par la collectivité leur reconversion (en refusant d'augmenter les horribles "charges", bien sûr).
Ils mettent sciemment à la charge des assurances-chômage des personnes productives de plus de cinquante ans, ce qui permet de réduire les droits des chômeurs et ainsi de mieux contrôler les salaires. Cela permet aussi de remplacer des salariés bénéficiant de contrats et de conditions protectrices par d'autres, plus "flexibles".
Ils mettent à la charge des familles l'essentiel de l'effort des études, sans avoir à stimuler cela par de forts salaires. La perspective de "débouchés" suffit, grâce au chômage.
Le seul hic, c'est que les salaires stagnants font grosso modo une consommation stagnante. Ils comptent sur la Chine et l'Inde, et sur l'impression de richesse de certains avec la hausse de l'immobilier. La dette de l'Etat se transforme aussi en commandes publiques et en salaires de fonctionnaires. Mais tout ça est casse-cou, de plus en plus casse-cou.
Les grands patrons aiment le chômage et la dette publique. C'est dans leur intérêt.
Cela ne veut pas dire qu'ils sont responsables de tout.
Les petits patrons n'ont pas intérêt au chômage.
Avec la situation actuelle, un salarié embauché par erreur fait tout pour garder sa place, ce qui peut être catastrophique pour une petite entreprise.
Les candidats répondent en masse pour des postes les intéressant très moyennement mais qui existent. Et ce ne sont pas les plus motivés qui sont les meilleurs en entretien.
En revanche, les grands patrons ont intérêt au chômage. Ils ont des DRH pour manipuler les salariés et ont les moyens de réduire les inconvénients ci-dessus.
Grâce au chômage, ils peuvent tenir les salaires et faire chanter les autorités en menaçant de licencier. Ils obtiennent toutes les compétences dont ils ont besoin au moindre coût, même si leur organisation est minable pour leurs "collaborateurs".
Ils peuvent ruiner la vie de travailleurs spécialisés dont ils n'ont plus besoin, après avoir exploité leur compétence. Pour préserver l'emploi des autres, ils obtiennent le droit de les licencier et de faire payer par la collectivité leur reconversion (en refusant d'augmenter les horribles "charges", bien sûr).
Ils mettent sciemment à la charge des assurances-chômage des personnes productives de plus de cinquante ans, ce qui permet de réduire les droits des chômeurs et ainsi de mieux contrôler les salaires. Cela permet aussi de remplacer des salariés bénéficiant de contrats et de conditions protectrices par d'autres, plus "flexibles".
Ils mettent à la charge des familles l'essentiel de l'effort des études, sans avoir à stimuler cela par de forts salaires. La perspective de "débouchés" suffit, grâce au chômage.
Le seul hic, c'est que les salaires stagnants font grosso modo une consommation stagnante. Ils comptent sur la Chine et l'Inde, et sur l'impression de richesse de certains avec la hausse de l'immobilier. La dette de l'Etat se transforme aussi en commandes publiques et en salaires de fonctionnaires. Mais tout ça est casse-cou, de plus en plus casse-cou.
Les grands patrons aiment le chômage et la dette publique. C'est dans leur intérêt.
Cela ne veut pas dire qu'ils sont responsables de tout.
Oui.
Il faudra néanmoins que cela change.
Pour cela, il faut que la flexibilité fonctionne dans les deux sens !
Et c'est l'intérêt des salariés comme des entreprises, car la carrière à vie pour tous dans une même entreprise en un même lieu c'est fini.
Nous vivons dans un cadre trop rigide !
Sinon, que ferons demain une partie des trentenaires d'aujourd'hui entre, grosso modo, l'âge de 40 ans et l'âge de leur retraite, qui, vraisemblablement, approchera 70 ans ?
Et ce n'est qu'un exemple parmi d'autres.
Il faudra néanmoins que cela change.
Pour cela, il faut que la flexibilité fonctionne dans les deux sens !
Et c'est l'intérêt des salariés comme des entreprises, car la carrière à vie pour tous dans une même entreprise en un même lieu c'est fini.
Nous vivons dans un cadre trop rigide !
Sinon, que ferons demain une partie des trentenaires d'aujourd'hui entre, grosso modo, l'âge de 40 ans et l'âge de leur retraite, qui, vraisemblablement, approchera 70 ans ?
Et ce n'est qu'un exemple parmi d'autres.