Va tenir ton discours dans les hôpitaux, à la CAF, auprès des millions de personnes en attente d'un logement social, auprès des 6 millions d'inscrits chez PE qui aimeraient bien décrocher un job qui leur permette de vivre "normalement", auprès des artisans concurrencés par les travailleurs détachés… Ah ça, la France a les moyens pour gaver les riches et diviser les petits. C'est sûr !aaa a écrit :Le gâteau est beaucoup plus grand que tu ne le pense Yves, et la France a les moyens d'en donner à volonté à sa population mais aussi à ses convives jusqu'à l'indigestion.
T'inquiète, ils appliquent parfaitement le programme fixé avec l'assentiment des crétins (je ne parle pas de toi) qui croient encore au Grand Soir. Alors qu'il n'y aura JAMAIS de Grand Soir. Et tu sais pourquoi ? Parce que les caisses sont vides !!!
La France a vendu une partie de ses stocks d'or (sous Sarko). Sa monnaie est gérée depuis Francfort. Toutes les grandes entreprises et les supers riches ont un plan B de rapatriement de leurs activités et de leurs avoirs dans des paradis fiscaux ou ailleurs en cas de tension.
Tu dois comprendre que pour les "comme toi", c'est foutu ! (sauf si tu retrouves un boulot, ce que je te souhaite). La finance internationale nous tient par les c.....s avec notre dette de 2.300 milliards d'euros. Même si un Mélenchon passait, il ferait comme Tsípras en Grèce : Il baisserait son froc, parce qu'en deux clics de souris, un Soros ou un Hedge Fund de 5.000 milliards de capitalisation ruine ton économie. C'est ça la mondialisation !

Il serait temps d'ouvrir les yeux sur le pouvoir profond qui dirige la France (et le monde). Macron n'est que la partie émergée de l'iceberg. Ce n'est pas de la paranoïa, moins encore du complotisme, c'est la réalité. Et toi aaa tu n'es pas DU TOUT dans leur plan. En revanche, tes chers convives y sont, en première ligne, pour faire tomber ce qui reste de frontières, d'états-nations, de souverainetés ET de protections sociales.
Fais un copier-coller de ce que je t'écris et on en reparle en 2022.
D'ici-là bon courage ! Moi je passe à autre chose.
