que certains adjuvants dangereux pour les femmes enceintes et autres publics soient présents dans la composition du produit!
Tu opposes une vision statistique du problème , la vision du gouvernement, à une vision individuelle
Tout vaccin, avec adjuvant ou pas, et généralement tout médicament a des effets secondaires. Même l'aspirine peut tuer dans certain cas
Personne ne fera d'étude pour savoir si les adjuvants sont dangereux ou pas, parce que ces études ne rapportent pas d'argent. Donc il sera difficile de mettre en relation l'apparition de symptômes avec l'application d'un vaccin.
A propos de virus, l'une des maladies les plus courantes et les plus dangereuses qu'ait connu l'humanité:
La variole était un fléau redoutable et redouté. Elle tuait un malade sur cinq (chez les adultes, près d’un malade sur trois). Quand elle ne tuait pas, elle laissait souvent un visage grêlé, défiguré à vie. Elle est toujours restée hors de portée d’un traitement efficace.
et plus loin, détails intéressants:
L'Union soviétique propose en 1958 d'éradiquer entièrement la variole, qui faisait alors 2 millions de victimes par an sur Terre. Le projet est repris la même année par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) [11]. La stratégie initiale, proposée par l'URSS, estimait qu'un taux de vaccination de 80% suffirait à éradiquer le virus [11]. La campagne de vaccination se révèle néanmoins ardue à mettre en œuvre.
Le rapport final de la Commission mondiale pour la certification de l'éradication de l'OMS notait : « Les campagnes d'éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. (...) En Inde, cinq ans après une campagne nationale d'éradication entreprise en 1962 (55 595 cas), le nombre de notifications était plus grand (84 902 cas) qu'il ne l'avait jamais été depuis 1958. Il eût été extrêmement couteux et logistiquement difficile, sinon impossible, d'atteindre des niveaux beaucoup plus élevés de couverture. Avec les moyens disponibles, il fallait absolument changer de stratégie. » [12]
L'OMS change alors de stratégie en 1967, mettant en œuvre la « stratégie de surveillance et d'endiguement » [11], qui consiste à isoler les cas et à vacciner tous ceux qui vivaient aux alentours de foyers d'épidémie.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Variole
J'ai lu quelque part que le vaccin contre la variole provoquait un petit pourcentage de décès.
Mais si on vaccinait à nouveau contre cette maladie massivement, ce serait sans doute des milliers de gens qui mouraient d'avoir été vaccinés.
D'un autre côté, face à une maladie qui tuerait un malade adulte sur trois, refuseriez-vous toujours de vous faire vacciner malgré les risques d'effets secondaires?
Se faire vacciner ou pas est une question d'évaluation des risques et les média ainsi que les professionnels de santé pro-vaccination ont tendance à occulter cet aspect des choses.
Ils ne mettent pas sur le même plan le risque d'effets secondaires et la dangerosité relative du virus.
Pourtant ce dernier point peut se constater (le nombre de décès est faible) alors que le premier point est bien plus difficile à prendre en compte me semble-t-il.
En outre, l'évaluation du nombre de gens infectés par la grippe A est difficile à faire puisqu'on ne pratique aucun test de dépistage systématique (un tel test est cher, plus de 200 euros par personne j'ai cru comprendre) sur les gens qui sont déclarés infectés.
Les symptômes de la grippe A ressemblent à ceux de la grippe saisonnière si j'ai bien compris donc les risques d'erreur ne sont pas à négliger.
Au final, on ne teste, sans doute, que les gens qu'on pense avoir été tués par la grippe A ou pas beaucoup plus.