Ambre a écrit : ↑05 févr. 2024
les promesses ne sont déjà plus respectées.
Ah bon ! C'est étonnant ça.
Je l'ai déjà écrit : Dans un pays dirigé par des satanistes, par des Young Global Leaders du WEF (World Economic Forum - Forum économique mondial de Davos),
il faut comprendre EXACTEMENT le contraire de ce qu'ils disent ou promettent.
C'est la règle de base en tous domaines. C'est la grille de lecture qu'il faut IMPÉRATIVEMENT apposée.
Nous sommes entrés dans une ère d'inversion totale des valeurs. C'est comme ça !
Ceux qui exigent plus de démocratie, plus de justice sociale et salariale (ce que revendiquaient nombre de Gilets Jaunes) se font bastonner par les CRS.
Ceux qui cassent, qui pillent, qui brûlent… ne sont pas (ou peu) inquiétés et poursuivis.
Ceux qui circulent sans papiers le font sans entrave (la plupart des migrants clandestins). Pendant que les braves Français, eux, doivent présenter une attestation pour acheter une baguette de pain (pendant les confinements).
Les médecins qui veulent soigner les malades avec des médicaments bon marché sont sanctionnés par l'Ordre des Médecins. Pendant que les autres vantent sur tous les plateaux télé une "injection de thérapie génique" en phase d'expérimentation (vaccin covid) sans décliner leurs conflits d'intérêt, sans dire qu'ils sont payés par les grands labos pharmaceutiques depuis des années et des années…
On nous présente la Russie comme le mal absolu. On nous prépare à la Troisième Guerre mondiale alors que, comme l'analyse fort judicieusement Emmanuel Todd : "Nous faire croire qu'un pays de 140 millions d'habitants va attaquer l'Europe occidentale (450 millions d'habitants) soutenue par les USA (330 millions d'habitants), il faut être dérangé".
Regardez les 4 dernières minutes de cette excellente interview de Todd :
https://www.youtube.com/watch?v=kn7D7wvF1QY
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Tout est de cet acabit.
Ou quand Bruno Le Maire promet qu'il va mettre l'économie russe à genoux…
Ou quand l'UE signe 50 milliards d'aides à l'Ukraine alors que les agriculteurs manifestent dans toute l'Europe contre les accords de libre-échange avec l'Amérique du Sud, le Canada, la Nouvelle-Zélande…
ET L'UKRAINE !
Aujourd'hui, des agriculteurs européens (producteurs de poulets, d'œufs…) ont le couteau sous la gorge parce que nous importons des milliers de tonnes de poulets et d'œufs en provenance d'Ukraine (qui ne respecte pas les "normes européennes").
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Tout est comme ça.
Comme François Hollande qui annonçait lors de sa campagne électorale de 2012 : "Mon ennemi, c'est la finance. Elle n'a pas de nom, elle n'a pas de visage, mais elle dirige tout". (Formule approchante).
Eh bien comme toujours, c'est faux !
La finance à des noms et des visages. Elle dirige tout mais ça n'a jamais été l'ennemi de François Hollande évidemment. Quasiment tout était faux dans cet extrait d'un discours copieusement applaudi par les militants socialistes, donc des gens qui sont sensés avoir une sensibilité de gauche.
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Sur le sujet qui nous intéresse ici, Macron a depuis longtemps annoncé la couleur en revanche.
Car lui est un Homme de Davos décomplexé. Quand il a dit que les aides sociales coûtaient un "pognon de dingue", on a compris où il voulait en venir même si il dit tout et son contraire, le fameux "en même temps".
Car Macron et Attal
sont la quintessence de cette inversion des valeurs, de ce satanisme (n'ayons pas peur des mots).
Pourquoi nommer au poste de ministre de l'Éducation nationale un homosexuel revendiqué qui a fait toute sa scolarité dans le privé, à l'École alsacienne (Attal, dans le gouvernement Borne) ?
N'est-ce pas
une inversion totale des valeurs ? N'était-il pas plus logique de nommer une mère ou un père de famille, de deux, trois ou quatre enfants qui suivent leur scolarité dans le public ? Pour moi, c'est évident !!!
Mais les Français ont une (grosse) part de responsabilité. En portant au pouvoir un banquier d'affaires, qu'ils ne s'étonnent pas de se faire plumer.
Le problème, comme dans toutes les crises, dans toutes les guerres, c'est que ça retombe toujours sur les petits, les sans-grades. Là, par contre, il n'y a jamais d'inversion. Les gros profitent. Les affamés se bouffent entre eux.
Le monde est bien fait !
